Pour faire repartir l’activité, le programme de relance de plus de 500 millions d’euros du président Ghazouani vise en priorité les secteurs sociaux, les infrastructures et l’autosuffisance alimentaire.
La crise libyenne continue de susciter une multitude de réunions et de conférences, au risque de perdre les observateurs. Et d’alimenter le jeu de dupes des puissances impliquées.
Bon connaisseur des rouages de la Kasbah, Hichem Mechichi compte sur ses solides connexions avec des énarques et d’ex-collaborateurs, mais aussi sur de puissants réseaux informels.
Les filiales subsahariennes continuent de représenter près de la moitié des revenus du groupe. Mais les opportunités de développement se font de plus en plus rares.
Malgré les réformes du régime fiscal applicable à Casablanca Finance City, le royaume restera au nombre des pays « sous surveillance » tant que son dossier n’aura pas été réexaminé par l’OCDE.
Si le président a pu bénéficier d’un état de grâce durant cette première année à la tête de l’État, il doit désormais traduire son discours en actions, selon le conseiller en stratégie.
Flambée du chômage, nouvelle vague de faillites en vue : les mesures prises par la Tunisie pour faire face à la flambée des cas de coronavirus vont avoir des conséquences sociales désastreuses, avertissent des observateurs.
Un projet de loi de protection accrue des forces de sécurité enflamme une partie de la jeunesse tunisienne, qui y voit un reniement des acquis de la révolution.
Alors que l’Algérie et la France ont entamé un travail historique en commun sur la période de la guerre d’Algérie, un ouvrage révèle les détails d’opérations secrètes des services français.
C’est dans le Massif central français qu’a été saisie une partie des billets provenant du pillage, en 2017, d’une banque centrale de Benghazi. Le circuit de blanchiment se fait jour…
Avec l’arrivée des températures plus clémentes, les émirs du Golfe commencent à préparer leurs bagages. Direction le Maroc, l’Algérie et la Tunisie. L’objet de leurs convoitises : le gibier des grandes étendues nord-africaines.
Malgré la crise sanitaire, la londonienne Somerset House accueille comme chaque année la foire d’art africain contemporain 1-54 (du 8 au 10 octobre) et une grande rétrospective(jusqu’au 28 février), consacrée cette année à la photographe assassinée en 2016 à Ouagadougou.
En tendant la main à l’opposition et en favorisant une union sacrée sur une série de sujets, Mohamed Ould Ghazouani affirme un peu plus son leadership et tue dans l’œuf tout espoir de come-back de son mentor et prédécesseur, Mohamed Ould Abdelaziz.
L’historien Daoud Riffi s’inquiète du discours du président français sur les séparatismes, qui viserait selon lui essentiellement les musulmans. Mais note aussi des propositions positives.
Encore peu présent dans le secteur, le royaume wahhabite montre depuis le début de l’année un intérêt croissant tant pour les opérateurs du continent que pour l’infrastructure réseau.
Appuyant son développement sur la force de frappe de son actionnaire majoritaire Altice, propriété de Patrick Drahi, Karim Bernoussi vise désormais le marché anglophone.
Le meurtre crapuleux dans la banlieue de Tunis de Rahma Lahmar, 29 ans, ravive la polémique sur la peine de mort. Mais pour l’essayiste Amine Snoussi, ce débat mène à une impasse.
Le chef du Pentagone, Mark Esper, vient d’achever une tournée au Maghreb, à un mois de l’élection présidentielle américaine. Retour sur une visite surprise placée sous le signe de la coopération sécuritaire.
Plusieurs mois après l’essoufflement du Hirak qui a vu la chute de l’ex-président Bouteflika, près d’un millier de personnes ont manifesté à Alger ce 5 octobre.
En dépit de la pandémie de coronavirus, la filiale du géant émirati, premier producteur d’électricité du royaume, tient bon la barre. Elle a reprofilé sa dette et maintient ses ambitions continentales.
Le coronavirus continue de se propager sur tout le territoire tunisien avec une nouvelle vigueur. Le point avec Yves Souteyrand, représentant de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) à Tunis.
Ali Haddad, les frères Kouninef, Mahiedine Tahkout… ont amassé des fortunes colossales avec la complicité, le concours et l’assentiment de l’ancien pouvoir. Leurs procès révèlent les principaux ressorts de la corruption sous le règne du président déchu.