D’autres personnalités impliquées dans la guerre civile en Centrafrique pourraient être inculpées. À commencer par l’ancien président Ange-Félix Patassé.
« Les mots me manquent », confiait, très émue, Aïssata Bah, la mère malienne d’un des vingt-quatre élèves-acteurs du collège Françoise-Dolto, dans le 20e arrondissement de Paris, le 25 mai au soir. Elle venait de voir à la télévision son fils Boubacar, 17 ans, entouré de ses camarades de classe et du réalisateur Laurent Cantet, recevoir sur l’immense scène du Palais des festivals de Cannes la Palme d’or pour le film Entre les murs.
Le « futur ex-attaquant » du club londonien de Chelsea publie son autobiographie. Et sort du cadre purement sportif pour évoquer la situation dans son pays, la Côte d’Ivoire.
La justice française doit rendre le 4 juin son verdict à l’encontre d’Ibrahim Coulibaly et de ses acolytes, accusés de tentative de coup d’État contre le président Laurent Gbagbo en 2003.
Plombé par une dette publique abyssale, le Japon est désormais distancé en Afrique par ses concurrents chinois et indien. Mais il est bien décidé à réagir.
Suivi depuis plusieurs mois par les services de renseignements européens, l’ancien vice-président est désormais entre les mains d’une justice internationale qui doit encore faire ses preuves.