Si les femmes d’affaires du Golfe se taillent la part du lion dans le dernier classement du magazine américain Forbes, consacré aux Businesswomen du Moyen-Orient, sept Marocaines, deux Tunisiennes et une Algérienne trouvent leur place dans le top 100.
Cinq mois après leur condamnation à 15 ans de prison, le frère du président déchu Saïd Bouteflika, les deux ex-patrons du renseignement, les généraux Toufik et Athmane Tartag, ainsi que Louisa Hanoune seront rejugés en appel le 9 février par le tribunal militaire de Blida. Dans un nouveau contexte politique, ils espèrent être acquittés.
L’école de commerce casablancaise, qui a décroché le label AACSB – gage de prestige et d’excellence académique –, veut devenir une référence au sein des pays émergents.
Déterminée à renforcer coûte que coûte son rôle sur les plans régional et international, la Turquie s’est lancée dans une guerre d’influence tous azimuts qui pourrait in fine lui aliéner ses partenaires historiques.
Nouvelle valse de directeurs au sein du groupe pétrolier algérien Sonatrach, qui assure 98 % des recettes en devises du pays. Toufik Hakkar, vice-président business development et marketing de Sonatrach, a été nommé le 5 février PDG de la compagnie pétrolière.
Sept ans jour pour jour après l’assassinat du leader de gauche, le collectif d’avocats Belaïd-Brahmi a obtenu l’ouverture d’une nouvelle enquête sur « l’appareil secret d’Ennahdha », impliquant 16 prévenus dans l’affaire Belaïd. Retour sur une affaire complexe considérée par certains comme crime d’État.
Heetch, le leader du VTC au Maroc, a saisi le Conseil de la concurrence pour statuer sur la légalité des activités de Careem, à qui elle reproche d’exercer sans que ses chauffeurs n’aient d’agrément du ministère de l’Intérieur.
Les enjeux sécuritaires devraient dominer les débats du 33e sommet de l’Union africaine, les 9 et 10 février à Addis-Abeba. L’UA espère, enfin, proposer d’une seule voix une solution à la crise en Libye.
Actuellement dans l’opposition, le parti de Nizar Baraka est le premier à évoquer la nécessité de revoir le processus du double scrutin attendu en 2021. Une manière pour la formation de se préparer aux prochaines élections dans les meilleures conditions.
Les opérateurs touristiques marocains commencent l’année 2020 avec la suspension de la ligne directe Casablanca-Pékin de Royal Air Maroc et des dizaines de milliers d’annulations du marché chinois qui connait pourtant une nette progression depuis trois ans. Mais l’augmentation constante, année après année, des arrivées dans le royaume leur permet de rester rassurés.
Plus de cinq ans après sa première comparution devant le procureur, Anas Houir Alami a écopé d’une peine de prison ferme pour les irrégularités du projet immobilier « Madinat Badès », à Al Hoceima. Tout comme Mohamed Ali Ghannam, ancien patron de la Compagnie générale immobilière (CGI).
La décision du président Abdelmajid Tebboune d’effectuer un dépôt de garantie de 150 millions de dollars à la Banque centrale tunisienne (BCT) suscite l’incompréhension chez de nombreux Algériens. Dans un contexte où les réserves de change sont en chute libre, ils estiment que le pays a d’autres priorités.
Homme d’expérience, discret, travailleur… Le profil du nouveau chef du gouvernement plaide en sa faveur. Mais entre la situation économique algérienne, le vide du pouvoir laissé par la présidence Bouteflika et le mouvement de contestation populaire (le « Hirak »), la tâche qui lui échoit est colossale. Portrait.
Chercheure au CNRS (CERI-Sciences Po), Stéphanie Latte Abdallah décrypte les enjeux entourant la proposition du président américain Donald Trump pour résoudre le conflit israélo-palestinien. Et souligne l’influence qu’elle pourrait avoir sur les modes d’action de la lutte palestinienne.
Lors de la visite du président tunisien Kaïs Saïed, en Algérie, la Banque centrale a promis un dépôt de 150 millions de dollars à son homologue de Tunisie. Une aide d’une portée aussi bien politique qu’économique.
Nommé directeur de cabinet du Premier ministre le 29 décembre, Brahim Bouzeboudjène, haut fonctionnaire associé à la lutte anticorruption, fait son grand retour.
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a signé ce mardi un décret graciant 3 471 personnes condamnées, une mesure de clémence qui ne concerne cependant pas les détenus liés au Hirak le mouvement de contestation populaire anti-régime, dont la majorité sont en attente de jugement.
Alors que la saison 2019-2020 est loin d’être terminée, 40 coachs sur 64 ont déjà été remplacés dans les clubs des quatre principaux championnats nord-africains (Algérie, Maroc, Tunisie, Égypte). Les causes de ce ballet incessant sont sportives, mais aussi sociologiques et politiques.
Désapprouvant la décision d’Elyes Fakhfakh de ne pas intégrer Qalb Tounes à son futur gouvernement, le parti islamiste déploie une stratégie en plusieurs étapes pour lui barrer la route.
Comme dans de nombreux pays à travers le monde, les démagogues antisystème ont fait irruption sur le devant de la scène, ne reculant devant aucune outrance pour servir leurs desseins. Jusqu’où peuvent-ils aller ?
Qu’ils siègent dans les grands ou petits partis, à gauche, à droite ou dans les rangs islamistes, les députés à la fibre populiste s’illustrent par des sorties remarquées. Florilège des sept parlementaires les plus démagogues.
Alors que son procès en appel aura lieu dimanche 9 février au tribunal de Blida, l’état de santé du frère de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika suscite l’inquiétude des autorités.
L’entretien télévisé du président tunisien Kaïs Saïed, le 30 janvier, cent jours après son investiture, n’a pas laissé entrevoir les signes d’un président solidement assis dans ses fonctions.
Le PDG d’Al Karama Holding, qui gère les sociétés au clan de l’ancien président Ben Ali, n’a pas réussi à boucler la totalité des cessions prévues à son programme.
Si aucun cas de coronavirus n’a été signalé dans les pays du Maghreb, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc annoncent de nouvelles mesures de prévention face à l’épidémie de pneumonie qui a contaminé près de 17 500 personnes à travers le monde.
Lors du voyage officiel du président tunisien Kaïs Saïed à Alger, le chef de l’État algérien Abdelmadjid Tebboune a fait état d’une « totale convergence » de vues entre les deux pays, y compris sur les questions régionales et internationales.