Les deux candidats à la présidentielle malgache avaient jusqu’au 31 décembre pour déposer leurs requêtes auprès de la Haute Cour constitutionnelle. 305 ont été déposées au total.
Né en 1975, Hassanein forme, avec son frère Amin, la troisième génération d’hommes d’affaires de la famille Hiridjee. À la tête du groupe Axian (630 millions de dollars en 2017), présent dans les secteurs des télécoms, de l’énergie, de l’immobilier et des services financiers, il est une figure incontournable du monde des affaires dans l’océan Indien.
La victoire d’Andry Rajoelina à la présidentielle s’appuie sur l’influence du candidat victorieux dans les régions côtières, tandis que son rival domine traditionnellement les « hautes terres ». Un clivage géographique de l’électorat malgache qui remonte loin…
Les proches d’Andry Rajoelina ont exprimé leur joie après la victoire de leur candidat à la présidentielle malgache. Le camp de son adversaire, Marc Ravalomanana, affichait en revanche sa détermination à dénoncer des irrégularités.
La commission électorale a annoncé, le 27 décembre, les résultats provisoires de l’élection présidentielle à Madagascar. Andry Rajoelina l’emporte largement devant Marc Ravalomanana, qui refuse pour le moment de reconnaître sa défaite.
D’après le dernier décompte publié samedi 22 décembre par la Commission électorale, l’ancien chef de l’État Andry Rajoelina s’achemine vers une victoire confortable au second tour de l’élection présidentielle à Madagascar, face à son rival Marc Ravalomana qui dénonce des fraudes.
L’ancien président malgache Andry Rajoelina a pris l’avantage sur son rival Marc Ravalomanana dans la course à l’élection présidentielle, selon les derniers résultats provisoires publiés le 21 décembre par la commission électorale.
La Commission électorale malgache (Ceni) a commencé à publier les premiers résultats encore très partiels du second tour de l’élection présidentielle de dimanche, que les deux finalistes Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina ont d’emblée affirmé avoir remporté.
Dans une atmosphère calme, et avec une participation en forte baisse par rapport au premier tour, les électeurs malgaches ont voté pour élire leur prochain président. Le chef de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne revient pour Jeune Afrique sur le déroulement du scrutin.
Le dépouillement a commencé à Madagascar après une journée de vote qui s’est déroulée dans le calme. Le résultat s’annonce serré entre les deux candidats en lice, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina.
Madagascar a commencé mercredi 19 décembre à voter pour le second tour d’une élection présidentielle au fort goût de règlement de comptes personnel entre deux de ses anciens chefs de l’Etat, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, déterminés à retrouver le pouvoir.
C’est le sprint final pour la présidentielle malgache. Le second tour oppose Marc Ravalomanana à Andry Rajoelina. Les deux hommes n’ont eu de cesse que de s’invectiver, au risque d’oublier les attentes de leur électorat respectif.
À la veille du second tour de la présidentielle à Madagascar, Andry Rajoelina, qui affrontera Marc Ravalomanana, se défend de tout populisme et assure que son « Initiative pour l’émergence de Madagascar » comporte des mesures à la fois ambitieuses et réalistes.
La start-up malgache Lomay a développé un jeu de course de voitures qui totalise déjà 20 000 téléchargements. Le jeu est rentable grâce à des partenariats avec des grandes entreprises installées sur l’île et l’achat de fonctionnalités supplémentaires par les joueurs.
Les deux finalistes de l’élection présidentielle malgache, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, se sont livrés dimanche soir à un premier débat télévisé musclé qui a laissé éclater leur lourd passif personnel, à moins de deux semaines du second tour du scrutin.
En août, la compagnie aérienne Air Madagascar a assigné Air France devant le tribunal de commerce de Paris. Cette dernière lui réclame le règlement d’un solde de 15 millions d’euros, sur la base d’un contrat de location-vente signé en 2012.
Éliminé de la course à la présidentielle malgache, Hery Rajaonarimampianina, le président sortant, a annoncé vendredi 30 novembre qu’il ne soutiendrait personne pour le second tour. Quid, désormais, de l’avenir politique du HVM, son parti ?
Un second tour devra départager le mois prochain les deux anciens présidents malgaches Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana, arrivés en tête du premier tour de la présidentielle, selon les résultats définitifs proclamés mercredi par la Haute Cour constitutionnelle (HCC).
Pour proclamer les résultats définitifs du premier tour de la présidentielle malgache, la Haute Cour constitutionnelle doit trancher entre les attentes contradictoires des candidats. Si aucun recours ne peut être déposé contre elle, certaines de ses décisions restent controversées depuis le début de l’année.
Un des deux finalistes de la présidentielle à Madagascar, Marc Ravalomanana, a fait volte-face mercredi, en annonçant, dans un souci d’« apaisement », le retrait des requêtes qu’il avait déposé devant la Haute Cour constitutiuonnelle.
L’ancien chef de l’Etat malgache Andry Rajoelina, arrivé en tête du premier tour de la présidentielle du 7 novembre, a dénoncé lundi des « manipulations » des résultats officiels, appelant la justice de ce pays coutumier des crises politiques à trancher.
Dix ans après leur duel hors des urnes, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina se retrouveront de nouveau face à face, cette fois-ci pour le second tour de l’élection présidentielle malgache. Après l’annonce des résultats de la première manche, samedi 17 novembre par la Ceni, retour sur les principaux enseignements du scrutin.
Fraudes, corruption, intimidations… les trois anciens présidents, qui attendent toujours les résultats officiels du premier tour de la présidentielle du 7 novembre, rivalisent d’arguments pour discréditer le scrutin.
Près d’une semaine après le premier tour de l’élection présidentielle du mercredi 7 novembre, les équipes des trois candidats favoris s’opposent aux résultats encore partiels. Si personne n’a fait mention d’une future descente dans la rue, la tension monte.
Quatre jours après l’élection présidentielle à Madagascar, l’ancien président de la Transition, Andry Rajoelina reste en tête devant son rival, Marc Ravalomanana, selon les résultats encore partiels publiés ce dimanche par la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Accusé de corruption par des candidats à la présidentielle du 7 novembre, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Yves Herinirina Rakotomanana est sorti de son silence samedi et a réclamé des preuves à ses accusateurs.
Deux des candidats favoris à l’élection présidentielle, Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana, sont donnés au coude-à-coude par les premiers résultats très provisoires publiés par la Commission électorale. L’ambiance était déjà à la fête dans leur QG dès la fin des votes.
Les Malgaches, qui se sont déplacés dans les bureaux de vote, disent leurs espoirs que l’issue de cette élection présidentielle les éloignera définitivement des crises politiques. Si le scrutin s’est déroulé globalement dans le calme, quelques incidents ont ponctué la journée.
Dans les rues d’Antananarivo, entre les anciens présidents Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, deux des principaux candidats au premier tour de l’élection présidentielle à Madagascar, classe populaire et classe aisée défendent leur favori. Reportage.
Les Malgaches ont commencé à voter le 7 novembre, pour le premier tour de la présidentielle, où trois anciens chefs de l’État font figure de favoris dans ce pays à l’histoire politique mouvementée.