Créativité culturelle, innovation architecturale, développement de la qualité de vie et de l’attractivité économique… sont autant de leviers qui permettraient à la capitale économique du Maroc de rivaliser avec les plus grandes métropoles du monde.
Deux documentaires diffusés sur les chaînes françaises LCP et France 5 ont provoqué l’ire de l’Algérie. Qui a décidé de rappeler son ambassadeur à Paris, Salah Lebdioui, « pour consultations ».
Arrêté le 7 mars à Alger, le correspondant de TV5 et de Reporters sans frontières (RSF) Khaled Drareni reste en prison. La chambre d’accusation près la Cour d’Alger a rejeté ce mercredi sa demande de remise en liberté.
La diffusion du documentaire « Algérie, mon amour » de Mustapha Kessous déchaîne les passions sur les réseaux sociaux. Parmi les reproches faits au journaliste, celui de porter un regard occidental, depuis la France.
Censé passer au crible la gestion de Mohamed Ould Abdelaziz, le président de la Commission d’enquête parlementaire Habib Ould Brahim Diah va devoir trouver le juste milieu entre transparence et chasse aux sorcières.
L’Assemblée algérienne examine jusqu’au 31 mai le projet de loi de Finances complémentaire pour 2020. Irrités par l’antiparlementarisme nourri par l’Exécutif, les députés menacent de voter contre le texte.
Le paiement par mobile généralisé devrait voir le jour le mois prochain. Le coronavirus a obligé les autorités à précipiter sa mise en place et les Tunisiens à changer leur mentalité du « tout cash ».
Attirés par ses capitaux, de nombreux pays arabes ont signé des accords de partenariat stratégique avec Pékin. Et espèrent que la crise liée au Covid-19 ne remettra pas en cause les projets du géant asiatique dans la région.
Mis à l’épreuve durant cette pandémie, le système de santé public du royaume s’est dépassé pour offrir à tous un service de qualité. La démonstration que la réforme tant attendue de ce secteur est à portée de main.
La révélation d’extraits de conversation entre Mouammar Kadhafi et des responsables du Golfe où l’ex-guide libyen appelle à trouver un remplaçant à la famille Al Saoud à la tête de l’Arabie saoudite alimente les dissensions dans la région.
Alors que la justice vient d’autoriser l’État marocain à disposer des capacités de stockage de la Samir, le feuilleton de la liquidation du raffineur national n’est toujours pas bouclé.
Témoin de l’histoire qui s’écrit, le journaliste Mustapha Kessous a suivi pendant plusieurs mois cinq jeunes Algériens engagés dans le Hirak. Son documentaire « Algérie mon amour » est diffusé ce mardi 26 mai à 20h50 sur France 5.
Des discussions sont engagées avec l’État et avec les salariés pour renflouer la compagnie aérienne, qui connaissait déjà des problèmes de trésorerie avant la crise du Covid-19.
La pandémie de Covid-19 a mis en exergue la dégradation de la santé sexuelle et reproductive en Tunisie. Mais la montée du conservatisme explique aussi certaines difficultés.
Arrêté en octobre 2019, Abelouahab Fersaoui, figure du Hirak algérien, a passé sept mois à la prison d’El Harrach, où croupissent hauts dignitaires de l’ancien régime, hommes d’affaires et prisonniers de droit commun.
Chercheur en immunologie originaire du Maroc, Moncef Slaoui s’est vu confier par le président américain Donald Trump la direction scientifique d’un ambitieux programme. Son objectif ? Trouver un vaccin contre le coronavirus.
Bien que l’une des rares femmes au premier plan de l’échiquier politique tunisien, Abir Moussi, la chef de file du Parti Destourien Libre (PDL), n’est pas pour autant porteuse d’une révolution sociétale.
De Rabat au Caire, les séries télévisées du ramadan ont accompagné l’évolution des sociétés arabes, brisant des tabous tels que l’adultère ou l’homosexualité. Le cru 2020 détonne, lui, par ses positions politiques.
Le Caire accepte de se remettre autour de la table pour discuter du remplissage du réservoir du méga-barrage qu’Addis-Abeba construit sur le Nil. Le projet est source de tensions dans la région depuis 2011.
Amir Peretz, Orly Levy, Aryé Deri, Miri Regev… Le gouvernement d’union présenté par Benyamin Netanyahou ce 17 mai compte pas moins de dix ministres originaires du Maroc.
Noureddine Taboubi, le secrétaire général de la principale centrale syndicale en Tunisie, a surpris tout le monde en s’alignant sur le point de vue du président de la République, Kaïs Saied. Désormais, il appelle, lui aussi, à la tenue d’un référendum. Quelles raisons motivent ce choix ?
La Commission d’enquête parlementaire, qui audite les contrats passés par l’ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, va être assistée par un cabinet de conseil basé à Paris.
L’association française de consommateurs UFC-Que Choisir a assigné une vingtaine de compagnies aériennes qui ne proposaient que des avoirs, alors que l’Union européenne impose la possibilité d’un remboursement.
L’ancien gouvernement d’Abdelaziz Bouteflika a eu recours aux services de plusieurs cabinets de lobbying américains entre 2014 et mars 2020. Plongée dans les détails de ces contrats.
En dépit d’un rating en recul de la part de l’agence américaine, le géant marocain des phosphates, qui maintient ses activités malgré le coronavirus, met en avant la résilience de son modèle et des perspectives de marché sur la pente ascendante.
-2,5 % selon la Banque européenne de développement, -4,3 % pour le FMI, ou même -10 % selon des experts tunisiens. Derrière la disparité des chiffres, des méthodologies mais surtout des visions de sortie de crise divergentes.