Un canot pneumatique chargé de migrants a chaviré mardi au large de la Libye, faisant au moins quatre morts et une centaine de disparus, selon l’ONG allemande Jugend Rettet, qui n’a pu trouver que 23 survivants.
Dans une vidéo publiée ce mardi par Mediapart, l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine raconte par le menu son rôle d’intermédiaire dans le présumé financement libyen dont aurait bénéficié Nicolas Sarkozy pour sa campagne présidentielle de 2007. Des affirmations qui interviennent à une semaine du premier tour de la primaire de la droite et du centre, à laquelle participe l’ex-chef de l’État.
Des témoignages et des opérations suspectes : les enquêteurs mènent des investigations d’envergure sur les accusations de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime libyen de Mouammar Kadhafi, mais n’en ont pas obtenu la preuve, selon les éléments de l’enquête dont l’AFP a eu connaissance.
Ils ne contrôlent plus qu’un petit quartier mais les jihadistes résistent toujours à Syrte, six mois après le lancement de l’offensive de reconquête de la seule ville contrôlée par le groupe État islamique (EI) en Libye.
La Libyan Investment Authority accusait la banque américaine de lui avoir fait perdre plus de 1 milliard de dollars. La justice lui a donné tort, mais a dévoilé les procédés peu orthodoxes du géant de Wall Street.
Ce lundi, une nouvelle source libyenne a assuré que Nicolas Sarkozy avait bénéficié d’un financement libyen pour sa campagne présidentielle en 2007. Qu’en est-il de la teneur des révélations portées contre l’ex-chef de l’Etat français ? Jeune Afrique revient sur les grandes lignes de cette affaire, dévoilée en avril 2012.
Où va pouvoir se ravitailler l’impressionnante escadre de huit bateaux de guerre russes qui fait route en ce moment vers la Méditerranée orientale ? Les dernières possibilités de ravitaillement se situent sur la côte sud de la Méditerranée, en Égypte ou en Algérie par exemple.
La Tunisie a démenti jeudi avoir permis à Washington d’utiliser son territoire pour déployer des drones en Libye, en réaction à des informations de presse aux États-Unis.
L’ONU a annoncé mercredi que le nombre de migrants ayant trouvé la mort en tentant de traverser la Méditerranée pour se rendre en Europe a atteint un nouveau record. L’ONG MSF a indiqué le même jour avoir retrouvé 25 corps sur un canot au large de la Libye.
Dans la nuit de jeudi à vendredi au large de la Libye, des hommes armés de bâtons ont attaqué un canot de migrants. Bilan de l’agression selon l’ONG Sea-Watch : au moins quatre morts et quinze disparus.
Ancien émissaire discret du « Guide » pendant près de quarante-cinq ans, le sulfureux cousin du raïs accuse l’Occident de cacher la vérité sur l’intervention de 2011 et réclame un dialogue national.
Il y a cinq ans, le 20 octobre 2011, en Libye, tombait Mouammar Kadhafi. À la lumière de nouvelles investigations et de témoignages inédits, Jeune Afrique revient sur les jours qui ont précédé le dernier voyage du « Guide ».
Le pétrole, qui constitue 95% des revenus du pays, pénalise lourdement l’économie libyenne. L’effondrement des prix depuis le début du conflit a entraîné une hausse des prix alimentaires et fait exploser le marché parallèle.
Acculé, Mouammar Kadhafi a fui Tripoli à la fin d’août 2011. Devant l’avancée des forces rebelles libyennes, un dernier bastion résiste : Syrte, la ville natale du « Guide ». Mais au matin du 20 octobre, un mystérieux convoi s’élance vers le sud…
Le chef d’un ancien gouvernement libyen, écarté en avril après la formation d’un exécutif d’union nationale soutenu par la communauté internationale, a affirmé reprendre ses fonctions après s’être emparé des locaux du Conseil d’Etat dans la capitale Tripoli.
Le Haute Cour de Londres a rejeté la demande d’indemnité d’un montant de 1,2 milliard de dollars déposée par le fonds souverain Libyan Investment Authority (LIA) contre Goldman Sachs. Le LIA accusait la banque d’affaires américaine de lui avoir conseillé des investissements « hasardeux ».
Le 13 octobre 2006, le Conseil consultatif des moudjahidines en Irak proclamait l’ « État islamique d’Irak ». Dix ans après, celui-ci s’est développé bien loin de son berceau. S’il sévit toujours en Irak et en Syrie, il s’est lancé à la conquête de l’Afrique, avec plus ou moins de succès. Jeune Afrique fait le point.
Après des victoires militaires importantes, les forces armées des deux autorités rivales sont désormais à moins de 200 km l’une de l’autre. Principal enjeu : le contrôle de l’or noir.
Le chef de la diplomatie libyenne, Taher Siala, a déclaré jeudi 6 octobre que la Libye était opposée à l’ouverture sur son sol de camps de migrants souhaitant rallier l’Europe. Les dirigeants européens avaient fait de cette proposition un moyen de limiter les arrivées via la Méditerranée.
Mardi 4 octobre, les gardes-côtes italiens ont dirigé une trentaine d’opérations de secours en Méditerranée, sauvant près de 4655 personnes. Plus de 28 migrants sont morts dans la même journée.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont affirmé lundi avoir tué dimanche 80 jihadistes au cours de leur offensive pour reprendre la ville portuaire de Syrte, bastion du groupe État islamique (EI).
Huit soldats des forces loyalistes et au moins dix jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe État islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale. Un journaliste néerlandais a également été tué.
Neuf soldats progouvernementaux et dix jihadistes ont été tués jeudi dans des combats à Syrte, le bastion du groupe État islamique (EI) en Libye, que tente de reprendre depuis quatre mois le gouvernement d’union nationale (GNA), selon des sources médicales et militaires.
Un pétrolier a appareillé avec à son bord 776 000 barils pour l’Italie mardi depuis le port libyen de Ras Lanouf pour la première fois depuis fin 2014, lorsque des combats ont éclaté pour le contrôle de terminaux du Croissant pétrolier, selon un responsable portuaire.
Les combats contre les jihadistes du groupe État islamique (EI) retranchés à Syrte ont repris dimanche après deux semaines d’accalmie, ont annoncé les forces du gouvernement libyen d’union qui tentent depuis quatre mois de reprendre cette ville. De son côté, l’Italie a prévu d’envoyer 300 militaires dans la ville de Misrata.
Le rapport, publié mercredi 14 septembre, est sans concession. Les parlementaires britanniques dénoncent une intervention militaire motivée par des intérêts nationaux et personnels, sans véritable analyse de la situation sur le terrain libyen.
Destinée à relancer la mise en œuvre de l’accord de Skhirat, la rencontre à Tunis entre les délégués des autorités rivales de Tripoli et de Tobrouk a fait chou blanc.
Les autorités libyennes non reconnues ont annoncé mercredi avoir remis la gestion des principaux terminaux pétroliers du pays, dont elles se sont récemment emparées, à la Compagnie nationale du pétrole. Les forces affiliés au général Haftar continuent cependant d’en assurer la surveillance.
Le chef du gouvernement d’union nationale a appelé mercredi au dialogue pour éviter une aggravation du conflit après la prise des terminaux pétroliers par les autorités rivales.