Serveurs, coiffeurs, vendeurs ambulants… pour de nombreux Marocains non affiliés à la sécurité sociale, le confinement est synonyme d’absence de revenus. Une précarité à laquelle les pouvoirs publics tentent d’ores et déjà de trouver une solution.
Depuis le début de l’épidémie de coronavirus déclarée mi-décembre en Chine, on ne rit plus. Mais cette histoire sur les musulmans et leur rapport à la maladie pourra peut-être vous redonner le sourire.
La Bourse de Casablanca a choisi son prochain directeur général, Tarik Senhaji. Cet ancien de la City devra d’abord surmonter cette période de crise liée coronavirus avant de boucler la mue entamée par son prédécesseur.
Pour la première fois depuis le 22 février 2019, les rues d’Alger étaient vides ce vendredi : le coronavirus a eu raison, au moins temporairement, des marches hebdomadaires du mouvement de contestation algérien.
Et si après la Chine et l’Europe, c’était le tour de l’Afrique ? Pour arrêter le coronavirus, il faut agir maintenant et vite. Avant que les fragiles systèmes sanitaires africains soient mis à genoux. En Italie, on l’a compris trop tard.
L’influent homme d’affaires, ennemi juré de l’ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, est rentré le 10 mars à Nouakchott après dix ans d’exil. Fondateur du groupe Bouamatou SA (BSA), il s’est, durant son absence, appuyé sur un carré de fidèles pour défendre ses intérêts et continuer à gérer ses entreprises.
Alors qu’une partie de l’industrie marocaine est à l’arrêt du fait du Covid-19, la dernière réunion du Comité de veille économique a mis en place des mesures en faveur des entreprises et des salariés du privé.
Pour garder l’épidémie sous contrôle, le royaume a décrété l’état d’urgence sanitaire et le confinement dès ce vendredi à 18 heures, jusqu’à nouvel ordre.
En première ligne dans la lutte contre le Covid-19, les professionnels de santé alertent les autorités algériennes sur leurs conditions de travail. Ils soulignent notamment le manque de matériel de protection, qui les expose fortement au virus.
Des rondes pour inciter la population à respecter le confinement volontaire, préparatifs pour la mise en place de structures sanitaires équipées afin de renforcer le dispositif hospitalier, permissions suspendues dans toutes les casernes… au Maroc, les Forces armées royales (FAR) entrent progressivement en action contre le Covid-19.
Le chef de l’État mauritanien n’a pas apprécié le traitement faveur dont a bénéficié son prédécesseur à l’aéroport de Nouakchott, avant d’embarquer pour les îles Canaries.
Dans le contexte de crise sanitaire mondiale, il est recommandé de limiter ses déplacements, voire de se confiner chez soi pour les pays où la situation est grave. Une gageure pour nombre de nos lecteurs. Mais aussi l’occasion de revenir à l’essentiel, et d’enfin trouver le temps de lire. Voici, pour ceux qui sont intéressés par le monde arabe, la sélection spéciale « confinement » de JA.
Officiellement, Paris reconnaît la légitimité du gouvernement de Tripoli et soutient le processus politique. Mais, dans les faits, c’est au controversé Khalifa Haftar que vont ses faveurs. Genèse d’une relation aussi privilégiée que risquée.
Pour lutter conter la propagation du Covid-19, le président Kaïs Saied a annoncé mardi 17 mars la mise en place d’un couvre-feu, de 18h à 6h. Une mesure qui laisse perplexe la majorité des Tunisiens.
Pour lutter contre la propagation du Covid-19, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a annoncé, dans un discours prononcé à la télévision mardi 17 mars, l’interdiction de toutes les marches. Une décision qui divise les militants du Hirak, qui y voient une volonté du pouvoir de mettre fin au mouvement de contestation.
Tout en annonçant des mesures pour limiter le nombre de clients dans les agences, les banques marocaines veulent continuer à servir leurs clients « de façon normale » et s’engagent à assurer l’approvisionnement régulier des distributeurs.
Covid-19, conflit libyen, crise sociale, frilosité des investisseurs… Les dossiers chauds s’empilent sur le bureau d’Elyes Fakhfakh, le nouveau locataire de la Kasbah. Pourtant, le chef du gouvernement veut rester optimiste. Rencontre.
Conscient de ses moyens sanitaires limités, le royaume a rapidement réagi pour tenter de contenir la propagation du Covid-19, en verrouillant ses frontières et en imposant un climat de confinement, jusque-là volontaire.
Fermeture des mosquées, importation de plusieurs millions de dollars de matériel… les pouvoirs publics ont pris plusieurs mesures ces derniers jours pour limiter la propagation du Covid-19 en Algérie. Une stratégie qui se heurte à un climat de défiance entre la population et les autorités.
Deux anciens Premiers ministres, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia, appellent la justice à convoquer l’ex-raïs pour l’entendre sur des affaires de corruption où sa responsabilité serait, selon eux, pleinement engagée.
Lauréate du Goncourt 2016 pour son roman « Chanson douce », la romancière franco-marocaine publie « Le Pays des autres », premier volet d’une trilogie historique sur le Maroc.
Pour face aux dépenses sanitaires exceptionnelles et soutenir les secteurs sinistrés par la crise due au Coronavirus, le royaume a créé un fonds spécial doté de 10 milliards de dirhams.
Aussi bien sur le plan politique qu’économique, l’influence des Émirats Arabes Unis et de son puissant émir Mohammed bin Zayed est de plus en plus grande au Maghreb. Chercheur au Clingendael Institute, Jalel Harchaoui, décrypte pourJeune Afrique cette nouvelle hégémonie régionale.
Le sous-sol libyen recèle des réserves non négligeables d’or, de fer et de magnésium. Si ces minerais n’ont jusque-là pas été exploités, le gouvernement de Tripoli les envisage comme un « recours » face à la chute de la production pétrolière.