La crise libyenne et les tensions en Méditerranée orientale font de l’Afrique du Nord un nouveau nœud stratégique pour les puissances intervenant dans la région.
La rentrée scolaire tunisienne est maintenue pour le 15 septembre. Un test grandeur nature pour le pays qui fait face à une recrudescence des cas de coronavirus.
Les nombreux changements menés au sein de l’institution militaire et les péripéties judiciaires de plusieurs hauts gradés témoignent d’une révolution discrètement menée au sein de la Grande Muette.
Ce sera finalement aux parents de choisir entre envoyer leurs enfants à l’école ou leur faire suivre un enseignement à distance. Modalités d’une rentrée des classes qui s’annonce très perturbée.
Libéré lundi 24 août après une semaine de garde à vue, l’ancien président mauritanien s’est aussitôt vu signifier une interdiction de quitter le territoire national.
Après les Émirats, d’autres pays arabes sont tentés d’amorcer un rapprochement diplomatique avec Israël. Mais cette évolution encouragée par Washington se heurte au tabou de la question palestinienne.
L’explosion meurtrière survenue au port de Beyrouth est un symptôme des nombreux dysfonctionnements qui affectent le pays selon le professeur Karim Émile Bitar. Près de vingt jours après le choc, la population libanaise, encore groggy, attend des réponses.
Le chef du gouvernement Hichem Mechichi a présenté une équipe gouvernementale qui s’affranchit des partis. Reste à convaincre les députés de lui accorder leur confiance.
Le Premier ministre désigné, Hichem Mechichi, a présenté le 24 août son futur gouvernement, essentiellement composé de technocrates, et qui doit encore obtenir l’approbation du Parlement.
Le cessez-le-feu annoncé le 21 août par Fayez al-Sarraj et Aguila Saleh révèle les divisions au sein du camp de l’Est libyen. La question du contrôle de Syrte reste entière.
Dans le tome 1 de ses mémoires, « La guerre comme berceau 1947-1967 », Saïd Sadi, ex-président du RCD raconte son enfance en Kabylie et sa jeunesse militante. Bonnes feuilles.
Ismail Hakki Pekin, ancien chef du renseignement de l’état-major turc entre 2007 et 2011, revient pour Jeune Afrique sur les tensions en Libye et en Méditerranée orientale.
Les autorités rivales libyennes ont annoncé séparément un cessez-le-feu et la tenue prochaine d’élections. Un espoir pour le pays plongé dans le conflit depuis la chute de Kadhafi en 2011.
La nomination du nouvel ambassadeur de France en Algérie François Gouyette, réputé fin connaisseur du monde arabe, est vue comme un signe positif et rassurant par les autorités algériennes.
Si la capitale économique du royaume s’est mobilisée très tôt contre les épisodes de pluies diluviennes, elle doit encore poursuivre ses efforts. 5e épisode de notre série sur les villes face au défi climatique.
Soupçonné de détournement de fonds publics, l’ancien président mauritanien, qui se trouve toujours en garde à vue, a fait appel à trois avocats français pour renforcer le collectif assurant sa défense.
Le pays est-il condamné à un face-à-face mortifère entre tenants de l’islam politique et nostalgiques de l’ancien régime ? Une partie de la jeunesse veut croire à une troisième voie.
Un an après son arrivée à la Bourse du Caire, la fintech a atteint le 17 août la valorisation symbolique d’un milliard de dollars. Et ne compte pas s’arrêter là.
Encore inconnue il y a quelques années, Abir Moussi, bouillonnante députée du Parti destourien libre (PDL) et nostalgique assumée de l’ancien régime, est devenue le visage de l’anti-islamisme tunisien.
Le prince héritier saoudien a assez démontré qu’il était un danger pour la stabilité régionale, et la complaisance internationale face à MBS doit cesser.
Si le développement continental du premier assureur marocain est encore timide, l’Afrique devrait avoir la part belle dans la nouvelle feuille de route du groupe.
Si l’ex-chef d’État n’a pas été formellement mis en garde à vue, le Code pénal mauritanien autorise sa mise à disposition de la police pendant quinze jours consécutifs.
Entre les ventes d’armes, l’opposition à l’islam politique et à l’activisme turc, Paris et Abu Dhabi ont développé des relations privilégiées. Une amitié qui se cultive au sommet du pouvoir, dans un tout petit cercle : « La cellule diplomatique de l’Élysée, Jean-Yves Le Drian et le président ».