Deux Italiens enlevés en juillet en Libye et libérés vendredi sont arrivés dimanche en Italie, un retour entouré de silence alors que des questions demeurent sur la mort de deux autres otages kidnappés en même temps qu’eux.
Deux employés italiens d’une société de construction qui avaient été enlevés en juillet en Libye ont été libérés vendredi après une opération de milices libyennes contre des djihadistes du groupe État islamique dans la région de Sabrata, dans l’ouest du pays.
Les « terroristes » ont été tués mercredi soir lors d’affrontements avec des forces militaires et sécuritaires dans la région de Ben Guerdane, au sud de la Tunisie, près de la frontière libyenne. Selon le Premier ministre tunisien Habib Essid, cette opération a permis de déjouer des actions terroristes.
Le ministre de la Défense britannique Michael Fallon a annoncé lundi le déploiement de formateurs militaires britanniques en Tunisie afin d’empêcher des djihadistes de l’État islamique présents en Libye de passer la frontière tunisienne.
Pour stopper Daesh, l’option d’une intervention militaire internationale est de plus en plus envisagée mais fait débat, notamment chez des voisins maghrébins inquiets des probables conséquences.
Un rapport d’enquête d’une centaine de pages publié jeudi par le Haut commissariat aux droits de l’homme des Nations unies fait état des abus commis en Libye entre 2014 et 2015. Et le constat est accablant.
Le chef de l’organisation terroriste État islamique (EI) pour la ville de Sabrata, près de Tripoli, a été capturé avec deux de ses compagnons, a annoncé jeudi le ministère de l’Intérieur du gouvernement libyen non reconnu par la communauté internationale.
Environ 200 jihadistes du groupe État islamique (EI) ont réussi à occuper mardi pendant plusieurs heures le centre de Sabrata près de Tripoli, avant d’en être chassés par des miliciens membres de la coalition Fajr Libya.
Deux ressortissants serbes qui avaient été enlevés en novembre dernier en Libye ont péri lors de la frappe aérienne américaine contre un camp d’entraînement du groupe Etat islamique, a annoncé samedi le ministre Serbes des Affaires étrangères Ivica Dacic.
Cinq ans après le début de la révolution qui a précipité la chute du « Guide », la traque des membres de son clan et de ses milliards continue d’alimenter tous les fantasmes. Que font-ils, que savent-ils et surtout où sont-ils ? Enquête.
La justice libanaise veut l’entendre au sujet de la disparition, en 1978, de Moussa Sadr, dans laquelle son père est directement impliqué. Cette fois, l’enfant terrible aura bien du mal à se tirer d’affaire…
Accueillis par Bouteflika en août 2011, la seconde épouse du dictateur et trois de ses enfants ont été une réelle source d’embarras pour les services algériens.
Un gouvernement d’union nationale a été formé en Libye, à l’issue de négociations qui se tenaient à Shkirat, au Maroc. Sa composition a été soumise au Parlement internationalement reconnu, siégeant à Tobrouk.
Laurent Fabius a quitté le gouvernement par la grande porte. Remplacé par Jean-Marc Ayrault, l’ex-chef de la diplomatie française pourrait prendre la tête du prestigieux Conseil constitutionnel, sur proposition de François Hollande. Quel est son bilan en Afrique ?
Une campagne de bombardements aériens visant les sites et les arsenaux de l’État islamique en Libye, sur le modèle de celle menée en Syrie et en Irak ?
Des responsables de l’administration américaine ont fait état jeudi d’une présence « de l’ordre de 5 000 combattants en Libye. Un nombre qui s’est multiplié par deux par rapport aux précédentes estimations.
Après l’Irak et la Syrie, la communauté internationale doit-elle intervenir en Libye ? Les États-Unis et d’autres pays, réunis mardi à Rome, envisagent sérieusement cette hypothèse. Dans quelles conditions ? Explication en six questions.
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a démenti mardi 2 février toute velléité de la France d’intervenir militairement contre l’État Islamique (EI) en Libye.
Cinq ans après avoir écrasé sous les bombes le régime psychopathe de Mouammar Kadhafi, les stratèges de l’Otan s’apprêtent à remettre le couvert pour « finir le travail » – à moins que ce ne soit pour réparer leur coupable imprévoyance.
À l’issue d’une réunion du Conseil de sécurité nationale jeudi à Washington, Barack Obama a affirmé que les États-Unis étaient prêts à traquer le groupe État islamique au-delà de la Syrie et l’Irak, jusqu’en Libye si nécessaire.
Le parlement de Tobrouk-Baïda, reconnu par la communauté internationale, a rejeté lundi le gouvernement d’union nationale formé sous l’égide les Nations Unies.
En Libye, les négociations se poursuivent autour de la composition du futur gouvernement. Après le rejet de sa première proposition à une large majorité par le Parlement de Tobrouk, ce lundi, le Premier ministre libyen, Fayez el-Sarraj, dispose d’une dizaine de jours pour soumettre aux députés un nouveau cabinet.
Le parlement libyen basé à Tobrouk et reconnu par la communauté internationale a rejeté ce lundi le gouvernement d’union nationale parrainé par l’ONU, demandant la formation d’un nouveau gouvernement plus restreint.