Interdit par les autorités malgaches, le sondage polémique sur les intentions de vote à la présidentielle du 7 novembre, auquel JA a eu accès, donne l’ex-président Andry Rajoelina en tête. 47 % des personnes interrogées ne se sont néanmoins pas prononcées.
Dans son ouvrage « Par amour de la patrie », publié mi-septembre aux éditions Michel Lafon, l’ex-président de la Transition (2009-2014) et actuel leader de l’opposition malgache livre sa version de l’histoire récente de la Grande Île.
Au nom de la protection de « l’ordre public », le gouvernement de Madagascar a suscité mercredi 26 septembre la polémique en obtenant le retrait d’un sondage sur les intentions de vote des électeurs en vue du scrutin présidentiel de la fin de l’année.
Première grande exposition consacrée à la création malgache depuis 1946, « Madagascar, arts de la Grande Île », qui se tient au musée du quai Branly – Jacques Chirac jusqu’au 1er janvier 2019, invite à s’interroger sur l’émergence d’une culture originale au gré de multiples métissages.
Le ministre malgache de la Santé a assuré jeudi que la situation était « sous contrôle » après l’annonce des premiers cas confirmés de peste de la saison, disant que les leçons avaient été tirées du lourd bilan de l’an dernier.
Au moins une personne est morte et 37 ont été blessées dimanche dans une bousculade à l’entrée d’un stade de la capitale malgache Antananarivo avant le coup d’envoi d’un match de football entre Madagascar et le Sénégal.
Et de trois ! Après Jean Ravelonarivo le 4 août, puis Jean Omer Beriziki douze jours plus tard, c’est Olivier Mahafaly Solonandrasana qui, le 21 août, a confirmé sa candidature à la présidentielle de cette fin d’année.
La réapparition sur les réseaux sociaux d’une étude affirmant que les campagnes électorales à Madagascar figurent parmi les plus chères de la planète relance le débat sur le financement des partis politiques, à quelques semaines des élections générales.
Après avoir longtemps travaillé dans la finance, au Luxembourg, Serge Jovial Imbeh est de retour à Madagascar où il a présenté sa candidature à la présidentielle du 7 novembre prochain. Portrait de cet outsider, qui espère faire sa place entre Hery Rajaonarimampianina, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina.
La Haute Cour constitutionnelle malgache a publié la liste des candidats au premier tour de l’élection présidentielle du 7 novembre 2018. Sur les 46 candidats, 36 ont été retenus. Parmi eux, les trois derniers chefs de l’État, dont le président sortant.
46 candidatures, dont celles des trois derniers chefs de l’État de la Grande Île, ont été déposées pour la présidentielle malgache qui se déroulera les 7 novembre et 19 décembre prochains. Des candidatures qui seront dans les prochains jours examinées par la Haute cour constitutionnelle malgache (HCC).
Le parti présidentiel HVM organise son congrès les 10 et 11 août, afin de désigner leur candidat à la prochaine présidentielle. Si le président n’a toujours pas annoncé sa candidature, Rivo Rakotovao, Paul Rabary et Olivier Mahafaly se sont déjà positionnés.
L’ancien président de la Transition, Andry Rajoelina, candidat à la présidentielle prévue fin 2018, présente ses objectifs pour Madagascar et affirme être « prêt ».
95 % de la population de lémuriens est « sur le point de s’éteindre », a affirmé l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), un regroupement d’organisations de défense de l’environnement.
Dans ses perspectives économiques pour Madagascar, publiées le 31 juillet, la Banque mondiale se félicite de la croissance de la Grande Île, en hausse constante sur les quatre dernières années. Elle déplore cependant que les gains de celle-ci ne soient pas mieux partagés et que les exportations restent concentrées sur trois secteurs.
Le leader du Mapar, Andry Rajoelina, s’est déclaré mercredi candidat à l’élection présidentielle organisée à la fin de l’année à Madagascar. Il entend notamment abolir le Sénat s’il est élu.
À trois mois de la présidentielle, « TGV » fait son come-back. Désormais principal opposant au pouvoir en place, il semble en très bonne position dans la course.
Alors que son pays peine à sortir de la crise politique, le président malgache s’exprime pour Jeune Afrique. Manifestations de l’opposition, ultimatum de la Haute cour constitutionnelle, stratégie face à ses prédécesseurs Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana… Hery Rajaonarimampianina aborde tous les dossiers.
Créée en 2011 pour répondre à des appels à manifestation d’intérêt sur des projets destinés aux jeunes, l’ONG Youth First lance son premier programme YWLP en 2014 à Madagascar. L’objectif était de pousser les jeunes femmes à avoir des engagements concrets, mais aussi de renforcer leur leadership, leur estime d’elles-mêmes et leur confiance en elles.
Le nouveau gouvernement malgache de « consensus », censé diriger le pays jusqu’aux prochaines élections générales, est sévèrement critiqué par les manifestants et l’opposition, qui réclament le départ des ministres du parti présidentiel.
Le président malgache Hery Rajaonarimampianina a annoncé lundi la formation par le nouveau Premier ministre « de consensus » d’un gouvernement chargé de diriger le pays jusqu’aux élections générales prévues cette année. Celles-ci doivent permettre de sortir le pays de la crise politique.
Si la Haute Cour constitutionnelle n’a pas osé déchoir le très contesté chef de l’État, le rappel à l’ordre qu’elle lui a signifié a ouvert de facto la course à sa succession. Et la nomination, lundi 4 juin, de Christian Ntsay au poste de Premier ministre ne change rien au parfum de fin de règne qui flotte sur Antananarivo.
Christian Ntsay a été nommé Premier ministre lundi 4 juin, à la surprise générale et au terme de longues négociations. Il devrait nommer un gouvernement de « techniciens » à même de sortir de la crise et de conduire le pays jusqu’à l’élection présidentielle.
La bataille pour le choix du futur Premier ministre de « consensus », censé mettre fin à la crise politique qui secoue Madagascar depuis fin avril, s’est engagée samedi, avec le refus du président malgache Hery Rajaonarimampianina d’accepter les candidats présentés par l’opposition.
Un beau livre illustré, signé du chef pâtissier Christophe Adam, revient sur la culture et l’usage de la vanille. Sans omettre de citer l’esclave qui gagna sa liberté en inventant la pollinisation manuelle, Edmond Albius.
Le ministre malgache de la Défense a tapé jeudi du poing sur la table en menaçant de faire intervenir les forces de l’ordre si le gouvernement et l’opposition ne trouvent pas rapidement une issue à la crise politique qui secoue le pays depuis plus d’un mois.
Le parti du président malgache Hery Rajaonarimampianina s’est déclaré samedi favorable à une négociation avec l’opposition pour sortir de la crise qui les oppose, au lendemain de la décision de la Haute cour constitutionnelle ordonnant la formation d’un gouvernement de coalition.
Saisie par l’opposition d’une demande de destitution du président Hery Rajaonarimampianina, la plus haute juridiction du pays a ordonné vendredi 25 mai la nomination d’un gouvernement d’union nationale pour tenter de sortir de la crise qui secoue le pays.
L’ancien président de la transition Andry Rajoelina a lancé le 24 mai, à Antananarivo, son Initiative pour l’émergence de Madagascar. À quelques mois de l’élection présidentielle programmée fin 2018, la crise politique reste toujours aussi tendue dans le pays.