Employant plus de cent mille salariés tunisiens, les sociétés à participation française diversifient leurs activités et recherchent des personnels de plus en plus qualifiés.
L’aura des lycées français reste forte. Même si, compte tenu des frais de scolarité élevés, les deux établissements existants en Tunisie apparaissent de plus en plus sélectifs.
Président du directoire de la BVC, il hérite d’un imposant cahier des charges : faire passer la place financière à la vitesse supérieure, tant au plan national que régional.
Née au Maroc, elle est diplômée de l’École nationale supérieure des télécoms, à Paris. À 37 ans, cette ancienne « globe-trotteuse » dirige une entreprise de pointe (Streamcore) spécialisée dans l’optimisation des réseaux informatiques.
La France confirme en 2007 sa qualité de premier partenaire commercial de la Tunisie. Face à la concurrence des autres Européens, des pays du Golfe et de l’Asie, elle doit cependant surveiller ses positions.
Depuis l’investiture, le 19 avril 2007, du président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, ses rivaux – qui détiennent 34 sièges sur 95 à l’Assemblée – découvrent, non sans quelque difficulté, les vertus de la démocratisation.
Après une première visite en juillet 2007, le chef de l’État français revient à Tunis en terrain familier. Malgré le changement à la tête de l’exécutif intervenu il y a un an, les liens entre les deux pays demeurent très étroits.
Décrié par Washington, ignoré par Tel-Aviv, l’ancien président américain n’est pourtant pas revenu bredouille de sa rencontre avec le chef du Hamas, à Damas.