Le climat d’insécurité dans le pays n’a pas permis mercredi une forte participation des Libyens aux législatives. Un scrutin pourtant crucial pour l’avenir de la transition démocratique dans un État qui s’enfonce dans l’anarchie depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011.
Mercredi, les Libyens élisent leur nouveau Parlement. Un vote important dans la mesure où celui-ci aura la lourde tâche de rétablir l’odre dans le pays.
Présent au 23e sommet de l’Union africaine à Malabo, en Guinée équatoriale, le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohamed Abdelaziz, a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
La Libye a dénoncé mercredi la capture sur son sol, par les Américains, de Abu Khattala, responsable présumé de l’attaque meurtrière contre la mission diplomatique américaine à Benghazi en 2012. Tripoli a réclamé qu’il soit jugé en Libye.
Destinée à neutraliser les islamistes, l’opération Dignité du général Khalifa Haftar bénéficie de solides soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, devenu un terrain d’affrontement entre puissances régionales rivales.
Selon le « Washington Post », les forces spéciales américaines ont arrêté, le 15 juin, Ahmed Abu Khattala, l’un de principaux suspects de l’attaque de septembre 2012 contre la mission diplomatique américaine de Benghazi, dans l’est de la Libye.
Faute d’approvisionnement suffisant, Tripoli subit de plein fouet une pénurie d’électricité et de carburant. Depuis la chute de Kadhafi, la Libye importe la majeure partie de sa consommation d’hydrocarbures.
Les forces du général dissident Khalifa Haftar ont affronté dimanche des groupes islamistes à Benghazi, dans l’est de la Libye. Les combats ont fait au moins huit morts et quinze blessés.
Des combats opposaient dimanche les forces du général dissident Khalifa Haftar à des groupes islamistes à Benghazi, dans l’est de la Libye, faisant au moins quatre morts et neuf blessés, selon des témoins et une source médicale.
L’élection début mai du Premier ministre libyen Ahmed Miitig a été jugée, lundi, anticonstitutionnelle par la Cour suprême. Une décision qui met fin à un imbroglio politico-judiciaire en Libye, où deux gouvernements se disputaient la légitimité du pouvoir sur fond de violences dans l’Est.
Alors que ce fléau frappait essentiellement les nations riches, les pays émergents sont à leur tour atteints de plein fouet. Sur le continent, la Libye et l’Afrique du Sud sont les plus touchées.
Depuis son départ forcé de Libye, l’ancien Premier ministre Ali Zeidan voyage énormément. Les envoyés spéciaux en Libye de la France, des États-Unis, de la Ligue arabe et du Royaume-Uni l’ont notamment rencontré le 29 mai à Paris.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a décidé jeudi de geler temporairement ses opérations en Libye, après l’assassinat, la veille, de son délégué à Syrte, ville natale de Mouammar Kadhafi.
Un attentat suicide a été perpétré mercredi en Libye contre un quartier général du dissident Khalifa Haftar. Trois membres de ses troupes ont perdu la vie.
À première vue, les violences au Nord-Mali, au Nigeria ou en Centrafrique ont peu de chose en commun. Pourtant, tout est lié, et c’est en partie à Kadhafi qu’on le doit. Enquête sur cet arc de crises qui inquiète les chancelleries.
Des combats ont opposé lundi les forces du général Khalifa Haftar à des groupes islamistes à Benghazi, dans l’est de la Libye, faisant au moins 21 morts, alors que le Premier ministre contesté Ahmed Miitig a pris possession du siège du gouvernement à Tripoli.
Au moins 16 personnes, dont 11 militaires, ont été tués lundi à Benghazi, dans l’est de la Libye, dans de violents affrontements entre des groupes islamistes et les forces armées loyales au général dissident Khalifa Haftar.
De nouveaux raids aériens ont eu lieu dimanche contre des groupes islamistes radicaux dans la ville de Benghazi (est de la Libye). Al-Qaïda a appelé à combattre les forces du général dissident Khalifa Haftar, cet « ennemi de l’islam », à l’origine de ces attaques.
Khalifa Haftar rêve d’un destin national. Ce général se pose en rempart contre les islamistes. Et tente un pari risqué : sortir la Libye du chaos, ou l’y enfoncer encore un peu plus.
Les jours se suivent et se ressemblent en Libye alors que le pays s’enfonce dans la crise. Il se retrouve aujourd’hui avec deux gouvernements sur fond de lutte d’influence entre libéraux et islamistes.
Le général à la retraite Khalifa Haftar maintient la pression sur les islamistes de Benghazi. Mercredi, il a envoyé un nouveau raid aérien contre des positions de la « brigade des martyrs du 17 février ».
Un chef de milice ambitieux, des factions politiques rivales, des intermédiaires sulfureux, un pouvoir central libyen impuissant… Enquête sur les protagonistes du mauvais feuilleton qui s’est dérouléé au large de Chypre au mois de mars.
Des hommes armés ont attaqué mardi matin, à l’aube, la maison d’Ahmed Miitig à Tripoli. Le nouveau Premier ministre libyen et sa famille sont indemnes.
Les gardes des installations pétrolières de l’Est libyen, partisans de l’autonomie, ont affirmé, lundi, qu’ils rejetaient le nouveau gouvernement formé par le Premier ministre, Ahmed Miitig, dont ils contestent l’élection.