La capitale libyenne a connu vendredi ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans deux quartiers de la ville. Trois personnes ont été tués et trente blessés.
La capitale libyenne Tripoli a connu ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés fidèles à Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans le quartier d’Abou Slim. Parallèlement, les forces du CNT ont tenté une nouvelle percée à Syrte. Sans grand succès pour l’instant.
À Syrte, les combattants fidèles à Mouammar Kadhafi opposent toujours une féroce résistance aux forces du CNT. Pendant ce temps, l’ex-dirigeant libyen court toujours.
Le gouvernement provisoire n’est même pas formé ni Syrte libérée que les industriels français se précipitent en Libye pour préparer la reconstruction. Les marchés à conquérir sont nombreux.
La résistance des fidèles de Mouammar Kadhafi à Syrte a contraint les combattants du CNT à reculer de deux kilomètres. Annoncée mercredi soir, l’arrestation Mootassim Kadhafi, l’un des fils de l’ancien dirigeant libyen en fuite, a quant à elle été démentie par les autorités de Tripoli.
Véridique ou non, l’annonce de la capture de Mootassem, l »un des fils de Mouammar Kadhafi, est à même de galvaniser les combattants pro-CNT, engagés dans les ultimes combats à Syrte. Le dernier carré des fidèles de l’ex-« Guide » y est cerné dans un espace de trois pâtés de maisons, en bord de mer.
Dans une vidéo diffusée mardi, le nouveau numéro un d’Al-Qaïda, l’Égyptien Ayman al-Zawahiri appelle les Libyens à fonder un régime fondé sur la charia et les Algériens à se révolter à leur tour.
Toujours plus proches de prendre Syrte, les forces du Conseil national de transition libyen (CNT) s’apprêtent à lancer une grande offensive dans l’espoir de faire tomber Bani Walid, l’autre bastion Kadhafiste.
Tunisie, Algérie, Niger… La famille et les affidés du dictateur déchu ont quitté la Libye en catastrophe quelques heures à peine avant l’entrée des rebelles dans Tripoli. Récit de la fuite mouvementée des anciens maîtres de la défunte Jamahiriya.
Les combattants des nouvelles autorités libyennes ont pris mardi le contrôle du QG de la police du régime déchu dans le centre de Syrte, et pourraient bientôt annoncer la prise de la ville.
Les pro-CNT poursuivent leur avancée dans la ville natale de Mouammar Kadhafi. Un manque de coordination les a en revanche contraints à se replier à Bani Walid, après avoir essuyé de fortes pertes.
Après avoir effectués une percée importante à Syrte dimanche, les pro-CNT poursuivent leur avancée dans la ville natale de Mouammar Kadhafi. Les forces du nouveau régime libyen ont en revanche été contraintes à se replier à Bani Walid, après avoir essuyé de fortes pertes.
Les forces du nouveau régime libyen ont réalisé une percée majeure dimanche à Syrte, principal bastion des derniers fidèles de Mouammar Kadhafi, en prenant notamment le contrôle de l’université et du centre de conférences Ouagadougou, au prix de combats meurtriers.
Les forces du nouveau régime libyen ont pris dimanche le contrôle de l’aéroport de Bani Walid, un des bastions de l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, à 170 kilomètres au sud-est de Tripoli, selon un commandant sur place.
Les forces du nouveau régime libyen ont réalisé une percée majeure dimanche dans le sud de Syrte, principal bastion des derniers fidèles de Mouammar Kadhafi, en prenant le contrôle de l’université et du centre de conférences Ouagadougou, au prix de combats meurtriers.
Les forces du nouveau régime libyen engagées depuis des semaines dans la bataille de Syrte, principal bastion des derniers fidèles de Mouammar Kadhafi, ont réalisé une percée majeure en prenant dimanche le contrôle de l’université, au prix de combats meurtriers.
Les forces des autorités de transition en Libye ont pris samedi le contrôle d’un important axe routier à Syrte et de violents combats à l’arme automatique faisaient rage dans le centre de ce bastion de l’ancien régime, selon un journaliste de l’AFP.
Les forces du nouveau régime libyen ont lancé une vaste opération pour chasser les derniers partisans de Mouammar Kadhafi de leur bastion de Syrte, mais sans succès pour le moment, les loyalistes faisant preuve d’une résistance acharnée.
Alors que les combats s’intensifient dans l’un des derniers bastions pro-Kadhafi de Syrte, qui résiste depuis des semaines, Mouammar Kadhafi a appelé dans une nouvelle allocution à une manifestation contre le Conseil national de transition libyen.
Pour proclamer la « libération » totale de la Libye, le Conseil national de transition (CNT) attend la chute de Syrte, où les combats et les bombardements de l’Otan sont de plus en plus violents. Mais à Bani Walid aussi, la résistance des pro-Kadhafi est acharnée.
En 2008, Dmitri Medvedev avait succédé à la présidence à Vladimir Poutine, nommé Premier ministre. En 2012, les rôles seront inversés. Un scénario impeccablement réglé. Et une parodie de démocratie.
Alors que l’Otan estime devoir poursuivre encore quelque temps sa mission de « protection des civils » en Libye, les habitants de Syrte dénoncent les bombardements incessants de l’organisation atlantique qui les poussent à la fuite.
Les autorités libyennes ont annoncé avoir découvert deux nouveaux charniers près de Tripoli, à peine quinze jours après avoir mis la main sur les restes de 1700 prisonniers à Abou Salim.
La tradition d’hospitalité du Maroc envers les exilés politiques risque encore d’avoir du succès. De nombreux Kadhafistes fuyant la Libye auraient l’intention de s’installer dans le royaume chérifien.
Devant l’opulence affichée par le village natal de Mouammar Kadhafi, conquis en début de semaine, certains combattants pro-CNT cèdent à leur désir de vengeance. Au menu des représailles : intimidation des rares habitants qui n’ont pas fui, vols et destruction de leurs maisons…
Bien placé dans la course à la magistrature suprême égyptienne, l’ex-secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, appelle Israël à prendre la mesure du Printemps arabe. Et à en tirer les conséquences.
L’ex- « Guide » libyen Mouammar Kadhafi les avait hébergés, financés, utilisés. Sa chute les a laissés sans mentor ni base arrière. Rentrés par milliers au Mali ou au Niger, les Touaregs inquiètent les autorités.