APA – Tunis (Tunisie) – La Tunisie sera privée au prochain Championnat du monde de handball hommes d’une des ses pièces maîtresses, l’arrière Wissem Hmam, indisponible pour une période entre 6 et 8 mois en raison d’une blessure au poignet droit.
Les travaux sur la guerre d’indépendance se multiplient des deux côtés de la Méditerranée, démentant les histoires officielles et provoquant de nouveaux débats.
Le secteur doit redevenir une priorité, et l’un des principaux moteurs de croissance. Au programme : la structuration des acteurs et la promotion des investissements privés.
Deux plans complémentaires, lancés respectivement en 2005 et 2006, définissent la première stratégie industrielle du pays. Ambition : hisser dix secteurs aux premières places mondiales.
Le président élu et déchu mauritanien, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a affirmé dans un document publié dans le journal indépendant « Calame», qu’il a usé « de tous les moyens pour épargner (son) pays d’une crise politique ».
Dans les ruelles les plus sombres de Shubra, un quartier du Caire, les trafiquants d’organes traquent les jeunes Egyptiens démunis pour tenter de les persuader de vendre leur rein pour moins de 3 000 dollars.
Extension des réseaux de transport, création de pôles économiques locaux et de nouveaux centres urbains… Les chantiers ne manquent pas. Notamment pour faciliter les déplacements sur tout le territoire. Et au-delà.
Le royaume mise sur l’ouverture économique. Ses priorités : moderniser le pays et s’attaquer au problème de la pauvreté, à coups de programmes stratégiques. Qui élabore ces plans pour demain ? L’État se donne-t-il les moyens de ses ambitions ?
Professeur à Columbia University, l’historien Rachid Khalidi connaît le président élu depuis très longtemps. Il en parle avec affection, mais sans illusions excessives sur sa future politique moyen-orientale.
Le rapporteur spécial du Conseil des droits de l’homme de l’ONU assimile la politique de l’État hébreu à l’égard des Palestiniens à un « crime contre l’humanité ».
Regroupés pour la plupart dans un quartier populaire de Rabat, les migrants venus du sud sont pris en tenaille entre le cynisme de leurs employeurs, le harcèlement de la police, et la méfiance grandissante de la population. Reportage.