Béchir Salah Béchir, l’ancien directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, a disparu depuis la chute de Tripoli. On ignore s’il se trouve en Libye, au Niger, au Qatar ou même en France.
En visite à Tripoli, Luis-Moreno-Ocampo a affirmé que si la justice libyenne pouvait juger Seif el-Islam, l’action de la CPI à son encontre s’éteindrait. Comme le Premier ministre Abdurrahim el-Keib, il a également émis des doutes sur la capture d’Abdallah Senoussi.
Le nouveau gouvernement de transition libyen a été annoncé mardi soir par le Premier ministre Abdurrahim el-Keib. Deux anciens combattants y occupent les postes stratégiques de la Défense et de l’Intérieur. Les priorités du nouvel exécutif sont la stabilité, la réconciliation nationale et la refonte de l’armée.
Les autorités libyennes sont devant un dilemme : soit elles jouent le jeu des instances internationales en livrant à la CPI Seif el-Islam Kadhafi et Abdallah Senoussi, soit elles montrent leur indépendance vis à vis des Occidentaux, en risquant de perdre une partie de leur soutien.
Abdallah Senoussi, l’ancien chef des services de renseignement libyens du temps de Mouammar Kadhafi, dont il était également le beau-frère, a été arrêté dimanche dans le sud du pays. Comme Seif el-Islam Kadhafi, il devrait être jugé en Libye, a affirmé le CNT.
La capture de Seif el-Islam Kadhafi et la manière dont se jouera son sort vont mettre à l’épreuve la capacité des nouveaux dirigeants libyens à imposer leur autorité et à gérer la transition, estiment des experts.
Les autorités libyennes ont annoncé dimanche qu’elles souhaitaient juger Seif el-Islam en Libye, malgré le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) qui soupçonne le fils de Mouammar Kadhafi, arrêté dans la nuit de vendredi à samedi, de crimes contre l’humanité.
Seif el-Islam, dernier fils encore en cavale de l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, a été arrêté en Libye, où les autorités ont promis « un procès équitable » à cette ancienne figure du régime recherchée par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité.
Seif el-Islam, dernier fils encore en cavale de l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, a été arrêté dans la nuit de vendredi à samedi dans le sud de la Libye par des combattants ex-rebelles, auxquels il a demandé qu’on le tue.
Seif el-islam Kadhafi, dernier fils encore en cavale de l’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité, a été arrêté par d’anciens rebelles dans le sud de la Libye.
Après un long exil aux États-Unis, Abdurrahim el-Keib, un universitaire originaire de Tripoli, succède à Mahmoud Jibril au poste de chef du gouvernement.
Après quatre décennies de règne sans partage de Mouammar Kadhafi, la transition démocratique s’annonce difficile en Libye. Jeudi, des anciens combattants rebelles ont fait savoir au Premier ministre Abdel Rahim al-Kib leur ferme intention d’intégrer le nouveau gouvernement.
Pas facile de faire oublier les divergences franco-sud-africaines sur les dossiers ivoirien et libyen ! En visite à Pretoria, en Afrique du Sud, Alain Juppé a tenté de recoller les morceaux.
Pendant deux jours, les 16 et 17 novembre, des experts venus de tous les pays sont réunis à Alger dans le cadre du Forum global de lutte contre le terrorisme (FGLT). Ils débattront notamment de la menace d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui inquiète de plus en plus les pays du Sahel.
La politique internationale n’est pas le point fort d’Herman Cain, candidat à la primaire républicaine aux États-Unis. Interrogé sur la politique de Barack Obama en Libye, il s’est embourbé de manière magistrale.
Environ 35 milliards de dollars. C’est le montant estimé des investissements réalisés sous Kaddafi sur le continent. Autant d’actifs qui devraient être soldés, à terme, pour financer l’économie libyenne. État des lieux.
Aussi mégalomane qu’excentrique, Mouammar Kadhafi s’est évertué toute sa vie à se convaincre qu’il était prophète en son pays – et au-delà –, se posant tour à tour en panarabiste, en révolutionnaire internationaliste et en unificateur de l’Afrique. La fin atroce du « Guide » libyen met définitivement un terme à l’une des dictatures les plus ubuesques de l’histoire contemporaine.
Le porte-parole du CNT a annoncé qu’il s’attendait à ce qu’un gouvernement de transition soit annoncé dimanche, avant que le délai d’un mois après l’annonce de la libération totale du pays ne soit écoulé. Le Premier ministre Abdel Rahim al-Kib devrait ainsi pouvoir commencer à travailler dès la semaine prochaine.
Entre des relations tumultueuses avec Paris et des voisins méfiants, l’Algérie n’a pas l’image qu’elle souhaite sur la scène mondiale. Sans en souffrir outre mesure. Explications.
Le nouveau régime libyen est-il menacé par le tribalisme ? Dimanche 13 novembre, au moins six personnes sont mortes lors d’affrontements entre des milices rivales, non loin de Tripoli.
L’opposition syrienne a salué comme « un pas » vers la démocratie la décision samedi de la Ligue arabe de suspendre la participation de la Syrie, une démarche qui a provoqué la colère des partisans du président Bachar al-Assad.
Le Niger a accordé l’asile pour des raisons humanitaires à Saadi, l’un des fils de l’ex-leader libyen Mouammar Kadhafi, a annoncé vendredi à Pretoria le président nigérien Mahamadou Issoufou.
Le futur gouvernement intérimaire libyen sera « transparent » et ne comptera pas de membres du régime déchu de Mouammar Kadhafi, a promis vendredi le nouveau Premier ministre Abdel Rahim al-Kib, chargé de le former d’ici le 23 novembre.
En visite à Pretoria, le chef de la diplomatie française Alain Juppé a rencontré son homologue sud-africaine Maite Nkoana-Mashabane, vendredi 11 novembre. Les deux ministres ont mis de côté leurs différends concernant la Libye, afin d’afficher une position commune sur la crise syrienne.
Printemps arabe, immigration, conflit israélo-palestinien, Françafrique… Invitée à déjeuner par l’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (Afacom), le 9 novembre, Marine le Pen s’est livrée à son sport favori : rassurer et tenter de séduire ceux qui, a priori, lui sont opposés. Morceaux choisis.
Dans un entretien accordé à une agence d’information mauritanienne, Mokhtar Belmokhtar affirme qu’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a profité du conflit libyen pour s’armer. Ce chef terroriste a également évoqué l’existence de « relation idéologique » avec la rebellion libyenne.
Au lendemain du jugement autorisant l’extradition de l’ex-Premier ministre libyen Al-Baghdadi Ali Al-Mahmoudi, la cour d’appel de Tunis s’est prononcé contre sa libération.
Le verdict est tombé mardi dans la journée : la justice tunisienne accède à la demande des autorités libyennes d’extrader l’ancien Premier ministre libyen Al-Baghdadi Al-Mahmoudi. À charge pour le président tunisien par intérim, Foued Mebbazza, de valider ou non cette décision.