Les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) tentaient dimanche de résister, notamment avec des attentats suicide, à l’avancée rapide des forces progouvernementales libyennes dans le centre de Syrte, leur principal bastion en Libye.
Dans le centre de Syrte, leur principal bastion en Libye, les combattants du groupe terroriste État islamique (EI) tentaient dimanche de résister, notamment avec des attentats suicides, à l’avancée rapide des forces progouvernementales.
Les forces progouvernementales libyennes ont progressé rapidement dans leur offensive à Syrte contre le groupe Etat islamique (EI) en s’emparant du port et de plusieurs quartiers ces dernières 24 heures malgré la résistance des jihadistes qui défendent leur fief en Libye.
Les forces progouvernementales sont entrées jeudi dans Syrte, fief du groupe État islamique (EI) en Libye. Elles espèrent libérer totalement la ville dans « deux ou trois jours ».
Les forces du gouvernement d’union nationale (GNA) ont pris le contrôle des accès maritimes de Syrte (nord), fief de la filière libyenne du groupe jihadiste État islamique (EI), a déclaré jeudi un responsable.
Le candidat républicain à la présidence américaine, Donald Trump, a déclaré, lors d’une interview à la chaîne CBS dimanche, avoir « gagné beaucoup d’argent avec Kadhafi ».
La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a demandé lundi à l’ONU d’autoriser l’opération navale européenne au large de la Libye à contrôler l’embargo sur les armes imposé à ce pays.
Les forces du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont annoncé mardi avoir pris le contrôle des villes côtières de Ben Jawad et Nofliya dans la région de Syrte, fief de la filière libyenne du groupe jihadiste État islamique (EI).
La libération de Syrte devient l’enjeu d’un nouveau rapport de force entre le gouvernement d’union, installé le 16 mai, et l’« Armée nationale » du général de Tobrouk.
Selon un dernier bilan officiel, 32 membres des forces de sécurité du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont été tués mercredi dans un attentat à la voiture piégée et suite à des combats avec le groupe État islamique (EI).
Alors que les États-Unis et les grandes puissances se sont dits « prêts » à répondre aux demandes du gouvernement libyen d’union nationale pour s’armer, l’Union Africaine s’est également dite favorable à un tel réarmement mercredi.
Human Rights Watch a accusé mercredi 18 mai le groupe terroriste État islamique (EI) d’avoir mené au moins 49 exécutions extrajudiciaires à Syrte, son bastion en Libye, soulignant que ces meurtres constituaient des crimes de guerre.
Le gouvernement d’union libyen a réclamé mardi des avions de chasse et des hélicoptères afin de mieux lutter contre les terroristes de l’État islamique. Il s’est également félicité du soutien de la communauté internationale à un assouplissement de l’embargo sur les ventes d’armes.
La communauté internationale représentée par les pays voisins de la Libye, l’Union africaine, l’Union européenne, la Ligue arabe et les États-Unis, était réunie lundi à Vienne. Les 24 délégations se sont prononcées en faveur d’une levée partielle de l’embargo sur les armes qui touche la Libye.
Un accord a été trouvé entre les parties tunisiennes et libyennes pour la reprise lundi du trafic commercial au poste-frontière de Ras Jedir, paralysé depuis la fin avril, a-t-on appris samedi auprès des autorités régionales tunisiennes.
Le gouvernement américain a déclaré jeudi être prêt à favoriser l’assouplissement de l’embargo des Nations unies sur les armes en Libye, décidé en 2011. Objectif : aider le gouvernement d’union du pays à lutter contre l’État islamique.
L’organisation terroriste État islamique (EI ou Daesh en arabe) en Libye a réussi à prendre le contrôle d’une nouvelle localité stratégique dans l’ouest du pays, a indiqué jeudi un porte-parole de la cellule chargée des opérations contre l’EI dans l’ouest de la Libye.
Islam, laïcité, Daech… Une étude réalisée par l’agence tunisienne Sigma Conseil apporte un éclairage édifiant sur la relation que les citoyens des pays d’Afrique du Nord entretiennent avec la religion. Jeune Afrique vous en offre en exclusivité les principaux résultats.
Sur décision des autorités libyennes, le trafic commercial est complètement paralysé depuis vendredi à Ras Jedir, principal poste frontière entre la Tunisie et la Libye.
Le gouvernement d’union nationale libyen a pris lundi le contrôle du siège du ministère des Affaires étrangères, un pas supplémentaire pour asseoir son autorité dans ce pays livré aux milices et pouvoirs rivaux depuis des années.
Le vice-président libyen Ahmed Maetig, en visite à Rome, a souhaité vendredi que l’Union européenne négocie avec la Libye un accord sur le modèle de celui conclu mi-mars entre l’UE et la Turquie pour freiner les flux de migrants vers l’Europe.
Les États-Unis ont élargi mardi leurs sanctions contre la Libye en ciblant les opposants au gouvernement d’union soutenu par la communauté internationale. Le chef du gouvernement non reconnu basé à Tripoli, Khalifa Ghweil, est visé par ces sanctions.
Neutralité des milices, ralliement du Parlement de Tripoli et des principales institutions… Le gouvernement d’union nationale en Libye n’est plus une chimère. Reportage.
Nouvel échec pour le gouvernement d’union libyen soutenu par l’ONU. Le Parlement, qui devait se réunir lundi pour le vote de confiance, a reporté sine die sa session en raison de profondes divergences, a fait savoir un député.
L’émissaire des Nations unies pour la Libye a annoncé dimanche le retour de la mission de l’ONU dans le pays qu’elle avait quitté à l’été 2014 en raison des violences. Ce retour intervient avant un vote crucial du Parlement libyen sur le gouvernement d’union nationale.
Les ministres français et allemand des Affaires étrangères sont arrivés samedi à Tripoli pour rencontrer le Premier ministre désigné du gouvernement libyen d’union nationale, qui tente d’asseoir son autorité dans ce pays divisé et miné par des violences, a constaté un photographe de l’AFP.
Les ambassadeurs de France, d’Espagne et du Royaume-Uni sont arrivés jeudi à Tripoli pour apporter le soutien de leur pays respectif au nouveau gouvernement d’union nationale, deux jours après la visite du chef de la diplomatie italienne, a constaté un journaliste de l’AFP.
Assiégée en Irak et en Syrie, l’organisation terroriste État islamique (EI) veut faire de la Libye une base de repli, voire un nouveau fief. Sa stratégie : la politique de la terre brûlée. Analyse.
Les employés de quatre champs pétroliers ont été évacués et ceux d’un cinquième sont en grève par crainte d’éventuelles attaques du groupe jihadiste État islamique (EI), a-t-on appris lundi.