Portée par le Français Pierre Casalta, la radio tangéroise compte 23 millions d’auditeurs méditerranéens. Les débuts de Médi 1 Sat, la télévision lancée en 2006, sont plus difficiles.
L’Association des Marocains expulsés d’Algérie en 1975 (ADMEA) a appelé à Rabat, à la réouverture des frontières terrestres entre les deux pays, fermées depuis 1994, pour permettre « le regroupement familial », entre autres effets positifs pour le Maghreb.
Un Marocain a été condamné jeudi à 20 ans de prison ferme pour son implication dans les attentats terroristes du 11 mars 2004 à Madrid (191 morts et plus de 1.800 blessés), a constaté un journaliste de l’AFP.
L’ancien directeur de la Pharmacie et du Médicament et du Laboratoire national de contrôle des médicaments est désormais conseiller auprès de l’OMS, à Genève.
Le défi des laboratoires tunisiens est de diversifier leur production et d’augmenter leurs parts de marché, dans le pays et à l’étranger. L’État, lui, doit faciliter la diffusion des génériques et définir un système de révision des prix de vente.
Le PDG de la Siphat, président de la Chambre nationale de l’industrie pharmaceutique (Cnip), revient sur les particularités de son entreprise et sur les enjeux stratégiques du secteur.
L’industrie pharmaceutique tunisienne n’a pas encore vingt ans. Elle a pourtant déjà fait ses preuves et bénéficie d’une image de qualité. Face à la concurrence internationale et aux défis technologiques, elle doit désormais passer à un palier supérieur.
L’ex-vice consul de Tunisie à Strasbourg a été reconnu coupable d’actes de torture et de barbarie par la cour d’assises du Bas-Rhin, en vertu du principe de compétence universelle.
Le dernier rapport sur la sécurité routière dresse un bilan dramatique. L’adoption du nouveau code de la route, en discussion depuis 2006, n’en est que plus urgente.
Dix-neuf classements – généraux, économiques et sociaux – pour se faire une meilleure idée des avancées, ou des retards, des pays nord-africains en 2008.
Premier journaliste à l’avoir rencontré, Béchir Ben Yahmed a brossé le portrait du leader algérien dans le dossier que Jeune Afrique a consacré au putsch du 19 juin 1965 (n° 239).
Les Algériens cultivent une certaine nostalgie des « années Boum » (1965-1978), dont ils ne veulent retenir que les aspects positifs, convaincus que le règne du président du Conseil de la révolution a été d’abord celui de la dignité retrouvée.
Le Conseil supérieur des oulémas (docteurs de loi islamique) du Maroc est sorti de son mutisme après la levée, le 10 décembre, des réserves sur la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard de la femme (CEDEF), en affirmant que l’attachement aux constantes religieuses du pays ne peut être remis en question.