La Tunisie a annoncé le mardi 18 août avoir autorisé la reprise des vols en provenance de deux aéroports libyens. Ils avaient été stoppés l’an dernier pour des raisons de sécurité.
Entre la Suisse, l’Algérie et le Maroc, les pourparlers entamés depuis plusieurs mois entre les acteurs de la crise libyenne se poursuivent et une feuille de route semble se dégager. Retour sur des négociations qui paraissent sans fin.
De violents combats à Syrte (nord) entre les jihadistes de l’organisation État islamique (EI) et des hommes armés locaux ont fait entre 150 et 200 morts, a affirmé vendredi l’ambassadeur de Libye à Paris.
Alors que son pays est coupé en deux, le président de ce fonds souverain, nommé par le gouvernement de Tobrouk, veut asseoir sa légitimité face à son « double », proche des autorités de Tripoli.
Au cours d’une interview télévisée, Abdallah al-Theni, Premier ministre libyen reconnu par la communauté internationale, a annoncé mardi soir sa démission, selon l’agence de presse nationale Lana loyale au gouvernement
Suite de notre série sur les palais des dirigeants africains : celui de Kadhafi. Une femme l’a visité et raconte. Cécilia Sarkozy, à l’époque encore épouse de Nicolas, aurait affronté et dompté le « Guide » en son bunker !
Cinq passeurs présumés, rescapés du naufrage ayant fait plus de de 200 morts mercredi en Méditerranée, ont été arrêtés vendredi par la police italienne.
Plus de 200 personnes étaient portées disparues mercredi après-midi au large des côtes libyennes après le naufrage d’un bateau de pêche surchargé de migrants. Ce naufrage pourrait être le pire depuis celui qui a coûté la vie à quelque 800 personnes en avril.
Le gouvernement de Tripoli a décidé d’ouvrir une enquête suite à la diffusion dimanche d’une vidéo qui montrerait Saadi Kadhafi se faire torturer durant un interrogatoire.
Un tribunal de Tripoli a condamné à mort le fils préféré du défunt « Guide » libyen. Détenu par des miliciens de Zintan, l’ancien dauphin putatif comparaissait par vidéoconférence.
Selon Paris, la présence de forces internationales en Libye pour soutenir un nouveau gouvernement deviendra tôt ou tard indispensable. Un dossier qui a été au coeur des discussions entre le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian lors de sa visite au Caire les 25 et 26 juillet.
La condamnation à mort, mardi, par un tribunal de Tripoli, de Baghdadi al-Mahmoudi, suscite un début de controverse à Tunis. L’ancien Premier ministre de Mouammar Kadhafi y avait été détenu avant d’être extradé en Libye dans des conditions peu glorieuses.
Le tribunal de Tripoli a rendu son jugement mardi, condamnant par contumace le fils de Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam, et huit proches de l’ex-« Guide suprême » à la peine capitale pour leur rôle dans leur répression du soulèvement de 2011.
Au moins une dizaine de migrants seraient morts dans le naufrage d’un bateau pneumatique au large des côtes libyennes mercredi matin. Le bilan pourrait être beaucoup plus conséquent.
S’il ne met pas fin à la guerre civile, l’accord de Skhirat offre une feuille de route pour relancer la transition politique. Un pas encourageant mais hypothéqué par le boycott des radicaux.
Après l’attaque de Sousse, Tunis a annoncé une série mesures pour lutter contre le terrorisme, dont la construction d’un mur à la frontière libyenne. Chez le voisin, cette décision suscite les critiques.
Deux soldats des forces gouvernementales reconnues par la communauté internationale ont été tués lundi dans des affrontements à Benghazi, au lendemain du bombardement d’un quartier résidentiel qui a coûté la vie à cinq personnes.
Les Nations Unies et l’Union européenne ont salué d’une seule voix dimanche la signature d’un accord « de paix » en Libye par l’une des deux parties rivales, le gouvernement de Tobrouk, en dépit de l’absence du gouvernement de Tripoli.
Les parties libyennes en conflit ont paraphé samedi soir à Skhirat, au Maroc, l’accord « de paix et de réconciliation » proposé par l’ONU, en dépit de l’absence des représentants du parlement de Tripoli.
Des centaines de migrants secourus ces derniers jours en Méditerranée, ainsi que les corps de 12 autres retrouvés morts dans leur canot, sont arrivés samedi en Sicile dans le sud de l’Italie.
Pays le plus poreux à la pénétration jihadiste dans la région, la Libye est aussi celui où, paradoxalement, les logiques locales mettent un frein aux ambitions expansionnistes de Baghdadi.
Un important recruteur de l’EI a été tué dans un raid de l’aviation américaine le 15 juin à Mossoul, dans le nord de l’Irak, a annoncé lundi un porte-parole du Pentagone.
Les dix fonctionnaires du consulat tunisien de Tripoli, enlevés le 12 juin par une milice armée libyenne, ont été libérés vendredi matin. La Tunisie a annoncé la fermeture de son consulat en Libye.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, a refusé jeudi de confirmer la mort du chef terroriste Mokhtar Belmokhtar, mais affirmé que celle-ci était tout de même « très probable ».
Lundi, les restes de corps de trente migrants ont été retrouvés dans le Sahara a annoncé l’Organisation Internationale pour les migrations. Une macabre découverte qui porte à 48 le nombre de corps retrouvés au Niger, cette année.
Le gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale a annoncé la mort de Mokhtar Belmokhtar, visé par une frappe américaine, dans la nuit de samedi à dimanche. Mais Washington ne confirme par l’information pour le moment.
Après s’être emparé en mai de l’aéroport de Syrte, ainsi que d’une centrale thermique voisine, l’État islamique (EI) affirme désormais avoir pris le contrôle de l’ensemble de Syrte, ville côtière du centre de la Libye, a rapporté mardi le Centre américain de surveillance des sites islamistes SITE.