Les rivaux malgaches Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana ont entamé des discussions mercredi à Maputo, pour la première fois depuis que le premier a évincé le second du pouvoir à Madagascar, en pleine crise depuis janvier.
Le leader de la transition à Madagascar Andry Rajoelina et le président évincé Marc Ravalomanana devaient entrer jeudi dans le vif du sujet pour tenter de régler à Maputo les points d’achoppement à la signature d’une charte de transition, après une première rencontre la veille.
Des poursuites judiciaires visant l’ancien président malgache Didier Ratsiraka ont été annulées jeudi lors d’un sommet sur la crise de la Grande Ile organisé à Maputo (Mozambique). Le cas du chef de l’Etat évincé Marc Ravalomanana, lui, fait toujours débat.
Les acteurs de la crise malgache, réunis à Maputo (Mozambique), se penchent sur une éventuelle aministie du président évincé Marc Ravalomanana. Il a été condamné en juin à quatre ans de prison par un tribunal malgache pour « conflits d’intérêts » dans l’achat d’un avion présidentiel.
Les acteurs de la crise malgache pourraient parvenir samedi à Maputo (Mozambique) à un accord de sortie de crise politique. L’accord concernerait la charte de transition.
Les acteurs de la crise malgache, réunis à Maputo, ont accepté les principes d’une transition politique. Mais plusieurs questions restent à régler concernant la composition de l’équipe qui doit diriger cette transition.
Le ministère de l’Intérieur de la transition malgache a nommé vendredi un nouveau maire pour Antananarivo. Edgard Razafindravahy remplace Michèle Ratsivalaka, contestée au sein de son équipe municipale.
Un sommet réunit mercredi à Maputo (Mozambique) les principaux acteurs de la crise malgache : le président chassé Marc Ravalomanana, le chef du régime de transition Andry Rajoelina, ainsi que les deux ex-chefs d’Etat Didier Ratsiraka et Albert Zafy.
Le Groupe international de contact (GIC) sur Madagascar, dirigé par l’ancien président mozambicain Joaquim Chissano, a obtenu mercredi des protagonistes de la crise la tenue d’une réunion le 5 août prochain à Maputo, pour une solution négociée des problèmes politiques qui frappent la Grande Ile depuis le début de l’année.
Le président de la transition à Madagascar ne participera pas à la réunion du Groupe de contact international sur la crise malgache qui doit s’ouvrir ce mardi à Addis-Abeba (Ethiopie). Andry Rajoelina a pris cette décision en raison des attentats qui ont endeuillé la Grande Ile ce week-end.
Une tentative d’attentat à la bombe a fait un mort et deux blessés dans la nuit de samedi à dimanche à Antananarivo. L’engin et d’autres découverts avant leur explosion devaient semble-t-il endommager divers bâtiments militaires et la télévision du chef de la transition Andry Rajoelina. Cinq suspects ont été arrêtés.
Le chef de la transition politique à Madagascar a proposé vendredi l’organisation d’une présidentielle d’ici fin 2009. Andry Rajoelina suggère d’abord l’organisation d’un référendum constitutionnel en septembre, et ensuite une élection présidentielle.
L’ex-président mozambicain Joaquim Chissano est arrivé jeudi à Madagascar pour prendre contact avec les acteurs de la crise politique. Le médiateur du conflit, nommé par les dirigeants d’Afrique australe, devrait rencontrer ce vendredi le président de la transition, Andry Rajoelina.
Le secrétaire d’Etat français à la Coopération Alain Joyandet a affirmé mercredi que le signal sonore repéré par des avions français sur les lieux du crash de l’Airbus de Yemenia provenait de « balises de détresse » plutôt que des boîtes noires, revenant sur de précédentes déclarations.
Les chefs d’Etat africains se retrouvent à partir de mercredi à Syrte, en Libye, sous la présidence de Mouammar Kadhafi qui met la pression sur son projet controversé de « gouvernement africain » alors que le continent est confronté à des crises menaçant la stabilité de plusieurs pays.
Négociations régime-opposition au point mort, isolement international du nouveau pouvoir: aucun scénario de sortie de crise ne se profile à Madagascar trois mois après l’éviction du président Marc Ravalomanana par l’ex-maire de la capitale Andry Rajoelina.
Alors que dans les plus hautes sphères de l’Etat, deux hommes se déchirent pour le pouvoir, les jeunes de Madagascar sont, eux, profondément bouleversés par de longs mois de crise politique et de violences, qui ont modifié tous leurs repères, et qui les laissent livrés à eux-mêmes.
Un sommet extraordinaire de chefs d’Etat d’Afrique australe consacré à la crise politique à Madagascar s’est ouvert samedi à Johannesburg, où le président évincé Marc Ravalomanana doit s’exprimer quatre jours après la suspension de négociations entre les différents camps.
Des dirigeants d’Afrique australe, réunis samedi à Johannesburg lors d’un sommet consacré à la crise politique à Madagascar, ont appelé les parties à « s’engager à une résolution négociée pacifique », quatre jours après la suspension des pourparlers intermalgaches.
Un sommet extraordinaire de chefs d’Etat de l’Afrique australe s’est ouvert samedi à Johannesburg pour trouver une issue à la crise politique à Madagascar, après la suspension de négociations sous l’égide de la communauté internationale, a constaté une journaliste de l’AFP.
Le président malgache évincé, Marc Ravalomanana, a « applaudi » jeudi la décision de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) de convoquer un sommet ce week-end sur la crise à Magadacacar.
La médiation internationale en vue d’une sortie de crise à Madagascar a annoncé mardi la suspension jusqu’à nouvel ordre des négociations qui rassemblaient les principales mouvances politiques du pays, lors d’une conférence de presse à Antananarivo.
Le président malgache évincé Marc Ravalomanana a estimé mercredi que « toutes les options, y compris une intervention militaire », doivent être envisagées pour « restaurer l’état de droit » à Madagascar.
Le chef de la transition à Madagascar, Andry Rajoelina, n’exclut pas d’être candidat à la prochaine élection présidentielle qui, a-t-il estimé dans un entretien à La Croix, devrait avoir lieu au plus tard en mars 2010.
Le président évincé de Madagascar a déclaré jeudi qu’il ne reconnaissait pas la condamnation à quatre ans de prison prononcé contre lui. Marc Ravalomanana était jugé par contumace pour « conflits d’intérêts » dans l’achat fin 2008 d’un avion présidentiel.
Le président déchu de Madagascar a été condamné mercredi à quatre ans de prison par contumace. Marc Ravalomanana a été reconnu coupable de « conflit d’intérêts » dans l’achat d’un avion présidentiel.