Les parieurs en ligne avaient misé gros sur Ngugi wa Thiong’o. Il faut dire que l’engagement de l’auteur kikuyu, notamment en faveur d’une littérature en langues africaines, plaide en sa faveur. Une prochaine fois ?
La réunion exceptionnelle des dirigeants de l’Union africaine (UA) dont l’objet est de réexaminer ses relations avec le Cour pénale internationale (CPI) s’est ouverte, ce vendredi, à Addis Abeba. « Loin de promouvoir la justice et la réconciliation (…), la CPI s’est transformée en instrument politique », a notamment déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus, le ministre éthiopien des Affaires étrangères, dont le pays préside l’UA. De Joseph Kony à Charles Blé Goudé, ce sont pas moins de 29 ressortissants du continent qui sont ou ont été dans le viseur de la CPI.
Sur le continent, le trafic devrait tripler d’ici à 2029. Mais si les aménagements aéroportuaires ne suivent pas l’évolution de la demande, cette croissance risque d’être fauchée en plein vol.
Le prix Nobel de la paix sud-africain Desmond Tutu a exhorté les pays africains à ne pas quitter la Cour pénale internationale (CPI), disant que cela ferait du monde « un endroit plus dangereux », accusant le Kenya et le Soudan.
Les États membres de l’Union africaine vont-ils se retirer en masse de la CPI ? Réponse lors du sommet extraordinaire convoqué à Addis-Abeba, les 11 et 12 octobre.
Lupita Nyong’o, actrice kényane de 30 ans, crève l’écran dans la Mecque du cinéma. Le 21 octobre, le Festival du Film de Hollywood lui remettra un Award pour son rôle dans « 12 Years a Slave », un film sur l’esclavage encensé par les critiques.
L’ONG américaine Freedom house a publié, début octobre, son rapport annuel sur la liberté sur internet dans le monde. Sur les soixante pays analysés par les chercheurs, quatorze sont africains. Alors qui sont les bons et mauvais élèves ? La réponse en infographie.
Dans son tout premier rapport sur le tourisme en Afrique, la Banque mondiale estime que le continent a les moyens de rivaliser avec les plus grandes destinations mondiales. La fréquentation touristique en Afrique a progressé de 300 % depuis 1990.
L’Union africaine (UA) organisera un sommet extraordinaire des chefs d’État et de gouvernement, les 11 et 12 octobre à Addis-Abeba. Parmi les points à l’ordre du jour figure les relations du continent avec la Cour pénale internationale (CPI).
Passé le choc de l’attaque des Shebab dans un grand centre commercial de Nairobi, plusieurs protagonistes clés de cette tragédie se retrouvent sous les projecteurs : le président kényan, le « cerveau » somalien de l’opération et les membres de ce commando international.
Des corps sans vie, dont ceux de deux soldats, ont été sortis des décombres du centre commercial Westgate, attaqué par les Shebab. Le bilan officiel de 67 morts pourrait être revu à la hausse.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le journaliste kényan Walter Osapiri Barasa, soupçonné d’avoir tenté de soudoyer les témoins à charge dans les affaires Ruto et Kenyatta, à La Haye. Des accusations que le suspect rejette en bloc.
Alors que les travaux de la commission comité parlementaire kényan chargé d’enquêter sur l’attaque meurtrière du centre commercial Westgate ont commencé mardi, les forces d’élite de l’armée sont accusées de s’être livrées à des pillages systématiques.
Jusque-là aux abois, le président kényan Uhuru Kenyatta s’est forgé une nouvelle stature de commandeur durant la tragédie du Westgate à Nairobi, renforçant sa popularité et même, selon les observateurs, sa position dans son procès pour crimes contre l’humanité.
Le gouvernement kényan est accusé par des sources sécuritaires d’avoir pris « avec désinvolture » des menaces sur un risque élevé d’attentat peu avant l’attaque sanglante contre le centre commercial Westgate de Nairobi, il y a tout juste une semaine. Une soixantaine de personnes restent portées disparues après le carnage commis par un commando islamiste qui a fait au moins 67 morts et 240 blessées, selon un bilan provisoire.
L’armée kényane continuera de combattre en Somalie les insurgés islamistes shebab, a assuré vendredi le gouvernement, malgré leurs menaces réitérées d’attaques comme celle contre le centre commercial Westgate de Nairobi.
Les insurgés islamistes somaliens continuent, sur un ton moqueur, de menacer le Kenya sur Twitter. Ils menacent d’y mener de nouvelles attaques, après le carnage du centre commercial Westgate à Nairobi.
Soupçonnée d’avoir participé à l’attaque meurtrière commise à Nairobi par un commando de Shebab, la Britannique Samantha Lewthwaite, dite la « Veuve blanche », est recherchée par Interpol. L’organisation policière internationale a émis, jeudi, un mandat d’arrêt à son encontre.
L’attaque du commando Shebab contre le centre commercial de Nairobi terminée, l’heure est désormais au bilan et aux questions. Du nombre exact d’otages tués à l’identité des terroristes en passant par leur communication sur Twitter, de nombreuses zones d’ombres subsistent.
La demande d’ajournement du procès du président kényan, Uhuru Kenyatta, a été rejetée, mardi, par les juges de la Cour pénale internationale (CPI). Ils estiment que la défense a eu le temps nécessaire pour se préparer.
Des experts vérifient, mercredi, « qu’aucun engin explosif n’a été laissé » dans le dédale de magasins du centre commercial de Nairobi, dont le siège a pris fin la veille. Le bilan provisoire officiel est de 61 civils et 6 militaires tués, 5 terroristes ont été abattus et 11 suspects présumés arrêtés.
Des terroristes étaient toujours retranchés, mardi après-midi, dans le centre commercial Westgate de Nairobi. La situation reste très confuse, notamment sur le sort d’éventuels otages aux mains des assaillants.
Les assauts menés, lundi 23 septembre, par les forces spéciales kényanes ne leur ont pas permis de venir à bout du commando à l’origine de l’attaque contre le centre commercial Westgate de Nairobi. Mardi matin, « un ou deux » assaillants islamistes étaient toujours retranchés dans l’un des étages supérieurs du bâtiment, selon les autorités.
Lundi soir, la prise d’otages du centre commercial Westgate, à Nairobi, au Kenya, n’était toujours pas achevée. Les autorités kényanes ont pris d’assaut le bâtiment, espérant neutraliser le commando islamiste encore retranché à l’intérieur, avec un nombre indéterminé d’otages. Le ministère de l’Intérieur a par ailleurs annoncé avoir interpellé plus de dix personnes pour les interroger.
Les forces de sécurité kényanes ont lancé lundi matin l’assaut contre les islamistes Shebab retranchés avec des otages dans le centre commercial Westgate, à Nairobi. Suivez l’évolution de la situation en direct sur « Jeune Afrique ».
Commencé samedi 21 septembre à la mi-journée, l’assaut d’un centre commercial de Nairobi, par des terroristes somaliens shebab, a fait au moins 68 morts. Les jihadistes menacent désormais d’assassiner les otages qu’ils disent détenir.
Des forces spéciales israéliennes ont pénétré dimanche dans le centre commercial de Nairobi Westgate pour tenter de mettre fin au siège du bâtiment et secourir les blessés et les otages retenus depuis samedi par un commando islamiste.