Cadre de vie agréable, suivi individualisé rassurant, prix abordables… Les centres gériatriques en Tunisie attirent les retraités venus de l’autre côté de la Méditerranée.
Candidat malheureux à l’élection présidentielle de septembre 2019, Lotfi Mraihi explique pourquoi il refuse de participer au futur exécutif et revient sur les chantiers qu’il estime prioritaires pour la Tunisie.
Même si la campagne électorale n’est toujours pas lancée, les intentions pour briguer le poste de président et de vice-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc sont nombreuses.
Après un premier report lundi, le procès pour corruption présumée des deux ex-Premiers ministres, de plusieurs ministres et hommes d’affaires a repris mercredi 4 décembre. Une procédure judiciaire lourde de symboles, à quelques jours de l’élection présidentielle qui doit donner un successeur à Abdelaziz Bouteflika.
Le chef du gouvernement marocain se rendra accompagné d’une importante délégation à Paris mi-décembre, à l’occasion de la Rencontre annuelle de haut niveau France-Maroc.
Le ministre algérien de l’Intérieur, Salah Eddine Dahmoune, s’en est pris violemment mardi aux opposants à la présidentielle contestée du 12 décembre en Algérie, qu’il a traités de « traîtres, mercenaires, homosexuels » inféodés aux « colonialistes ».
Depuis le mois d’avril, la parution de sondages électoraux annonçant une recomposition totale du paysage politique a relégué au second plan les autres urgences, notamment économiques.
Qu’a fait l’Europe depuis le début du mouvement populaire en Algérie : rien. Si ce n’est s’accorder, jeudi 28 novembre, sur une résolution à contre-temps et contre-productive, votée par son parlement, quelques jours avant l’élection présidentielle prévue le 12 décembre.
Première fortune du royaume et inamovible ministre de l’Agriculture, il a transformé le Rassemblement national des indépendants, qu’il préside depuis trois ans, en machine de guerre en vue des élections de 2021. Enquête sur une stratégie menée au pas de charge sous l’impulsion d’un homme pressé.
Onze personnes ont été arrêtées à Jelma, dans la région de Sidi Bouzid (centre-ouest), où des affrontements nocturnes opposent depuis plusieurs jours des jeunes à des policiers, a rapporté mardi le ministère de l’Intérieur.
La Banque mondiale a demandé une audience urgente au gouvernement mauritanien, afin d’éclaircir le non-respect présumé d’une convention avec un partenaire privé concernant l’exploitation d’une mine d’or.
Si certains candidats à l’élection présidentielle du 12 décembre ont donné leur accord sans réserve pour participer à un débat télévisé, d’autres ont posé leurs conditions.
Ghassan Salamé, envoyé spécial des Nations unies en Libye, et Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine, s’opposent notamment sur l’opportunité de créer un poste de médiateur conjoint ONU-UA pour résoudre la crise qui secoue le pays depuis plusieurs années.
Implanté au Maroc, en Tunisie et en Égypte, le groupe français ne parvient pas à inquiéter les leaders de ces marchés, et sa transformation en opérateur de services piétine… en attendant l’arrivée en 2020 d’Orange Money dans le royaume chérifien.
Le 28 novembre, Mohamed Ould Ghazouani comptait encore s’entretenir avec Mohamed Ould Abdelaziz le jour même, en marge de la fête de l’Indépendance, à Akjoujt. Mais l’ancien président a boycotté l’événement.
Abdelkader Bengrina, ancien ministre du Tourisme, et Abdelaziz Belaïd, ancien cadre du Front de libération nationale (FLN), sont tous les deux candidats à l’élection présidentielle du 12 décembre, aux côtés d’Azzedine Mihoubi et des anciens Premiers ministres Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune.
Au moins 24 jeunes adultes ont été tués dimanche dans un accident de bus qui a également fait 18 blessés, dans une région du nord-ouest de la Tunisie prisée pour ses montagnes mais où les infrastructures sont jugées déficientes.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté samedi à Alger « contre l’ingérence étrangère » et pour la tenue de la présidentielle du 12 décembre, rejetée par le mouvement de contestation qui agite l’Algérie depuis février.
Un groupe de chercheurs documente depuis février 2019 les manifestations et soubresauts politiques en Algérie. Une petite pierre vers la collecte d’archives plus complètes pour témoigner des événements en cours. Saphia Arezki, historienne, décrypte cette initiative collective.
Les Algériens ont à nouveau défilé massivement vendredi à Alger contre le pouvoir, continuant d’exprimer leur rejet d’une présidentielle prévue dans moins de 15 jours.
Le parti de Mohamed Abbou, fondateur et Secrétaire général du Courant démocratique, est en position confortable pour participer au prochain exécutif. En cas d’échec, ce bloc démocrate pourrait devenir le leader de l’opposition avec un objectif : la lutte contre la corruption. Interview.
Depuis le lancement de la campagne présidentielle, le nombre d’arrestations s’affole à travers le pays, avec près de 300 personnes interpellées. Amnistie, grâce, libération… Les candidats sont divisés sur l’opportunité de poursuivre les procédures judiciaires engagées à leur encontre.
Après la naissance en 2006 d’Afriquia Lubrifiants, leur co-entreprise, les deux groupes renouvellent ce partenariat et prévoient des implantations en Afrique francophone. Des discussions sont en cours au Maroc pour des contrats de commercialisation au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
Et si le diagnostic des institutions internationales sur le Maghreb et le Machrek était erroné ? C’est la thèse de ce spécialiste de la finance qui a conseillé divers gouvernements.
Jusqu’à présent, il faut le reconnaître, Ali Benflis n’est pas très populaire. Il demeure critiqué pour avoir été un « agent du système ». Injuste procès.
L’ancien et le nouveau président mauritanien sont-ils sur la même longueur d’onde, celle d’une re-passation éventuelle de pouvoir ? À l’inverse, le feu de la concurrence couve-t-il sous la bienséance ?
Le procès public pour corruption présumée impliquant deux anciens Premiers ministres et plusieurs ex-ministres, walis et hommes d’affaires ayant prospéré sous le règne de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika, débutera lundi 2 décembre au tribunal de Sidi M’hamed. Une dernière juridiction que la défense estime d’ores et déjà incompétente.
Au cours des derniers jours, le président Mohamed Ould Ghazouani a montré une volonté de s’émanciper de son prédécesseur Mohamed Ould Abdelaziz. Ce dernier a boycotté jeudi 28 novembre la célébration de l’Indépendance, confirmant la première grande brouille entre deux amis intimes qui désormais ne s’adressent plus la parole.