Après des victoires militaires importantes, les forces armées des deux autorités rivales sont désormais à moins de 200 km l’une de l’autre. Principal enjeu : le contrôle de l’or noir.
Le chef de la diplomatie libyenne, Taher Siala, a déclaré jeudi 6 octobre que la Libye était opposée à l’ouverture sur son sol de camps de migrants souhaitant rallier l’Europe. Les dirigeants européens avaient fait de cette proposition un moyen de limiter les arrivées via la Méditerranée.
Mardi 4 octobre, les gardes-côtes italiens ont dirigé une trentaine d’opérations de secours en Méditerranée, sauvant près de 4655 personnes. Plus de 28 migrants sont morts dans la même journée.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont affirmé lundi avoir tué dimanche 80 jihadistes au cours de leur offensive pour reprendre la ville portuaire de Syrte, bastion du groupe État islamique (EI).
Huit soldats des forces loyalistes et au moins dix jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe État islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale. Un journaliste néerlandais a également été tué.
Neuf soldats progouvernementaux et dix jihadistes ont été tués jeudi dans des combats à Syrte, le bastion du groupe État islamique (EI) en Libye, que tente de reprendre depuis quatre mois le gouvernement d’union nationale (GNA), selon des sources médicales et militaires.
Un pétrolier a appareillé avec à son bord 776 000 barils pour l’Italie mardi depuis le port libyen de Ras Lanouf pour la première fois depuis fin 2014, lorsque des combats ont éclaté pour le contrôle de terminaux du Croissant pétrolier, selon un responsable portuaire.
Les combats contre les jihadistes du groupe État islamique (EI) retranchés à Syrte ont repris dimanche après deux semaines d’accalmie, ont annoncé les forces du gouvernement libyen d’union qui tentent depuis quatre mois de reprendre cette ville. De son côté, l’Italie a prévu d’envoyer 300 militaires dans la ville de Misrata.
Le rapport, publié mercredi 14 septembre, est sans concession. Les parlementaires britanniques dénoncent une intervention militaire motivée par des intérêts nationaux et personnels, sans véritable analyse de la situation sur le terrain libyen.
Destinée à relancer la mise en œuvre de l’accord de Skhirat, la rencontre à Tunis entre les délégués des autorités rivales de Tripoli et de Tobrouk a fait chou blanc.
Les autorités libyennes non reconnues ont annoncé mercredi avoir remis la gestion des principaux terminaux pétroliers du pays, dont elles se sont récemment emparées, à la Compagnie nationale du pétrole. Les forces affiliés au général Haftar continuent cependant d’en assurer la surveillance.
Le chef du gouvernement d’union nationale a appelé mercredi au dialogue pour éviter une aggravation du conflit après la prise des terminaux pétroliers par les autorités rivales.
Les forces du gouvernement non reconnu de Libye se sont emparées mardi du dernier des quatre terminaux du Croissant pétrolier. Le gouvernement d’union (GNA) soutenu par l’ONU perd ainsi le contrôle de ces installations cruciales pour l’économie du pays.
Le gouvernement d’union nationale en Libye soutenu par l’ONU a perdu ces derniers jours le contrôle de trois importants terminaux pétroliers, se montrant incapable de stopper une offensive des autorités rivales basées dans l’est du pays.
Les forces des autorités parallèles basées dans l’est de la Libye ont annoncé lundi avoir pris un troisième terminal pétrolier à une milice loyale au gouvernement d’union (GNA) reconnu par la communauté internationale, après s’être emparées de deux autres terminaux ce week-end.
L’ancien avion personnel de l’ex-dictateur libyen Mouammar Kadhafi, stationné dans le sud de la France, restera bien propriété de l’État libyen: le conglomérat koweïtien qui voulait s’en saisir a abandonné la procédure, selon les avocats des différentes parties.
Relancer les investissements en Afrique, tel est l’un des objectifs assignés au nouveau – et déjà contesté – patron du principal fonds souverain du pays. Portrait.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a mis en garde ce lundi 5 septembre contre un risque d’éparpillement des jihadistes du groupe État islamique (EI) vers la Tunisie ou l’Egypte, une fois qu’ils seront chassés de leurs places fortes en Libye.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont lancé samedi une nouvelle offensive contre le dernier réduit du groupe Etat islamique (EI) dans la ville de Syrte, selon un communiqué et un de leurs combattants.
Entamée il y a tout juste un mois, la campagne américaine de bombardements contre le groupe État islamique en Libye se poursuit à un rythme « régulier », a indiqué jeudi une porte-parole militaire américaine.
Dans la nuit du 31 août au 1er septembre 1969, le trône du royaume de Libye devient vacant. Le vieux roi Idriss 1er Al-Senoussi est en voyage à Bursa, en Turquie, quand un groupe de jeunes officiers tente un coup d’État qui va changer le destin du pays.
Les dernières armes chimiques, en route vers l’Europe pour leur destruction, auraient été expédiées hors du pays via un navire danois. Ce dernier aurait quitté samedi le port de Misrata, à 200 km à l’est de Tripoli en direction de l’Allemagne. Le but de la manœuvre est simple : éviter que ces armes ne tombent entre les mains de l’État islamique.
Les garde-côtes italiens ont coordonné lundi le secours d’environ 6 500 migrants au large de la Libye. Et les conditions météo font craindre une affluence au moins similaire dans les prochains jours.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont lancé dimanche « la dernière phase » de l’offensive sur les positions encore contrôlées par le groupe Etat islamique (EI) dans son bastion de Syrte.
Le Comité de suivi de l’affaire Sofiane Chourabi et Nadhir Ketari, enlevés en Libye en septembre 2014, a décidé de saisir les rapporteurs des Nations unies sur la liberté d’expression, les affaires d’enlèvement et les droits humains. L’occasion de faire le point sur l’affaire.
Le Premier ministre libyen, Fayez al-Sarraj, a réclamé une aide militaire « renforcée » de la part des États-Unis, qui bombardent déjà Syrte pour appuyer les forces libyennes contre l’État islamique, a annoncé le Commandement militaire américain pour l’Afrique jeudi 25 août (Africom).
Le Parlement libyen a refusé ce lundi 22 août d’accorder sa confiance au gouvernement d’union nationale (GNA), selon un porte-parole de cette Assemblée basée dans l’est du pays et proche d’une autorité rivale au GNA.
Si les autorités égyptiennes restent le meilleur soutien du général Khalifa Haftar, qui contrôle une grande partie de l’est de la Libye, elles s’avouent dépassées par son ambition dévorante.