Bloqués depuis juillet 2013 par des rebelles autonomistes, les principaux terminaux pétroliers de l’est de la Libye sont en passe d’être rouverts suite à des négociations avec le pouvoir central.
Depuis trois semaines, les habitants de Ben Guerdane, dans le sud-est de la Tunisie, s’opposent à la fermeture du poste frontalier de Ras Jedir, haut lieu de contrebande de carburant libyen. Un trafic lucratif pour la population locale.
Les 2 et 3 avril, les dirigeants de l’Afrique et de l’Union européenne se réuniront à Bruxelles. Au coeur des débats, les questions de l’immigration et de la sécurité, mais aussi les partenariats économiques.
Chef de l’État de facto, le président du Parlement, Nouri Abou Sahmein, semble n’être qu’un pion avancé par les islamistes dans leur stratégie de conquête du pouvoir. Portrait d’un Berbère renié par les siens.
Selon l’AFP, le fonds souverain libyen a déposé une plainte auprès de la Haute Cour de Londres contre la Société générale, qu’il accuse d’avoir versé des pots-de-vin à un des proches d’un fils du colonel Kadhafi. Des « allégations » jugées infondées par la banque française.
Sept ans après la libération des infirmières bulgares détenues en Libye par Mouammar Kadhafi, Cécilia Attias, l’ex-épouse de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, a rencontré jeudi celles qu’elle avait ramenées en France après plus de huit années d’emprisonnement.
Dans une interview accordée mardi au quotidien britannique « The Times », l’ancien Premier ministre libyen Ali Zeidan dit craindre que son pays se transforme en une base pour Al-Qaïda.
Soumis à d’intenses pressions depuis plusieurs mois, le Premier ministre Ali Zeidan, pris en tenaille entre les fédéralistes de Cyrénaïque et le Parlement, n’a cette fois pas réussi à sauver sa tête.
La marine américaine a remis aux autorités libyennes un navire chargé de brut acheté illégalement à des rebelles autonomistes de l’est de la Libye, où ces derniers défiaient de nouveau l’autorité de l’Etat en tentant de prendre le contrôle d’une caserne militaire.
Une opération conjointe des services de sécurité espagnols et marocains au cours de la semaine du 10 mars a permis de mettre fin aux activités d’un important recruteur de combattants jihadistes.
Selon des sources militaires et hospitalières locales, au moins 5 soldats ont été tués et 10 autres blessés dans l’explosion lundi d’une voiture piégée près d’une académie militaire à Benghazi.
Les citoyens ont été appelés aux urnes le 20 février pour élire – enfin – les soixante constituants. Mais le scrutin a été fortement perturbé par des groupes armés…
Dans une interview accordée jeudi à France 24, Ali Zeidan a rejeté les accusations de corruption portées contre son gouvernement. Réfugié en Europe, l’ex-Premier ministre libyen a promis également de rentrer dans son pays. Mais « pas dans le contexte actuel ».
Vingt-quatre heures après la destitution du Premier ministre Ali Zeidan, Tripoli a annoncé mercredi avoir donné un ultimatum de deux semaines aux rebelles autonomistes pour libérer des sites pétroliers dans l’est du pays.
Depuis son exil nigérien, Saadi Kadhafi, le fils du « Guide » défunt, fomentait des troubles en Libye. Pour le président Mahamadou Issoufou, qui lui avait accordé l’asile, la coupe était pleine : il l’a livré aux autorités de son pays.
En lançant un calamiteux appel au renversement du pouvoir, Khalifa Haftar, cet ancien colonel de l’armée de Kadhafi passé par les camps de la CIA au Tchad, a tiré ses dernières cartouches.
Quelques heures après l’annonce mardi de sa destitution par le Congrès général national (CGN), Ali Zeidan a été interdit de quitter le territoire national. L’ex-Premier ministre libyen serait dans le collimateur de la justice dans une affaire de détournement de fonds publics.
Le Congrès général national (CGN, Parlement), plus haute autorité politique de Libye, a décidé mardi de retirer sa confiance au gouvernement du Premier ministre Ali Zeidan. Le ministre de la Défense Abdallah al-Theni d’assurera l’intérim.
Des forces pro-gouvernementales libyennes ont arraisonné lundi soir un pétrolier battant pavillon nord-coréen, avec à son bord une cargaison illégale de pétrole achetée à des rebelles autonomistes. Moins de 24 heures plus tard, le navire a pris le large.
Le pétrolier pavillon nord-coréen qui mouillait dans un port de l’est du pays pour charger une cargaison « illégale » au profit de rebelles autonomistes a été intercepté lundi en fin de journée.
Pour tenter de mettre fin au blocage des sites pétroliers, le Congrès général national libyen (CGN) a annoncé lundi sa décision de mettre en place une force armée spéciale composée à la fois d’unités de l’armée et d’ex-rebelles.
Les autorités libyennes ont menacé samedi de bombarder un pétrolier battant pavillon nord-coréen qui mouille dans un port de l’Est du pays pour charger une cargaison « illégale » au profit de rebelles autonomistes de l’Est libyen.
Des miliciens armés cherchaient samedi à exporter leur première cargaison de brut au port d’Al-Sedra, dans l’est de la Libye, à bord d’un pétrolier battant pavillon nord-coréen, selon des responsables libyens.