Le navire affrété par la Fondation Kadhafi pour briser le blocus de la bande de Gaza est tombé en panne dans la nuit de mardi à mercredi. Sa destination finale (Gaza ou le port égyptien d’Al-Arich) est encore incertaine.
Décideurs politiques ou leaders de la société civile ? Barack Obama a bien du mal à choisir ses invités pour fêter, en août, l’anniversaire des indépendances africaines.
Un responsable de la fondation Kadhafi, qui a affrêté un nouveau cargo humanitaire à destination de Gaza, a maintenu qu’il se rendrait directement à destination, contrairement à ce qu’avait affirmé le ministère israélien des Affaires étrangères samedi. Israël multiplie les efforts diplomatiques pour éviter un nouvel arraisonnement en pleine mer.
Israël semble être parvenu samedi, grâce la pression diplomatique, à empêcher une nouvelle tentative de briser par mer le blocus de la bande de Gaza, évitant ainsi de renouveler le fiasco sanglant de la flottille du 31 mai. Le cargo affrêté par la fondation de Seif el-Islam Kadhafi avec des passagers libyens, marocain, algérien et nigérien à son bord, serait en route vers le port égyptien d’Al-Arich.
La fondation dirigée par Seif el-Islam Kadhafi, le fils du « Guide » libyen, a annoncé le départ d’un cargo pour briser le blocus de la bande de Gaza vendredi.
Un peu plus d’un mois après l’expulsion du bureau du Haut commissariat aux réfugiés (HCR), la Libye a annoncé la régularisation d’environ 400 immigrés érythréens. Une proportion infime au vu du nombre de clandestins présents sur le sol de la Jamahiriya.
Le vice-ministre libyen chargé des Affaires européennes va prochainement prendre ses fonctions d’ambassadeur en Tunisie. Un pays qu’il connaît bien. Ne serait-ce que pour y avoir occupé le même poste, il y a vingt-trois ans.
Selon Seif el-Islam Kadhafi, l’ancien Premier ministre britannique travaille avec son père sur des « projets en Afrique » et « joue un rôle de consultant auprès de l’Autorité d’investissement libyenne ».
Détentions arbitraires, sort des clandestins subsahariens, justice… Pour la première fois depuis cinq ans, l’ONG a pu enquêter sur la situation des droits de l’homme.
Le Soudan a annoncé la fermeture de sa frontière terrestre avec la Grande Jamahiriya, à partir du 1er juillet, pour empêcher la circulation de rebelles. La présence en Libye du chef darfouri du Mouvement pour la justice et l’égalité (JEM), Khalil Ibrahim, accroît la tension entre Khartoum et Tripoli.
La Confédération helvétique signe avec la Jamahiriya un accord qui met un point final à une rocambolesque crise diplomatique. Non sans renouveler ses excuses à Kadhafi.
Le chef de la junte nigérienne, Salou Djibo, s’est rendu à Tripoli le 13 juin. Au menu des discussions avec Mouammar Kadhafi : l’argent versé aux ex-rebelles touaregs, qui n’est pas parvenu aux destinataires…
Le bureau du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés a été prié par les autorités libyennes de plier bagage. Une décision aussi inattendue qu’incompréhensible.
Entre centres universitaires et lobbies, les cercles de réflexion se multiplient en Occident. Le Moyen-Orient, et plus encore le Maghreb, accusent un net retard.
Les ministres des Affaires étrangères suisse et espagnol se trouvaient à Tripoli pour négocier le départ de l’homme d’affaires suisse Max Göldi libéré jeudi après avoir purgé quatre mois de prison, dans un contexte de crise diplomatique entre Tripoli et Berne.
Max Göldi, un ressortissant helvétique détenu à Tripoli depuis février dernier, vient d’être libéré. Il attend ses papiers pour pouvoir rejoindre son pays, en dépit des tensions diplomatiques entre celui-ci et la Libye.
Comment les djihadistes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) se sont-ils adaptés pour survivre dans le Sahara ? De quels moyens bénéficient-ils ? De quelles complicités ? Quelle est leur structure et de quoi est fait leur quotidien ? Voici quelques éléments de réponse…
Pour satisfaire ses besoins, l’Europe compte sur les pays exportateurs d’Afrique du Nord. Mais la crise financière et des prix trop bas pourraient remettre en cause ces perspectives d’approvisionnement.
Essence, change, produits alimentaires, vêtements… On trouve de tout dans les commerces parallèles du Sud-Est tunisien, près de la frontière libyenne. Reportage.
Pour financer son développement de façon autonome, le continent doit revoir ses politiques de prélèvements. Particuliers, entreprises et multinationales sont dans le collimateur pour remplir les caisses des États.
En poste depuis huit mois, le diplomate français s’est rapidement familiarisé avec les réalités contrastées du pays. Sa mission : donner une nouvelle visibilité à l’Hexagone dans le paysage économique et culturel tunisien.
L’absence de coopération entre établissements nord-africains freine les investissements et le commerce à l’échelle de la région. Mais, doucement, les choses commencent à bouger.
Les quarante plus grandes entreprises africaines ont été passées au scanner par le cabinet international de conseil Boston Consulting Group (BCG). Conclusion de l’étude : le continent se positionne comme l’un des marchés mondiaux les plus prometteurs, à l’image de ceux des BRIC.