En marge d’un sommet de la Ligue arabe à Nouakchott, le chef du gouvernement d’union nationale (GNA) a convoqué l’ambassadeur de France en Libye pour lui demander des explications officielles sur la présence de militaires français sur le territoire.
« Les statistiques récemment publiées par le ministère libyen de l’Éducation donnent une image alarmante de l’accès au système éducatif », a indiqué le Bureau de coordination des Affaires humanitaires (BCAH) de l’ONU dans un rapport publié lundi.
Cinq jours après la mort de trois militaires français dans le Nord à proximité de Benghazi, qui avait forcé Paris à reconnaître que des troupes évoluaient dans le pays, le chef du groupe jihadiste Al-Mourabitoune a dénoncé dans un communiqué, relayé lundi 25 juillet par le site Al-Akhbar, la présence des « renseignements français » dans le Sud.
Le gouvernement libyen a accusé mercredi la France de violer le territoire national après l’annonce de la mort de trois soldats français en Libye. Des manifestations de protestation ont eu lieu dans plusieurs villes du pays.
À 17 ans, la jeune athlète sera la seule nageuse libyenne alignée dans les bassins des prochains JO de Rio. Un honneur pour cette adolescente, partie très tôt de sa Libye natale pour atteindre le plus haut niveau.
Mercredi, la mort de trois sous-officiers français en mission en Libye a forcé Paris à communiquer sur sa présence militaire dans le pays. Bien que les puissances étrangères se gardent de communiquer sur le sujet, des forces spéciales de tous horizons évoluent sur le terrain.
Trois militaires français ont été tués en Libye dans le cadre d’une mission en « service commandé », ont confirmé mercredi matin François Hollande et son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
Le gouvernement libyen d’union nationale (GNA), basé jusqu’ici dans une base navale à Tripoli, s’est installé lundi dans des locaux officiels dans le centre de la capitale, un geste perçu comme un pas supplémentaire pour asseoir son autorité.
« L’enlisement de la crise libyenne » est l’un des quatre principaux facteurs qui ont mis à mal l’économie tunisienne en 2015 selon le rapport annuel de la Banque centrale tunisienne (BCT) remis début juillet au gouvernement.
La Compagnie nationale de pétrole (NOC) et sa rivale basée dans l’Est libyen ont annoncé leur fusion, mettant fin à deux ans de division au sein de cette institution qui gère la principale source de revenu du pays.
Quatre ministres du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont été limogés après avoir refusé d’assumer leurs fonctions, a-t-on appris vendredi. Un nouveau revers pour ce cabinet installé depuis trois mois et qui bénéficie du soutien de la communauté internationale, mais qui peine à instaurer son autorité dans le pays.
Le dirigeant de l’agence européenne de contrôle des frontières Frontex, Fabrice Leggeri, tire la sonnette d’alarme. Il s’est inquiété mardi du nombre grandissant de migrants tentant de rejoindre l’Europe depuis l’Égypte.
Le chef du gouvernement d’union nationale en Libye a déclaré à l’AFP que seule une armée réunissant toutes les forces du pays peut vaincre l’organisation Etat islamique (EI) qui a profité de l’anarchie dans ce pays pour s’implanter.
Une source médicale a indiqué mardi qu’au moins 34 membres des forces loyalistes ont été tués dans des combats avec les jihadistes du groupe État islamique (EI) à Syrte (centre-nord). Alors que dans l’est du pays, 29 personnes ont été tuées dans l’explosion d’un dépôt d’armes.
Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne (UE) ont donné leur aval lundi à la montée en puissance de son opération navale au large de la Libye.
Dix combattants des forces soutenant le gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont été tués jeudi dans un attentat suicide du groupe terroriste État islamique (EI) à l’ouest de la ville de Syrte (nord), selon une source hospitalière.
Le chef du fragile gouvernement d’union nationale en Libye, Fayez al-Sarraj, a appelé mardi ses concitoyens à soutenir l’offensive pour reprendre Syrte au groupe jihadiste État islamique (EI). Une manœuvre militaire à laquelle refusent de participer les autorités contrôlant l’est du pays.
Les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) tentaient dimanche de résister, notamment avec des attentats suicide, à l’avancée rapide des forces progouvernementales libyennes dans le centre de Syrte, leur principal bastion en Libye.
Dans le centre de Syrte, leur principal bastion en Libye, les combattants du groupe terroriste État islamique (EI) tentaient dimanche de résister, notamment avec des attentats suicides, à l’avancée rapide des forces progouvernementales.
Les forces progouvernementales libyennes ont progressé rapidement dans leur offensive à Syrte contre le groupe Etat islamique (EI) en s’emparant du port et de plusieurs quartiers ces dernières 24 heures malgré la résistance des jihadistes qui défendent leur fief en Libye.
Les forces progouvernementales sont entrées jeudi dans Syrte, fief du groupe État islamique (EI) en Libye. Elles espèrent libérer totalement la ville dans « deux ou trois jours ».
Les forces du gouvernement d’union nationale (GNA) ont pris le contrôle des accès maritimes de Syrte (nord), fief de la filière libyenne du groupe jihadiste État islamique (EI), a déclaré jeudi un responsable.
Le candidat républicain à la présidence américaine, Donald Trump, a déclaré, lors d’une interview à la chaîne CBS dimanche, avoir « gagné beaucoup d’argent avec Kadhafi ».
La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a demandé lundi à l’ONU d’autoriser l’opération navale européenne au large de la Libye à contrôler l’embargo sur les armes imposé à ce pays.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont annoncé mardi avoir pris le contrôle des villes côtières de Ben Jawad et Nofliya dans la région de Syrte, fief de la filière libyenne du groupe jihadiste État islamique (EI).
La libération de Syrte devient l’enjeu d’un nouveau rapport de force entre le gouvernement d’union, installé le 16 mai, et l’« Armée nationale » du général de Tobrouk.
Selon un dernier bilan officiel, 32 membres des forces de sécurité du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont été tués mercredi dans un attentat à la voiture piégée et suite à des combats avec le groupe État islamique (EI).
Alors que les États-Unis et les grandes puissances se sont dits « prêts » à répondre aux demandes du gouvernement libyen d’union nationale pour s’armer, l’Union Africaine s’est également dite favorable à un tel réarmement mercredi.
Human Rights Watch a accusé mercredi 18 mai le groupe terroriste État islamique (EI) d’avoir mené au moins 49 exécutions extrajudiciaires à Syrte, son bastion en Libye, soulignant que ces meurtres constituaient des crimes de guerre.