Aghaly Ag Alambo, l’ex-rebelle touareg, qui fut un proche de Kadhafi, a été arrêté au Niger. Il est soupçonné d’avoir organisé un trafic d’explosifs destinés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Hannibal Kadhafi, cinquième fils de l’ancien dictateur libyen, avait commandé la fabrication d’un yacht luxueux. Particularité du navire : il devait abriter un aquarium à requins de 120 tonnes d’eau…
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz aurait accepté l’extradition vers la Libye de l’ex-chef des renseignements de Mouammar Kadhafi, Abdallah Senoussi, a assuré le vice-Premier ministre libyen, Moustapha Abouchagour, dans la soirée du 20 mars sur son compte Twitter. Une information aussitôt démentie par les autorités mauritaniennes.
Neufs membres d’un réseau de trafic de drogue international ont été arrêtés mardi 13 mars par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) marocaine. Qui ont découvert un véritable trésor de guerre.
Un an tout juste après le lancement de l’opération militaire conduite par l’Otan en Libye, Amnesty International estime que « des enquêtes adéquates doivent être menées » par l’organisation sur la mort de « dizaines de civils » tués par erreur dans ses frappes aériennes, Pour l’ONG, « les victimes et leurs familles doivent être entièrement dédommagées ».
Alors que la Cour pénale internationale (CPI) a rendu son premier jugement mercredi 14 mars à l’encontre du Congolais Thomas Lubanga (RDC), reconnu coupable de crimes de guerre, sept pays africains sont toujours au centre des attentions de l’instance internationale. De la Libye à la Côte d’Ivoire en passant par Khartoum et Kinshasa, J.A. vous invite à un faire le tour d’Afrique des personnalités dans le collimateur de la CPI.
Alors que les alertes se sont multipliées depuis plusieurs mois au sujet de la crise alimentaire qui touche le Sahel, Action contre la faim a déclaré le 13 mars la région tchadienne du Kanem en état d’urgence. Manque d’eau, de nourriture, enfants en sous-nutrition… Les témoignages recueillis par l’ONG sont alarmants, dans un pays au potentiel pourtant important.
Si Nicolas Sarkozy conserve quelques admirateurs nigériens, le cœur des supporters du président socialiste Mahamadou Issoufou penche pour François Hollande. En espérant, toutefois, qu’il n’aille pas trop loin dans sa remise en cause du nucléaire…
Après l’arrestation en Mauritanie d’Abdallah Senoussi, l’ancien chef des renseignements de Mouammar Kadhafi, la France, la Libye et la Cour pénale internationale (CPI) demandent son extradition. Tous veulent juger l’homme des basses oeuvres de l’ancien régime libyen.
La Libye est capable de juger l’ex-chef des renseignements, Abdallah Senoussi, recherché par la Cour pénale internationale et arrêté à Nouakchott, a affirmé dimanche à l’AFP le ministre libyen de la Justice, affirmant la détermination de Tripoli à le juger dans son pays.
Interpol a annoncé dimanche la diffusion d’une demande d’arrestation pour extradition, à la requête de la Libye, du colonel libyen Abdallah Senoussi, ex-chef du renseignement de Mouammar Kadhafi, arrêté en Mauritanie.
Les autorités mauritaniennes doivent enquêter sur l’ex-chef libyen des services de renseignements, Abdallah Senoussi, arrêté à Nouakchott, avant d’examiner une demande d’extradition, a appris samedi l’AFP de source policière mauritanienne.
Un ancien pilier du régime libyen déchu de Mouammar Kadhafi, Abdallah Senoussi, a été arrêté dans la nuit de vendredi à samedi à l’aéroport de Nouakchott, a indiqué une source sécuritaire mauritanienne. L’homme est recherché par la Cour pénale internationale (CPI).
De violents affrontements entre partisans du fédéralisme et opposants à cette option consistant à diviser la Libye en trois régions autonomes, ont fait des victimes à Benghazi (est), a-t-on appris auprès de sources médicales dont les bilans divergeaient.
Les services de sécurité libyens ont arrêté cinq personnes impliquées dans un réseau de traite d’être humains, jeudi 15 mars. Des migrants clandestins venus de Somalie et du Bangladesh étaient retenus dans une ferme et utilisés comme esclaves.
Selon le bureau des Nations unies pour la coordination des Affaires humanitaires (Ocha), ce sont plus de 195 000 personnes qui ont fui les combats du Nord-Mali. La région est le théâtre d’un conflit qui oppose depuis plusieurs semaines l’armée malienne aux rebelles touaregs du MNLA.
L’annonce unilatérale de l’autonomie de la Cyrénaïque, qui concentre l’essentiel des ressources pétrolières libyennes, pourrait remettre le pays sur la voie du fédéralisme. Mais certains redoutent déjà une partition.
Rester aux côtés du fantasque et redoutable Mouammar Kadhafi pendant quarante ans, Safia l’a fait. En silence et en donnant au « Guide » libyen sept enfants. L’infirmière devenue milliardaire se trouve à présent à Alger avec les survivants d’une famille emportée par le vent de l’Histoire.
Interrogé lors d’un débat télévisé le 12 mars, le président français a qualifié de « grotesques » les nouvelles révélations du site français d’information Mediapart évoquant un éventuel financement de sa campagne de 2007 par l’ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi.
Selon le site Internet Mediapart, qui s’est procuré un nouveau document en lien avec l’affaire Takieddine, Nicolas Sarkozy aurait reçu un soutien financier du régime de Kadhafi à hauteur de quelque 50 millions d’euros pour sa campagne de 2007.
Le Premier ministre libyen des autorités de transition, Abderrahim el-Kib, a plaidé dimanche à Tripoli pour un « renforcement de la coopération régionale » afin de lutter contre la montée de la criminalité.
La justice britannique a restitué vendredi à l’Etat libyen une maison londonienne d’une valeur de 10 millions de livres (12 millions d’euros) appartenant à Saadi Kadhafi, fils de l’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi.
Des milliers de personnes ont manifesté vendredi pour protester contre le fédéralisme à Tripoli et Benghazi où une personne est morte et des dizaines d’autres blessées dans des incendies, selon des sources médicales et des journalistes de l’AFP.
Le panel d’experts des Nations unies sur la Libye a remis le 7 mars au Conseil de sécurité son rapport, encore confidentiel, sur la situation sécuritaire dans le pays. Et il n’est pas rassurant.
Tunisie, Égypte, Libye… La major italienne Eni a subi de plein fouet le Printemps arabe. Devenu l’allié des nouveaux pouvoirs en Afrique du Nord, le groupe repart de l’avant et mont en puissance au sud du Sahara.
En marge d’une cérémonie de célébration de la journée de la femme, Mourad Medelci, le ministre algérien des Affaires étrangères, a déclaré que son pays souhaitait aider la Libye à « constituer une armée et une police ».
Le chef du Conseil national de transition Moustapha Abdeljalil a appelé au dialogue avec les chefs de la Cyrénaïque, région de l’Est qui a annoncé son choix du fédéralisme. Mais il a aussi mis en garde les nouveaux chefs contre les tentatives de manipulation de la part de membres de l’ancien régime et a menacé de recourir à la force pour les en dissuader.
Mustapha Abdeljalil, le chef des autorités libyennes, a dénoncé mardi 6 mars une « conspiration » des pays arabes suite à la déclaration d’autonomie d’une région de l’est de la Libye. Selon lui, les États voisins auraient financé la sédition qui « menace l’unité du pays ».