Profitant de l’engouement pour les vins du Nouveau Monde, les viticulteurs du Maghreb s’ouvrent à l’international tout en se renforçant sur leurs bases nationales. Une stratégie qui place à chaque fois sur leur route le groupe Castel.
Née d’un partenariat entre Sonatrach et Etap, cette société créée en 2003 monte en puissance sur trois permis pétroliers et gaziers. Dans l’intérêt de l’algérie et de la tunisie.
Le premier pays oléicole du sud de la Méditerranée doit encore améliorer ses rendements, ainsi que la qualité de ses huiles, pour mieux les valoriser sur les marchés internationaux.
Qu’il s’agisse de garantir les besoins de la population ou d’exporter des produits à haute valeur commerciale, le premier atout de l’agriculture tunisienne est peut-être de savoir se remettre en question.
Essentiellement composé de technocrates, son gouvernement peinait à convaincre l’opinion. Un an après son arrivée au pouvoir,Sidi Ould Cheikh Abdallahi a donc décidé d’en changer. Et de promouvoir l’un de ses proches.
Avec l’explosion des prix du minerai et des engrais, le Maroc et la Tunisie, grands exportateurs, exploitent de véritables trésors. L’Algérie se donne dix ans pour les rejoindre.
Ils offrent un espace d’expression pour raconter sa vie, sa passion, ou « éveiller les consciences ». Certains s’en servent comme d’une arme politique. À leurs risques et périls.