La dépouille de l’ancien ministre des Affaires étrangères, Mansour Kikhia, disparu en 1993 a été retrouvée. Mais le mystère de son enlèvement et de son assassinat reste entier.
Conflit israélo-palestinien, guerre civile syrienne, nucléaire iranien, révolution libyenne, intervention dans le Nord-Mali… Autant de dossiers ultrasensibles sur lesquels le pourfendeur du devoir d’ingérence, Rony Brauman, affiche des positions qui détonnent.
L’ancien chef politique du Conseil national de transition libyen, Mustapha Abdeljalil, a été accusé par la justice militaire d’abus de pouvoir et d’atteinte à l’unité nationale, dans le cadre de l’affaire de l’assassinat du chef d’état-major des rebelles, Abdelfattah Younès, en juillet 2011.
Alors que son nom circule avec une certaine insistance au Sénégal, Alain Giresse est devenu la priorité de la fédération libyenne. L’ancien sélectionneur du Mali se rendra dans les prochains jours à Tripoli pour poursuivre les discussions.
Afif Bejaoui a bâti les pôles hôteliers de grands groupes locaux, a monté une société de produits laitiers… Aujourd’hui à la tête de SNMVT International, l’homme d’affaires développe l’enseigne Monoprix dans le monde arabe.
Dix-neuf ans après sa disparition, la dépouille de Mansour Kikhia, ancien ministre lybien des Affaires étrangères et opposant du colonel Kadhafi, a été retrouvée.
La Libye a rendu hommage dimanche à un farouche opposant à Mouammar Kadhafi qui n’avait plus donné signe de vie depuis sa disparition au Caire en 1993. Le corps de Mansour al-Kikhia a été retrouvé, dix-neuf ans plus tard dans une villa des services de renseignement de l’ex-régime.
Alors qu’une intervention dans le Nord-Mali se précise, le chef d’Ansar Eddine lâche Aqmi, son allié d’un temps. Portrait d’un rebelle touareg aussi rusé que pragmatique.
Dans un discours tenu le lundi 12 novembre devant le Congrès général national libyen (CGN), le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a affirmé que la France était prête à aider la Libye pour relever le défi de la sécurité.
Le dernier Premier ministre du régime libyen déchu, Baghdadi Mahmoudi, a comparu devant ses juges lundi à l’ouverture de son procès qui a été aussitôt reporté au 10 décembre, selon des journalistes de l’AFP sur place.
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, se rend lundi 12 novembre en Libye où il s’entretiendra avec le président du Congrès général national (CGN), Mohamed al-Megaryef, afin de soutenir le processus démocratique, a annoncé le Quai d’Orsay. Puis il se rendra mardi au Caire pour participer à une réunion de la Ligue arabe et de l’UE.
Pour la première fois, le réseau Migreurop a publié un bilan sur les 20 dernières années de ce qu’il appelle la « guerre aux migrants » livrée par l’Union européenne. En moyenne, selon les associations, pas moins de cinq personnes trouvent la mort chaque jour aux frontières de l’Europe depuis deux décennies.
Trafic d’armes et de munitions allaient déjà bon train au Mali. Après avoir chassé l’armée malienne et le MNLA du Nord, les jihadistes n’ont plus eu qu’à se servir…
Quatre policiers ont été légèrement blessés dimanche dans l’explosion d’une voiture près d’un poste de police à Benghazi (est), la deuxième ville de Libye, a rapporté l’agence officielle Lana.
Des centaines de partisans du fédéralisme ont manifesté vendredi à Benghazi, dans l’est de la Libye, pour réclamer l’autonomie de cette région riche en pétrole et berceau de la révolution contre le colonel Mouammar Kadhafi.
Pris d’assaut par des éléments proches d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), le 11 septembre dernier, le consulat de Benghazi abritait une mission secrète des services de renseignement américain (CIA), rapporte le Wall Street Journal, dans son édition du 2 novembre.
Le deuxième Premier ministre de l’ère post-Kadhafi a réussi à former son gouvernement. Ali Zeidan a été soutenu, mercredi 31 octobre, par une forte majorité des députés du Congrès général national libyen.
À l’occasion de l’anniversaire de la mort du « Guide » libyen, Mouammar Kadhafi, l’ONG Human Rights Watch a publié une enquête choc sur l’exécution du dictateur et de ses proches.
Ancien militant des droits de l’homme, Ali Zeidan a été élu Premier ministre par le Parlement, le 14 octobre. Sa priorité : former un gouvernement et rétablir la sécurité.
Lors du deuxième débat présidentiel, le candidat républicain comptait bien mettre son adversaire en difficulté en exploitant la mort de quatre Américains en Libye, le 11 septembre. Il en a été pour ses frais.
Les Libyens ont célébré, mardi 23 octobre, le premier anniversaire de la libération nationale proclamée il y a un an à Benghazi, berceau de la révolution contre le régime de Kadhafi. Mais à Bani Walid, les combats se poursuivent toujours entre anciens rebelles et pro-Kadhafistes.
Si elle a repris ses vols, la compagnie nationale libyenne Afriqiyah n’est pas encore remise du conflit. Interdite en Union européenne, elle doit se restructurer pour affronter la concurrence.
Incapable de former un gouvernement de consensus, Mustapha Abou Chagour a rendu son tablier. Si son successeur, Ali Zeidan, aura peut-être plus de chance, cet échec est révélateur d’une situation politique particulièrement confuse.
Dans un entretien à bâtons rompus avec J.A., quelques heures avant de s’envoler pour sa première tournée sur le continent, le président français évoquait l’Afrique subsaharienne, qu’il s’apprêtait à découvrir, et le Maghreb, dont il est plus familier. Confidences d’un homme curieux et attentif.
Le programme de Canal+, Spécial Investigation, consacre une émission spéciale à l’islam radical au Maghreb et Moyen-Orient. À ne pas manquer, le 29 octobre, à 22 heures 35, sur la chaîne cryptée.
La confusion régnait en Libye samedi après des déclarations officielles contradictoires sur des arrestations de membres de l’ancien régime, au moment où des combats font des dizaines de morts et de blessés dans l’ouest du pays, un an jour pour jour après la mort de Mouammar Kadhafi.
L’ancien porte-parole du régime de Mouammar Kadhafi durant la révolution libyenne de 2011, a été arrêté samedi à un barrage dans la ville de Tarhouna, à une cinquantaine de km au sud-est de Tripoli, a indiqué le bureau du chef du gouvernement.
Le spectre de Mouammar Kadhafi hante toujours les nouvelles autorités libyennes qui ont estimé samedi que le pays n’a pas été totalement libéré de son régime, un an jour pour jour après la mort du dictateur déchu.