Christine Lagarde, la directrice du Fonds monétaire international (FMI), s’est rendue en Tunisie pour 48 heures ce mercredi 1er février. L’occasion d’assurer au pays, qui traverse actuellement une grave crise économique, le « soutien » de l’institution financière.
Alors que les affrontements s’intensifient en Syrie, la Russie a une nouvelle fois rejeté, dans la soirée du 31 janvier, lors d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies à New-York, toute résolution condamnant le régime de Bachar al-Assad. Celui-ci, de plus en plus isolé, continue donc de bénéficier du soutien de son allié russe. Mais pour combien de temps ?
Le Burkina Faso organise à Paris du 1er au 3 février une grande conférence pour inciter bailleurs et milieux d’affaires à financer son programme « Bâtir ensemble un pays émergent ». Montant des investissements recherchés : plusieurs milliards de F CFA.
L’arrestation de l’ancien chef d’état-major Ilker Basbug le confirme : l’armée turque, garante de l’orthodoxie kémaliste, est affaiblie. Et désormais contrainte de composer avec le gouvernement AKP.
Afin de pousser à la réhabilitation du parc de l’Hermitage, à Casablanca, le marocain Hassan Darsi a réalisé une maquette du jardin. Le Centre Pompidou, à Paris, a aquis cette création pour sa collection.
Quelles seront les conséquences de la dégradation par Standard & Poor’s de la note d’une série de pays européens ? Réponse de l’économiste et écrivain français Jacques Attali.
Béchir Salah Béchir, le directeur de cabinet de l’ex-président libyen Mouammar Kadhafi, a été aperçu en France puis au Niger après cinq mois d’absence.
Dîner d’État à l’Élysée avec Nicolas Sarkozy, rencontre avec le patronat français… Le programme du président ivoirien Alassane Ouattara était chargé. Il s’est soldé par la signature d’un accord de défense et par une promesse de remise de dette.
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a appelé dimanche à Addis Abeba les dirigeants africains à écouter davantage leur peuple et à tirer les leçons des révolutions arabes, alors que la validation de la candidature contestée de Abdoulaye Wade suscite de vives tensions au Sénégal.
Trois primaires, et déjà trois vainqueurs. Les électeurs républicains ne sont pas pressés de désigner leur champion pour affronter Barack Obama lors de l’élection présidentielle américaine de novembre.
Chanteuse de légende dont le titre « At Last » avait été repris par Beyoncé lors de l’investiture de Barack Obama en 2009, Etta James s’est tue le 20 janvier.
Entre Erdogan et Sarkozy, le courant n’est jamais passé. L’adoption par le Parlement français d’une loi sanctionnant la négation du génocide arménien n’arrange pas les choses.
Le 23 janvier s’est ouvert l’année du Dragon. L’occasion pour 250 millions de salariés de prendre la route des vacances. Souvent pour la seule fois de l’année.
L’agence de communication britannique Portland a publié jeudi 26 janvier les résultats d’une étude sur l’usage de Twitter en Afrique (« Twitter in Africa »). En dépit de quelques zones d’ombres, les conclusions chiffrées bousculent certaines idées reçues. Qui sont donc les champions africains des « gazouillis » sur le net ? Éléments de réponses.
Ouattara et Sarkozy se sont mutuellement soutenus dans l’adversité. Ils se connaissent depuis vingt ans, et leur amitié ne s’est jamais démentie. L’occasion de la réaffirmer, lors de la visite d’Etat du président ivoirien à Paris, du 25 au 27 janvier.
Omar Ibn Said est l’auteur, en 1831, de l’unique témoignage d’un esclave américain rédigé en arabe. Traduit en 1925, égaré, retrouvé en 1995, son manuscrit fait l’objet d’une nouvelle édition commentée.
Les minorités dites visibles constituent un réservoir de suffrages considérable encore largement inexploité par les partis du gouvernement. Hélas, incapables de parler d’une seule voix, elles auront bien du mal à peser sur le prochain scrutin présidentiel.
Spécialiste de Staline, le biographe britannique Simon Sebag Montefiore publie « Jérusalem, biographie ». Il s’y est intéressé à l’histoire de Jérusalem, « cité à la fois céleste et terrestre » qui concentre toute l’histoire du monde. Captivant !
Le président ivoirien Alassane Ouattara est attendu mercredi 25 janvier dans l’après-midi à Paris. Il sera reçu jeudi par son homologue français, Nicolas Sarkozy.
La nouvelle chef de l’exécutif jamaïcain, Portia Simpson-Miller, veut rompre avec la couronne britannique, quitter le Commonwealth et instaurer la république.
Le Guide suprême de la République islamique d’Iran, Ali Khamenei, menace de fermer le détroit d’Ormuz, par lequel transite plus du tiers du pétrole transporté par voie maritime dans le monde. Une manoeuvre à visée interne alors que le pouvoir paraît divisé, et que la contestation pourrait reprendre à l’occasion des législatives prévues en mars ?
La tournée éclair de la la secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, en Afrique illustre la détermination de Washington à contrer l’influence chinoise.
Le 19 janvier, le tribunal correctionnel de Paris a condamné deux personnes morales – une association et une société – pour l’incendie du boulevard Vincent-Auriol à Paris, en 2005. Le drame avait provoqué la mort de 17 personnes d’origine africaine, dont 14 enfants. L’avocat de deux des familles de victimes, Maître Olivier Tiquant, réagit au jugement. Interview.
S’il est du devoir des pays du Nord d’aider ceux du Sud à contrer le cancer, ils doivent aussi favoriser une coopération accrue entre Africains. Ce que fait, avec un certain succès, le Groupement franco-africain d’oncologie pédiatrique.
Chercheur à l’Inserm, à Paris, le cancérologue sénégalais a mis ses compétences au service de l’Afrique. Son sacerdoce : faire connaître la maladie, étudier ses causes et trouver des traitements.
En 2005, 17 personnes dont 14 enfants étaient morts dans l’incendie criminel d’un immeuble insalubre de Paris, où vivaient essentiellement des personnes en attente de relogement et originaires de Côte d’Ivoire et du Mali. Le procès a abouti à la condamnation d’une association et d’une société. L’État et l’auteur de l’incendie n’ont jamais été inquiétés.
Rien ne va plus entre le rappeur Abd Al Malik et le footballeur Hatem Ben Arfa, qui se retrouveront bientôt sur les bancs d’un tribunal. Les raisons de la discorde entre les ex-amis ? Une interview accordée au quotidien sportif français « L’équipe », dans laquelle le footballeur accuse l’artiste et son agent d’avoir tenté de l’endoctriner au sein d’un groupe soufi au Maroc.