Des combats entre milices ont repris vendredi autour du site stratégique de l’aéroport de Tripoli, seulement quelques heures après l’annonce d’un cessez-le-feu.
Un accord de cessez-le-feu a été signé dans la nuit de jeudi à vendredi entre les milices qui s’affrontent depuis dimanche pour le contrôle de l’aéroport international de Tripoli, a annoncé la mairie de Tripoli.
L’aéroport international de Tripoli est depuis dimanche le théatre d’affrontements entre groupes armés. Jeudi, le terminal a été très endommagé par des roquettes.
Des enquêteurs privés ont remis un rapport aux autorités libyennes selon lequel l’ancien directeur de cabinet de Moummar Kadhafi, Béchir Saleh, mènerait des opérations de déstabilisation depuis l’Afrique du Sud.
Inquiets de voir le pays sombrer dans le chaos, les six pays frontaliers s’impliquent dans le dossier. Mais leur initiative, soutenue par l’Union africaine et la Ligue arabe, n’est pas du goût des Occidentaux.
Le gouvernement libyen a annoncé dans la nuit de lundi à mardi qu’il envisageait le recours à des forces internationales pour rétablir la sécurité, en particulier dans la capitale. Depuis dimanche, Tripoli est le théâtre d’affrontements entre groupes armés.
À l’issue d’une réunion, qui s’est tenue lundi en Tunisie, les États voisins de la Libye ont appelé à l’instauration d’un dialogue national. Ils ont également annoncé la mise en place de commissions sécuritaire et politique pour tenter d’aider le pays à sortir de l’anarchie.
Des groupes armés s’affrontaient dimanche dans la capitale libyenne pour le contrôle de l’aéroport de Tripoli, illustrant la lutte d’influence entre libéraux et islamistes dans ce pays livré à l’anarchie depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011.
Des groupes armés s’affrontaient dimanche dans la capitale libyenne pour le contrôle de l’aéroport de Tripoli, illustrant la lutte d’influence entre libéraux et islamistes dans ce pays miné par l’anarchie depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011.
Abdulmagid Breish, le directeur du fonds souverain Libyan Investment Authority (LIA), a été contraint à la démission par une loi visant les anciens dignitaires du régime de Mouammar Kadhafi. LIA gère environ 66 milliards de dollars d’actifs, principalement liés à l’exportation d’hydrocarbures.
On espérait des Sud-Africains et des Érythréens sur les routes du Tour de France. Mais, cette année encore, la compétition est orpheline du continent. Pourtant, l’Afrique est loin d’être une terre sans cyclisme.
Indispensable attribut du pouvoir ou plaisir dispendieux, l’avion présidentiel est un objet mythique. De Bouteflika à Biya en passant par Déby Itno, les dirigeants africains ne s’en privent pas plus que les autres.
Après avoir pris le contrôle de deux ports encore bloqués par les rebelles dans l’est de la Libye, le chef du gouvernement intérimaire, Abdallah el-Thinni, a annoncé mercredi soir la fin de la crise pétrolière en Libye.
En marge du 23è sommet de l’Union africaine, qui se clôture ce soir à Malabo, les pays voisins de la Libye ont constitué un « groupe des six » pour suivre de plus près l’évolution du turbulent pays. Mais aussi pour prendre le relais d’une diplomatie occidentale qui, pensent-ils, a montré ses limites.
Les Libyens attendent, jeudi, l’annonce des résultats préliminaires des législatives. Un scrutin endeuillé par l’assassinat d’une militante réputée des droits de l’homme.
Le climat d’insécurité dans le pays n’a pas permis mercredi une forte participation des Libyens aux législatives. Un scrutin pourtant crucial pour l’avenir de la transition démocratique dans un État qui s’enfonce dans l’anarchie depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011.
Mercredi, les Libyens élisent leur nouveau Parlement. Un vote important dans la mesure où celui-ci aura la lourde tâche de rétablir l’odre dans le pays.
Présent au 23e sommet de l’Union africaine à Malabo, en Guinée équatoriale, le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohamed Abdelaziz, a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
La Libye a dénoncé mercredi la capture sur son sol, par les Américains, de Abu Khattala, responsable présumé de l’attaque meurtrière contre la mission diplomatique américaine à Benghazi en 2012. Tripoli a réclamé qu’il soit jugé en Libye.
Destinée à neutraliser les islamistes, l’opération Dignité du général Khalifa Haftar bénéficie de solides soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, devenu un terrain d’affrontement entre puissances régionales rivales.
Selon le « Washington Post », les forces spéciales américaines ont arrêté, le 15 juin, Ahmed Abu Khattala, l’un de principaux suspects de l’attaque de septembre 2012 contre la mission diplomatique américaine de Benghazi, dans l’est de la Libye.
Faute d’approvisionnement suffisant, Tripoli subit de plein fouet une pénurie d’électricité et de carburant. Depuis la chute de Kadhafi, la Libye importe la majeure partie de sa consommation d’hydrocarbures.
Les forces du général dissident Khalifa Haftar ont affronté dimanche des groupes islamistes à Benghazi, dans l’est de la Libye. Les combats ont fait au moins huit morts et quinze blessés.
Des combats opposaient dimanche les forces du général dissident Khalifa Haftar à des groupes islamistes à Benghazi, dans l’est de la Libye, faisant au moins quatre morts et neuf blessés, selon des témoins et une source médicale.
L’élection début mai du Premier ministre libyen Ahmed Miitig a été jugée, lundi, anticonstitutionnelle par la Cour suprême. Une décision qui met fin à un imbroglio politico-judiciaire en Libye, où deux gouvernements se disputaient la légitimité du pouvoir sur fond de violences dans l’Est.