Augmentation de l’investissement public, relance de la consommation, soutien direct aux entreprises… le gouvernement vise une croissance de 6,7 % du PIB en 2009 dans un environnement mondial déprimé.
Le gouvernement a multiplié les rendez-vous avec le privé avant d’adopter des mesures pour sauver les industries exportatrices en difficulté. Le textile, le cuir et l’automobile sont les premiers bénéficiaires.
Brillantes en classe et à l’université, elles s’imposent de plus en plus dans les milieux économiques et culturels. Quant aux trop rares élues, lorsqu’elles entrent en politique, ce n’est pas pour faire tapisserie.
Dans un pays réputé conservateur, la scolarisation massive des filles et l’ouverture du marché du travail aux femmes ont permis aux Algériennes de remporter quelques batailles dans la guerre pour la parité.
Pour le sélectionneur de l’équipe nationale, malgré les résultats encourageants des Verts, le football algérien n’est pas sorti de la crise. Et appelle une vraie réforme.
Djamel Ouahab revient sur les essais menés par la France dans le Sud algérien de 1960 à 1966. Au témoignage de ceux qui vivaient près d’Hamoudia se mêle celui de vétérans français. Comme autant de victimes…
Véritable serpent de mer de la politique culturelle, la relance du septième art refait surface depuis quelques mois. Et il semble que cette fois-ci pourrait être la bonne.
L’Algérie se dotera d’une centrale nucléaire tous les cinq ans après sa première centrale dont l’acquisition est prévue en 2020, a déclaré le ministre algérien de l’Energie et des mines, Chakib Khelil.
Plus de 28 millions d’abonnements et un grand nombre d’Algériens totalement accros à leur portable. De campagnes publicitaires en offres promotionnelles, les trois opérateurs présents se livrent une guerre acharnée.
Le pays est devenu une destination privilégiée pour les entrepreneurs du monde entier. Encore faut-il que les bénéfices générés profitent aux Algériens…
Longtemps au bord de l’asphyxie, le secteur remonte la pente depuis 2000. Et plus rapidement que prévu. Il est même devenu un véritable moteur pour l’économie du pays.
Les statistiques officielles indiquent que le taux de chômage est passé de 30 % à moins de 15 % au cours des dix dernières années. Mais les emplois créés sont moins stables et dépendent encore trop de l’État.
La crise mondiale a conforté les autorités dans leur utilisation prudente de la manne pétrolière. Le vrai défi réside dans la diversification de l’économie.
Promesse électorale, la réconciliation nationale a été érigée en priorité dès 1999. En dix ans, le pays a, tant bien que mal, pansé ses plaies. Assez pour tourner la page ?