Alors que les actions d’Aqmi font régulièrement les gros titres des journaux, la coopération militaire entre les États de la sous-région peine à produire ses effets. Décryptage.
Le Guide libyen n’a pas obtenu gain de cause auprès de ses frères, chefs d’État africains. Loin des débats sur l’évolution des institutions de l’organisation, terrorisme et justice internationale ont été au cœur du 15e sommet de l’Union africaine.
En pleine polémique sur l’accusation de génocide de la Cour pénale internationale à l’encontre du président soudanais Omar el-Béchir, les intervenants à la cérémonie d’ouverture du Sommet de l’Union africaine ont insisté sur la nécessité pour l’Afrique de s’approprier pleinement son destin.
Le débat sur les « États-Unis d’Afrique », cheval de bataille de la Libye mais idée combattue par l’Afrique du Sud à ce stade, a refait surface à la veille du Sommet des chefs d’État de l’Union africaine, qui s’est ouvert ce dimanche à 11h30 à Kampala.
Pour étendre les surfaces irriguées dans la région de Ségou, l’État a dû faire appel à des investisseurs étrangers. Des milliers d’hectares ont été alloués à la Libye.
Le 20 août 2009, l’Écosse provoquait l’ire des États-Unis en libérant l’ex-agent libyen pour raison de santé, afin qu’il meure près des siens. Près d’un an plus tard, il est toujours vivant. Américains et Britanniques s’en émeuvent.
Le Guide libyen a accordé une interview depuis Tripoli à RFI et France 24. Dans cet entretien, Mouammar Kadhafi revient sur l’enlisement du processus de paix au Darfour et sur la situation en Somalie que n’arrange en rien, selon lui, la politique de l’Union africaine. À quelques jours d’un sommet de cette organisation à Kampala (Ouganda), le dirigeant libyen se montre sévère à son égard et insiste sur son attachement à la création des États-Unis d’Afrique. Extraits.
Reconnu coupable dans l’attentat de Lockerbie, Abdelbaset Ali el-Megrahi a été libéré en 2009 pour « raisons médicales ». Aujourd’hui, le gouvernement britannique regrette cette décision.
Le cargo humanitaire libyen à destination de Gaza a accepté de faire transiter son chargement via l’Égypte, comme le demandait Israël depuis plusieurs jours.
Le cargo libyen chargé d’aide humanitaire destinée à Gaza a repris sa route vers son objectif. Une panne l’avait immobilisé au large, et Israël avait ensuite affirmé qu’à sa demande, l’embarcation allait se dérouter vers l’Egypte.
Le navire affrété par la Fondation Kadhafi pour briser le blocus de la bande de Gaza est tombé en panne dans la nuit de mardi à mercredi. Sa destination finale (Gaza ou le port égyptien d’Al-Arich) est encore incertaine.
Décideurs politiques ou leaders de la société civile ? Barack Obama a bien du mal à choisir ses invités pour fêter, en août, l’anniversaire des indépendances africaines.
Un responsable de la fondation Kadhafi, qui a affrêté un nouveau cargo humanitaire à destination de Gaza, a maintenu qu’il se rendrait directement à destination, contrairement à ce qu’avait affirmé le ministère israélien des Affaires étrangères samedi. Israël multiplie les efforts diplomatiques pour éviter un nouvel arraisonnement en pleine mer.
Israël semble être parvenu samedi, grâce la pression diplomatique, à empêcher une nouvelle tentative de briser par mer le blocus de la bande de Gaza, évitant ainsi de renouveler le fiasco sanglant de la flottille du 31 mai. Le cargo affrêté par la fondation de Seif el-Islam Kadhafi avec des passagers libyens, marocain, algérien et nigérien à son bord, serait en route vers le port égyptien d’Al-Arich.
La fondation dirigée par Seif el-Islam Kadhafi, le fils du « Guide » libyen, a annoncé le départ d’un cargo pour briser le blocus de la bande de Gaza vendredi.
Un peu plus d’un mois après l’expulsion du bureau du Haut commissariat aux réfugiés (HCR), la Libye a annoncé la régularisation d’environ 400 immigrés érythréens. Une proportion infime au vu du nombre de clandestins présents sur le sol de la Jamahiriya.
Le vice-ministre libyen chargé des Affaires européennes va prochainement prendre ses fonctions d’ambassadeur en Tunisie. Un pays qu’il connaît bien. Ne serait-ce que pour y avoir occupé le même poste, il y a vingt-trois ans.
Selon Seif el-Islam Kadhafi, l’ancien Premier ministre britannique travaille avec son père sur des « projets en Afrique » et « joue un rôle de consultant auprès de l’Autorité d’investissement libyenne ».
Détentions arbitraires, sort des clandestins subsahariens, justice… Pour la première fois depuis cinq ans, l’ONG a pu enquêter sur la situation des droits de l’homme.
Le Soudan a annoncé la fermeture de sa frontière terrestre avec la Grande Jamahiriya, à partir du 1er juillet, pour empêcher la circulation de rebelles. La présence en Libye du chef darfouri du Mouvement pour la justice et l’égalité (JEM), Khalil Ibrahim, accroît la tension entre Khartoum et Tripoli.