Le Maroc a déposé le 16 avril aux Nations unies son nouveau projet de définition du statut de la région. Le plan d’autonomie présenté connaîtra-t-il un meilleur sort que les propositions précédentes ?
Il y a soixante-huit ans, la France essayait son premier prototype de bombe nucléaire dans le Sahara algérien. La première d’une longue série, de 1960 à 1966. Des tests atomiques aux conséquences désastreuses, toujours peu reconnues par les autorités françaises.
Il y a 59 ans, en pleine guerre de libération de l’Algérie, l’aviation française bombardait le village frontalier tunisien de Sakiet Sidi Youssef, faisant plus de 70 morts et une centaine de blessés.
Condamnation à mort confirmée pour les personnels soignants étrangers accusés d’avoir inoculé le virus du sida à 426 enfants. Entre la colère des familles et les pressions occidentales, la marge de manoeuvre du « Guide » est étroite.
La sixième édition du Festival du film, qui s’est clôturée le 9 décembre 2006, a plus que jamais confirmé la vocation internationale de cette manifestation. Conséquence, le festival subit les attaques de ses concurrents.
Il incarne aujourd’hui la solution marocaine d’autonomie dans les « provinces du Sud ». De la colonisation espagnole au Conseil de sécurité de l’ONU, en passant par les années de plomb du règne de Hassan II, portrait d’un grand notable reguibi.
Avec le film Indigènes, l’enfant de Trappes, 100 % marocain et 100 % français, passe gaillardement du comique au sérieux. Et flirte même avec la politique.
Pourquoi le directeur de la Sécurité nationale, le général Hamidou Laanigri, a-t-il été limogé ? Comment le réseau terroriste démantelé fin juillet et début août était-il parvenu à infiltrer l’armée et les forces de sécurité ?