Mis en valeur sur le web comme sur scène, les humoristes d’origine maghrébine se sont fait une place dans l’univers du stand-up. Tous s’inspirent de leur propre histoire et tentent de naviguer entre tabous et clichés.
Cours à la télévision pour les enfants libyens ou sur tablettes dans les riches émirats du Golfe : chaque pays tente de trouver des alternatives pour des millions d’élèves privés d’école.
Tribunaux à l’arrêt, prisons sécurisées, visites suspendues… Alors que de nombreux procès anti-corruption sont programmés dans les jours à venir, la pandémie de Covid-19 contraint les autorités à revoir le fonctionnement de la justice algérienne.
Avec les mesures de confinement prises par les autorités, les Subsahariens installés en Tunisie ont perdu leurs sources de revenus. Et sont particulièrement vulnérables face à la progression de l’épidémie.
En moins d’un mois, les perspectives d’embellies du secteur touristique tunisien, qui ambitionnait les 10 millions de visiteurs en 2020, ont été rattrapées par la pandémie.
Enterrées par la précédente législature, les recommandations de la Commission des libertés individuelles et de l’égalité (Colibe) peuvent-elles être repêchées par la nouvelle mandature ? La société civile y croit.
Dès l’apparition du premier cas de coronavirus sur son sol, le royaume a pris des mesures pour limiter l’impact économique de la crise. Mais face aux annulations en série, les entreprises réclament plus d’aides.
Alors que se multiplient les essais cliniques pour trouver un remède contre le Covid-19, les autorités sanitaires du royaume ont acheté à Sanofi Maroc tous les stocks des médicaments à base de chloroquine.
Serveurs, coiffeurs, vendeurs ambulants… pour de nombreux Marocains non affiliés à la sécurité sociale, le confinement est synonyme d’absence de revenus. Une précarité à laquelle les pouvoirs publics tentent d’ores et déjà de trouver une solution.
Depuis le début de l’épidémie de coronavirus déclarée mi-décembre en Chine, on ne rit plus. Mais cette histoire sur les musulmans et leur rapport à la maladie pourra peut-être vous redonner le sourire.
La Bourse de Casablanca a choisi son prochain directeur général, Tarik Senhaji. Cet ancien de la City devra d’abord surmonter cette période de crise liée coronavirus avant de boucler la mue entamée par son prédécesseur.
Pour la première fois depuis le 22 février 2019, les rues d’Alger étaient vides ce vendredi : le coronavirus a eu raison, au moins temporairement, des marches hebdomadaires du mouvement de contestation algérien.
Et si après la Chine et l’Europe, c’était le tour de l’Afrique ? Pour arrêter le coronavirus, il faut agir maintenant et vite. Avant que les fragiles systèmes sanitaires africains soient mis à genoux. En Italie, on l’a compris trop tard.
L’influent homme d’affaires, ennemi juré de l’ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, est rentré le 10 mars à Nouakchott après dix ans d’exil. Fondateur du groupe Bouamatou SA (BSA), il s’est, durant son absence, appuyé sur un carré de fidèles pour défendre ses intérêts et continuer à gérer ses entreprises.
Alors qu’une partie de l’industrie marocaine est à l’arrêt du fait du Covid-19, la dernière réunion du Comité de veille économique a mis en place des mesures en faveur des entreprises et des salariés du privé.
Pour garder l’épidémie sous contrôle, le royaume a décrété l’état d’urgence sanitaire et le confinement dès ce vendredi à 18 heures, jusqu’à nouvel ordre.
En première ligne dans la lutte contre le Covid-19, les professionnels de santé alertent les autorités algériennes sur leurs conditions de travail. Ils soulignent notamment le manque de matériel de protection, qui les expose fortement au virus.
Des rondes pour inciter la population à respecter le confinement volontaire, préparatifs pour la mise en place de structures sanitaires équipées afin de renforcer le dispositif hospitalier, permissions suspendues dans toutes les casernes… au Maroc, les Forces armées royales (FAR) entrent progressivement en action contre le Covid-19.
Le chef de l’État mauritanien n’a pas apprécié le traitement faveur dont a bénéficié son prédécesseur à l’aéroport de Nouakchott, avant d’embarquer pour les îles Canaries.
Dans le contexte de crise sanitaire mondiale, il est recommandé de limiter ses déplacements, voire de se confiner chez soi pour les pays où la situation est grave. Une gageure pour nombre de nos lecteurs. Mais aussi l’occasion de revenir à l’essentiel, et d’enfin trouver le temps de lire. Voici, pour ceux qui sont intéressés par le monde arabe, la sélection spéciale « confinement » de JA.
Officiellement, Paris reconnaît la légitimité du gouvernement de Tripoli et soutient le processus politique. Mais, dans les faits, c’est au controversé Khalifa Haftar que vont ses faveurs. Genèse d’une relation aussi privilégiée que risquée.
Pour lutter conter la propagation du Covid-19, le président Kaïs Saied a annoncé mardi 17 mars la mise en place d’un couvre-feu, de 18h à 6h. Une mesure qui laisse perplexe la majorité des Tunisiens.
Pour lutter contre la propagation du Covid-19, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a annoncé, dans un discours prononcé à la télévision mardi 17 mars, l’interdiction de toutes les marches. Une décision qui divise les militants du Hirak, qui y voient une volonté du pouvoir de mettre fin au mouvement de contestation.
Tout en annonçant des mesures pour limiter le nombre de clients dans les agences, les banques marocaines veulent continuer à servir leurs clients « de façon normale » et s’engagent à assurer l’approvisionnement régulier des distributeurs.
Covid-19, conflit libyen, crise sociale, frilosité des investisseurs… Les dossiers chauds s’empilent sur le bureau d’Elyes Fakhfakh, le nouveau locataire de la Kasbah. Pourtant, le chef du gouvernement veut rester optimiste. Rencontre.