Les pouvoirs publics marocains incitent les sociétés de pêche à élever le niveau de qualité de leur production. Zoom sur cinq entreprises qui ont su anticiper… et se transformer.
Condamné en mai 2014 pour avoir critiqué les autorités religieuses d’Arabie saoudite, Raef Badaoui a été fouetté en public le 9 janvier. Une flagellation qui sera renouvelée chaque vendredi pendant vingt semaines, jusqu’à atteindre 1 000 coups.
Une rencontre des parties en conflit en Libye doit commencermercredi après-midi à Genève sous l’égide de l’ONU pour tenter de trouver une solution à la crise politique.
Dieudonné M’bala M’bala a été placé en garde à vue à Paris mercredi 14 janvier dans le cadre d’une enquête ouverte pour « apologie du terrorisme » visant les propos du polémiste. « Je me sens Charlie Coulibaly », avait-il déclaré sur sa page Facebook.
Al-Qaïda a revendiqué mercredi dans une vidéo mise en ligne sur un site islamiste l’attaque ayant décimé le 7 janvier la rédaction du journal « Charlie Hebdo ». Le chef de la nébuleuse terroriste, Ayman al-Zawahiri, aurait lui même donné l’ordre d’attaquer.
Depuis trois mois, à l’appel d’une organisation surgie d’on ne sait où, les manifestations contre une prétendue islamisation du pays se multiplient et rassemblent des foules de plus en plus nombreuses. Feu de paille ou lame de fond xénophobe ?
Après les attaques sanglantes de Paris, la justice française a prononcé pour la première fois des condamnations pour apologie du terrorisme. Un délit récemment introduit dans le code pénal français.
Le président de la ligue de football professionnel algérienne a annoncé le 12 janvier, le rejet de la demande introduite par l’ex-international français Nicolas Anelka, qui souhaitait évoluer au sein d’un club d’Alger.
Une enquête pour apologie du terrorisme a été ouverte à l’encontre de Dieudonné M’Bala M’Bala, qui avait écrit dimanche sur sa page Facebook: « Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly ».
Sur les réseaux sociaux, la majorité des internautes africains ont compati à la douleur du peuple français lors de l’attaque sanglante de « Charlie Hebdo » et de la prise d’otages de l’Hypercacher de Vincennes. Mais à côté du célèbre hashtag #JeSuisCharlie, des voix dissonantes se sont néanmoins fait entendre.
Selon le Conseil français du culte musulman (CFCM), plus d’une cinquantaine d’actes antimusulmans ont été commis en France depuis l’attentat contre « Charlie Hebdo ». L’organisation religieuse appelle l’État à « renforcer la surveillance » des mosquées.
Plusieurs présidents et ministres du continent ont défilé dimanche à Paris aux côtés de dirigeants du monde entier pour la « marche républicaine » contre le terrorisme. De la place de choix réservée à IBK au volte-face des Marocains, « Jeune Afrique » vous raconte les coulisses africaines de cet évènement historique.
Hayat Boumeddiene, la compagne et complice présumée d’Amedy Coulibaly, est entrée en Syrie jeudi dernier – le jour même de la fusillade de Montrouge imputée à son ex-compagnon. Elle était arrivée à Istanbul une semaine plus tôt à bord d’un vol en provenance de Madrid.
Eau argentée, le documentaire du Syrien Ossama Mohammed, doit beaucoup aux images tournées à Homs par sa coréalisatrice, Wiam Simav Bedirxan. Rencontre à Paris.
L’exposition parisienne consacrée à la plasticienne permet pour la première fois d’apprécier une facette peu médiatisée de son travail : son engagement contre les discriminations raciales.
Une foule immense de près de 4 millions de personnes s’est mobilisée dimanche en France en hommage aux victimes des attentats contre « Charlie Hebdo » et une supérette casher à Paris. Une journée historique à laquelle ont participé une cinquantaine de dirigeants internationaux, dont 8 chefs d’État et de gouvernement africains.
Paris, « capitale du monde » contre le terrorisme: des centaines de milliers de personnes et une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement convergeaient dimanche en début d’après-midi pour une marche immense et inédite d’hommage aux 17 personnes tuées par trois jihadistes français.
Un quotidien allemand de Hambourg (nord) qui avait publié des caricatures de Mahomet provenant du magazine satirique français Charlie Hebdo a été dimanche matin la cible d’une attaque avec un engin incendiaire, a annoncé la police en précisant qu’il n’y avait pas eu de blessés.
La liste des personnalités et chefs d’Etat, qui ont annoncé leur présence dimanche à la « marche républicaine » prévue à Paris après l’attentat contre Charlie Hebdo et les deux fusillades de vendredi, ne cesse de s’allonger. Les dirigeants africains seront notamment nombreux.
Un responsable religieux d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), dont se réclament les frères Kouachi, auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo, a menacé la France de nouvelles attaques dans une vidéo diffusée vendredi, a révélé un centre de surveillance américain des sites islamistes.
Avec leurs crayons, les caricaturistes africains du Maghreb au sud du Sahara rendent hommage aux victimes de l’attaque de « Charlie Hebdo », qui a fait 12 morts mercredi à Paris. Leur mot d’ordre : « Nous sommes tous Charlie ».
Dans une interview exclusive à « Jeune Afrique », le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération dénonce le manque de détermination de la France dans la résolution du conflit qui l’oppose au Maroc dans l’affaire dite de « la gifle de Neuilly ».
Amedy Coulibaly a été tué vendredi au cours de l’assaut mené par la police contre l’épicérie casher de Vincennes (est de Paris) où il était retranché avec des otages. Il avait auparavant été identifié comme l’auteur de la fusillade qui a tué une jeune policière jeudi matin à Montrouge (sud de Paris).
Les deux prises d’otages en cours depuis vendredi matin au nord et à l’est de Paris ont pris fin. Selon des sources policières, les trois terroristes – les frères Kouachi, auteurs de l’attentat contre « Charlie Hebdo », et Amedy Coulibaly, l’assassin d’une policière – ont été tués. À Vincennes, un quatrième homme, probable complice de Coulibaly, et au moins trois otages sont morts.
L’auteur de la fusillade qui a tué une policière jeudi matin à Montrouge appartient à la même filière jihadiste que les frères Kouachi, suspects présumés de l’attentat contre « Charlie Hebdo ». Il est aussi suspecté d’être derrière une prise d’otages en cours depuis vendredi à la mi-journée dans un supermarché casher de Vincennes, dans l’est de Paris.