Le président soudanais Omar el-Béchir a beau être isolé sur la scène internationale, il n’est pas près de comparaître un jour devant la justice internationale. Un problème qui figure à l’ordre du jour de la conférence de révision de la CPI qui se tient à Kampala (Ouganda), du 31 mai au 11 juin.
Propulsé en 2007 à la tête du Conseil de sécurité nationale, le frère cadet de Seif el-Islam est rapidement tombé en disgrâce. Mais son père, Mouammar Kadhafi, semble prendre un malin plaisir à entretenir l’ambiguïté sur son véritable statut.
« Nous voulons l’intégration économique, et tout de suite. » Tel était, en substance, le message délivré par près de mille chefs d’entreprise lors du forum de l’Union maghrébine des employeurs (UME), les 10 et 11 mai, à Tunis.
Pour ne pas télescoper le Mondial, qui a lieu tous les quatre ans, les années paires, la Coupe d’Afrique des nations, organisée tous les deux ans, sera désormais programmée les années impaires.
Le chef de l’État djiboutien a décidé de jouer les prolongations à la faveur d’une révision de la Constitution lui permettant de se représenter. Il s’en explique dans un long entretien. Et parle aussi des relations de son pays avec la France, des « affaires » et d’une Corne de l’Afrique sous haute tension.
Ruben, le garçon néerlandais de 9 ans, unique survivant du crash de l’Airbus d’Afriqiyah qui a fait 103 morts à Tripoli, mercredi, est rentré aux Pays-Bas avec son médecin libyen dans un avion médicalisé. Selon les premiers résultats de l’enquête, le pilote de l’appareil n’avait fait état d’aucun dysfonctionnement avant l’accident.
L’état de santé de Ruben, un garçon néerlandais de 9 ans, unique survivant de l’accident de l’Airbus de la compagnie Afriqiyah, mercredi à Tripoli, est « bon », selon un médecin libyen. D’après la compagnie, la catastrophe a fait 103 morts, dont 66 Néerlandais.
Malgré l’opposition des organisations de défense des droits de l’homme, la Libye, l’Angola et l’Ouganda ont été élus, faute de concurrents, au Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Les critiques des ONG se sont concentrées sur la Jamahiriya lybienne, « l’une des plus brutales et des plus anciennes tyrannies » au monde, selon elles.
Connu pour son intégrité, le nouveau président-directeur général de Sonatrach aura fort à faire pour corriger l’image corrompue de l’entreprise laissée par son prédécesseur. Pour cela, il s’appuie sur une direction renouvellée et sur son expérience de près de quarante ans dans le secteur.
Les boîtes noires de l’Airbus A330 d’Afriqiyah qui s’est écrasé le 12 mai n’ont pas encore livré leurs secrets. Les causes du crash sont encore mystérieuses, d’autant que la compagnie avait un bon bilan en terme de sécurité, que l’avion était neuf et que les conditions météorologiques n’étaient pas mauvaises.
Culture fratricide ? S’agissant du Tchad, on le croirait volontiers. Pas pour son désert, dont le feu rend la vie des nomades particulièrement rude. Ni pour ses fleuves capricieux, le Chari et le Logone, où naviguer est une gageure. Il s’agit de cette violence de l’État et des factions qui a été pendant longtemps sa marque de fabrique. Le pouvoir s’y conquiert au bout du fusil, et la démocratie peine à s’y installer. De turbulence en turbulence, le Tchad est encore, cinquante ans après, un pays fragile. Sous la menace permanente de nouveaux règlements de comptes.
Un Airbus A330 de la compagnie libyenne Afriqiyah s’est écrasé, mercredi matin à l’aéroport de Tripoli. Selon la compagnie, 104 personnes étaient à bord. Un garçon néerlandais de 8 ans aurait toutefois survécu au crash.
Cent-cinq personnes, 94 passagers et onze membres d’équipage, ont trouvé la mort dans le crash d’un avion d’une compagnie libyenne en provenance d’Afrique du Sud, mercredi à l’aéroport de Tripoli, a-t-on appris auprès des services de sécurité.
Dans une interview publiée le 1er mai par « Der Spiegel », le « Guide » se déchaîne contre la Confédération helvétique et met les frasques de son fils Hannibal sur le compte de « l’exubérance de la jeunesse ». Extraits.
Dans un discours prononcé près de Syrte, jeudi 15 avril, le « Guide » libyen appelle à soutenir la politique du président américain Barack Obama, notamment envers l’Iran. Mais il en profite aussi pour livrer à nouveau sa solution iconoclaste du conflit israélo-palestinien.
Le consortium Desertec s’ouvre à quatre nouveaux sociétaires, dont le marocain Nareva, producteur d’énergie renouvelable. Ils seront rejoints sous peu par la Steg, le principal opérateur électrique tunisien.
La guerre du haschich fait rage en Egypte, les autorités se prévalant d’avoir porté un coup sévère contre cette drogue, dont la consommation était jusque-là plutôt répandue dans le pays.
Riche en or noir, le sous-sol africain attise les conflits entre États sur des gisements transfrontaliers. L’arbitrage est périlleux, car les enjeux économiques sont souvent colossaux.
Les chefs de la diplomatie de sept pays de la bande sahélienne se sont réunis dans la capitale algérienne pour coordonner leurs efforts face à la menace djihadiste.