Le nouveau président du Liberia a été investi ce lundi devant une foule de plus de 35 000 personnes. Dans une atmosphère de liesse populaire, il a promis de préserver les acquis démocratique, de lutter contre la corruption et de construire un Liberia « d’égalité, de liberté, de dignité et de respect ». Reportage.
L’ancien footballeur a prêté serment ce 22 janvier devant plus de 35 000 personnes et une dizaine de chefs d’État. Plusieurs heures avant la cérémonie officielle, le stade Samuel Kanyon Doe est plein.
Le 28 décembre dernier, l’élection de l’ancien footballeur George Weah à la tête du Liberia est venue conclure l’année en beauté. Entre le premier et le second tour, les recours de ses adversaires avaient laissé planer l’ombre du scénario kényan, mais la démocratie a fini par triompher.
Le parti au pouvoir au Liberia a annoncé dimanche l’exclusion de la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf. Il lui reproche de ne pas avoir fait campagne pour son vice-président Joseph Boakai, battu par George Weah au second tour le 26 décembre dernier.
Le président élu du Liberia George Weah a promis samedi d' »améliorer la vie des Libériens », en s’appuyant sur les « progrès » accomplis par la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf, dans sa première déclaration publique après sa victoire au scrutin du 26 décembre.
Alors que George Weah a été largement élu président du Liberia, c’est l’ancienne femme de Charles Taylor qui accède à la vice-présidence. Une alliance stratégique mais qui interroge.
Plusieurs chefs d’États et personnalités du monde du football félicitent déjà George Weah sur les réseaux sociaux, après sa victoire annoncée à la présidence du Liberia, par les premiers résultats publiés jeudi.
En n’ayant récolté que 38,5 % des voix, le vice-président sortant a été largement battu par George Weah. Ce vendredi 29 décembre, il a appelé son adversaire pour le féliciter.
L’ancien attaquant star a remporté le match de sa vie, en étant élu président du Liberia avec 61,5 % des voix, selon les résultats provisoires communiqués jeudi 28 décembre. Une victoire construite de longue date.
Monrovia a explosé de joie jeudi soir à l’annonce de la victoire éclatante de l’ex-star du football et sénateur George Weah au second tour de la présidentielle au Liberia, après un scrutin salué pour son déroulement pacifique.
Le président de la commission électorale libérienne a communiqué jeudi soir les premiers résultats de l’élection présidentielle du 26 décembre. L’ancien footballeur l’emporte largement face au vice-président, Joseph Boakai.
Jeudi, 28 décembre 2017, le Liberia attend les premiers résultats, encore partiels, de la présidentielle. Une élection qui oppose la légende du foot et sénateur George Weah au vice-président sortant, Joseph Boakai.
Âge, carrière, alliances politiques… Le vice-président sortant et l’ancienne star du football n’ont pas grand chose en commun. Ce mardi 26 décembre, les Libériens devaient choisir lequel de ces deux hommes accèdera au palais présidentiel.
Au lendemain de festivités de Noël plus sobres que d’habitude, les Libériens votent ce mardi pour élire leur nouveau président lors d’un second tour qui oppose une légende du football, George Weah, au vice-président sortant, Joseph Boakai.
Les Libériens votent mardi avec sept semaines de retard sur le calendrier initial pour déterminer qui, de la légende du football George Weah ou du vice-président Joseph Boakai, succèdera à Ellen Johnson Sirleaf, première femme élue chef d’État en Afrique.
« Weah est notre homme ! Weah président ! » Les partisans de George Weah sont rassemblés samedi pour un dernier grand meeting au stade Samuel Kanyon Doe, au cœur de Monrovia, convaincus que la légende africaine du football remportera mardi le second tour de la présidentielle au Liberia.
Jeudi soir, le parti de l’unité a déposé un nouveau recours devant la Cour suprême. Le second tour de l’élection présidentielle, prévu le 26 décembre, doit opposer le vice-président sortant à l’ancien footballeur George Weah.
Après un retard inquiétant, le second tour de l’élection présidentielle libérienne confirmera-t-il la maturité démocratique du pays d’Ellen Johnson Sirleaf ?
La Cour suprême du Liberia a autorisé jeudi sous conditions la tenue du second tour de l’élection présidentielle. Elle a rejeté les recours de candidats arrivés derrière l’ex-star du foot George Weah au premier tour du 10 octobre, jugeant que les irrégularités constatées n’étaient pas d’une « ampleur » suffisante pour remettre en cause les résultats.
Le Liberia n’avait vraiment pas besoin de ça. Après les ravages de l’épidémie d’Ebola et la chute des cours des matières premières, l’économie de ce pays, l’un des plus pauvres du monde, subit le contrecoup de l’imbroglio juridico-électoral.
La Cour suprême du Liberia se prononcera jeudi 7 décembre sur les recours déposés par les candidats Joseph Boakai et Charles Bumskine qui contestent les résultats du premier tour qui donne George Weah en tête.
La Commission électorale nationale (NEC) du Liberia a confirmé vendredi en appel sa décision de rejeter les recours contre le premier tour de la présidentielle. Arrivés 2e et 3e du scrutin, les candidats déboutés, Joseph Boakai et Charles Bumskine, veulent saisir la Cour suprême.
Ce 20 novembre au Liberia, la Commission électorale nationale (NEC) a rejeté les recours contre le déroulement du premier tour de l’élection présidentielle introduits par les deux candidats arrivés derrière le sénateur et ex-star du football George Weah.
Grace, Nkosazana, Ellen, Joyce, Isabel : elles sont cinq femmes puissantes nichées au cœur du pouvoir, de ses fortunes et de ses infortunes, dans le collimateur impitoyable des médias en cette fin d’année 2017.
Deux jours après la suspension du processus électoral au Liberia, le parti de l’ex-star du football George Weah réclame sa relance rapide et la tenue du second tour, dont la date n’est pas encore fixée.
« J’en appelle à vous tous, mes partisans, à rester calmes pendant que nous traversons la phase juridique de l’élection », a déclaré George Weah. De son côté, la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf a exhorté ses concitoyens à préserver la « démocratie attaquée ».
La Cour suprême a suspendu lundi le processus électoral au Liberia, à la veille du second tour de la présidentielle prévu pour le 7 novembre. La Commission électorale nationale devra d’abord « examiner les recours » de Charles Brumskine, arrivé en troisième position au premier tour.
Ce 6 novembre, les Libériens attendent avec inquiétude une décision de la Cour suprême sur la date du second tour de l’élection présidentielle. Des plaintes pour fraude au premier tour ont rendu le scrutin incertain et plongé le pays dans la division.