Les forces du nouveau régime libyen ont réalisé une percée majeure dimanche à Syrte, principal bastion des derniers fidèles de Mouammar Kadhafi, en prenant notamment le contrôle de l’université et du centre de conférences Ouagadougou, au prix de combats meurtriers.
Les forces du nouveau régime libyen ont pris dimanche le contrôle de l’aéroport de Bani Walid, un des bastions de l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, à 170 kilomètres au sud-est de Tripoli, selon un commandant sur place.
Les forces du nouveau régime libyen ont réalisé une percée majeure dimanche dans le sud de Syrte, principal bastion des derniers fidèles de Mouammar Kadhafi, en prenant le contrôle de l’université et du centre de conférences Ouagadougou, au prix de combats meurtriers.
Les forces du nouveau régime libyen engagées depuis des semaines dans la bataille de Syrte, principal bastion des derniers fidèles de Mouammar Kadhafi, ont réalisé une percée majeure en prenant dimanche le contrôle de l’université, au prix de combats meurtriers.
Les forces des autorités de transition en Libye ont pris samedi le contrôle d’un important axe routier à Syrte et de violents combats à l’arme automatique faisaient rage dans le centre de ce bastion de l’ancien régime, selon un journaliste de l’AFP.
Les forces du nouveau régime libyen ont lancé une vaste opération pour chasser les derniers partisans de Mouammar Kadhafi de leur bastion de Syrte, mais sans succès pour le moment, les loyalistes faisant preuve d’une résistance acharnée.
Alors que les combats s’intensifient dans l’un des derniers bastions pro-Kadhafi de Syrte, qui résiste depuis des semaines, Mouammar Kadhafi a appelé dans une nouvelle allocution à une manifestation contre le Conseil national de transition libyen.
Pour proclamer la « libération » totale de la Libye, le Conseil national de transition (CNT) attend la chute de Syrte, où les combats et les bombardements de l’Otan sont de plus en plus violents. Mais à Bani Walid aussi, la résistance des pro-Kadhafi est acharnée.
En 2008, Dmitri Medvedev avait succédé à la présidence à Vladimir Poutine, nommé Premier ministre. En 2012, les rôles seront inversés. Un scénario impeccablement réglé. Et une parodie de démocratie.
Alors que l’Otan estime devoir poursuivre encore quelque temps sa mission de « protection des civils » en Libye, les habitants de Syrte dénoncent les bombardements incessants de l’organisation atlantique qui les poussent à la fuite.
Les autorités libyennes ont annoncé avoir découvert deux nouveaux charniers près de Tripoli, à peine quinze jours après avoir mis la main sur les restes de 1700 prisonniers à Abou Salim.
La tradition d’hospitalité du Maroc envers les exilés politiques risque encore d’avoir du succès. De nombreux Kadhafistes fuyant la Libye auraient l’intention de s’installer dans le royaume chérifien.
Devant l’opulence affichée par le village natal de Mouammar Kadhafi, conquis en début de semaine, certains combattants pro-CNT cèdent à leur désir de vengeance. Au menu des représailles : intimidation des rares habitants qui n’ont pas fui, vols et destruction de leurs maisons…
Bien placé dans la course à la magistrature suprême égyptienne, l’ex-secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, appelle Israël à prendre la mesure du Printemps arabe. Et à en tirer les conséquences.
L’ex- « Guide » libyen Mouammar Kadhafi les avait hébergés, financés, utilisés. Sa chute les a laissés sans mentor ni base arrière. Rentrés par milliers au Mali ou au Niger, les Touaregs inquiètent les autorités.
Après l’Égypte, la Libye. L’acteur américain Sean Penn fait ses premiers pas dans les pays du Printemps arabe. Un voyage avant tout humanitaire, explique-t-il.
Lundi, la troisième « Rencontre des blogueurs arabes » s’est ouverte à Tunis. Alors que plusieurs cyberactivistes sont pressentis pour obtenir le prix Nobel de la paix, cette édition sera placée sous le signe d’une réflexion, sur le rôle de ces « stars » du web pendant, mais aussi après les révolutions.
Après plus d’une semaine de combats, le village natal de Mouammar Kadhafi est tombé aux mains des combattants libyens pro-CNT. Mais Syrte résiste toujours, et la situation humanitaire y est très dégradée.
Comme tous les diplomates de la région sahélo-saharienne, le ministre nigérien des Affaires étrangères Mohamed Bazoum s’inquiète de la crise libyenne. Mais le président français Nicolas Sarkozy n’a qu’un objectif : faire tomber Kadhafi.
Le leader du CNT, Mustapha Abdeljalil, a annoncé un remaniement cosmétique de l’exécutoire provisoire. Le libéral Mahmoud Jibril en conserve la tête mais ne renonce pas à son intention d’en démissionner dès la « libération » de la Libye.
Qasr Abou Hadi, le village où Mouammar Kadhafi serait né en 1942, subit depuis une semaine les combats entre d’un côté les combattants pro-CNT et l’Otan et, de l’autre, ceux de l’ancien régime. Les civils sont contraints à fuir la zone.
Un mois après la chute de Tripoli, les nouveaux maîtres du pays doivent asseoir leur pouvoir, soumettre les dernières poches Kadhafistes, apaiser les rivalités entre factions rebelles, construire un État… Et prôner la réconciliation après quarante-deux années de dictature.
La situation des assiégés de Syrte, l’un des derniers bastions des partisans de Mouammar Kadhafi, est « désespérée », a déclaré samedi un représentant du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) après avoir visité la ville.
Les nouvelles autorités libyennes, qui s’efforcent en vain depuis des semaines de prendre les derniers bastions fidèles à l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, s’inquiétaient samedi pour les civils pris au piège.
Les avocats tunisiens de l’ex-Premier ministre libyen Al-Baghdadi Al-Mahmoudi, emprisonné en Tunisie et sous le coup d’un mandat d’amener des autorités de Tripoli, ont dénoncé samedi le caractère politique du dossier et demandé à la justice de ne pas extrader leur client.
Bab al-Aziziya, l’ancien camp retranché de Mouammar Kadhafi qui inspirait la peur, est aujourd’hui un lieu de visite pour les Tripolitains qui viennent se promener dans les ruines.