L’Algérie, la Libye et le Mali vont « mettre en commun » leurs « moyens militaires pour combattre » l’insécurité dans la bande sahélo-saharienne, liée notamment à Al-Qaïda, a déclaré le président malien Amadou Toumani Touré, cité lundi dans la presse malienne.
Le Premier vice-président iranien, Esfandiar Rahim Mashaie, dément avoir donné sa démission à Mahmoud Ahmadinejad, quelques jours seulement après sa nomination à ce poste. Il est vivement critiqué pour avoir prononcé des paroles d’apaisement à l’égard des Etats-Unis et d’Israël en 2008.
Le meneur du putsch du 6 août 2008 en Mauritanie, le général Mohamed Ould Abdelaziz, a été élu président de la République dès le premier tour du scrutin présidentiel, mais l’opposition a dénoncé un « coup d’Etat électoral ».
Le meneur du putsch du 6 août 2008 en Mauritanie, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, a été élu président de la République dès le premier tour du scrutin présidentiel, mais l’opposition a aussitôt dénoncé un « coup d’Etat électoral ».
Les missions d’observation de six organisations internationales, dont l’Union africaine (UA), se sont félicitées du « déroulement satisfaisant des opérations de vote » lors de la présidentielle de samedi en Mauritanie, alors que l’opposition rejette la victoire du général putschiste.
Le meneur du coup d’Etat du 6 août 2008 en Mauritanie, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, recueille 52,3% des voix lors de l’élection présidentielle de samedi, sur 80% des résultats traités par le ministère de l’Intérieur, a-t-on appris auprès du ministère.
Les Mauritaniens votaient samedi en grand nombre et dans le calme pour élire leur président parmi neuf candidats, dont le meneur du coup d’Etat du 6 août 2008, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a affirmé être « sûr » d’être élu dès « le premier tour ».
Au Maroc, le Canard « libéré », pas « enchaîné », ressemble furieusement à son modèle français, affectionne comme lui les calembours, les caricatures et l’irrévérence. . . jusqu’à un certain point.
A la veille de la prière collective hebdomadaire, l’Iran s’attend à une nouvelle mobilisation autour de l’opposant Mir Hossein Moussavi, qui a l’intention de créer un Front politique réformateur. Eprouvé, le pays essuie les plâtres d’une révolte d’un mois encore présente à l’esprit de la population.
L’armée israélienne est une nouvelle fois accusée d’avoir utilisé des civils comme boucliers humains lors de l’opération plomb durci, du 27 décembre au 18 janvier à Gaza. L’accusation provient de militaires qui ont participé à l’offensive et se sont confiés à l’ONG israélienne de soldats vétérans « Breaking the Silence ».
Alors que les marchés marocain et tunisien demeurent très dynamiques, celui de l’Algérie ne tient pas toutes ses promesses après dix ans de libéralisation.
Initialement créé comme rempart à la bipolarisation du monde, le Mouvement des Non-alignés doit désormais redéfinir sa position. Son 15ème sommet, qui se déroule en Egypte, se veut l’occasion d’un renouveau.
À 51 ans, cet artiste algérien atteint la consécration. Son œuvre atypique, qui mêle dessin, sculpture et vidéo, a été exposée au Centre Pompidou, à Paris.
Les conseillers municipaux du Parti authenticité et modernité (PAM) de Marrakech (sud) ont annoncé mercredi une grève de 48 heures après une décision de justice d’invalider l’élection de la maire de la ville Fatima Mansouri après le scrutin du 12 juin.
Homme de paix tout autant que professionnel rigoureux, le journaliste israélien n’a jamais cessé de soutenir le combat du mouvement national palestinien.
Américains, Tchèques, Japonais… Chaque année, des centaines d’étudiants étrangers convergent vers la capitale syrienne pour s’initier à la langue du Coran.
L’ancien « grenier de Rome » veut sortir de l’ombre en se dotant d’infrastructures industrielles et en mettant en valeur ses sites naturels et archéologiques. Reste à convaincre les pouvoirs publics… et à surmonter les querelles locales.
Dix ans après son accession au trône, Mohammed VI est définitivement sorti de l’ombre de son père. Affichant peu d’appétence pour les médias et les jeux politiques, c’est en dehors des activités protocolaires qu’il est le plus à l’aise.
Le « guide » libyen Mouammar Kadhafi veut démanteler la Suisse en trois, et partager le gâteau entre la France, l’Italie et l’Allemagne. Pourquoi ? Le dirigeant accuse la confédération helvétique de « terrorisme » et d’être une « mafia ». Une accusation qui tombe un an après que la police suisse ait arrêté son fils Hannibal, accusé de maltraitance envers ses domestiques.