Sa candidature à la présidentielle du 12 décembre n’est pas la plus médiatisée, mais l’ancien ministre de la Culture voit sa cote grimper. Il nous détaille son projet pour sortir le pays de l’ornière. Entretien exclusif.
En marge du forum Med Dialogues 2019, qui avait lieu à Rome du 6 au 7 décembre, le ministre algérien des Affaires étrangères s’est employé à défendre le processus électoral en cours. Et a vertement critiqué la résolution du Parlement européen sur les « détenus d’opinion ».
Plusieurs rassemblements de protestation ont eu lieu en France, aux abords des consulats algériens, où des bureaux de vote sont ouverts jusqu’au 12 décembre pour le premier tour de l’élection présidentielle.
La justice algérienne a demandé samedi à entendre Saïd Bouteflika, le frère du président déchu, au troisième jour d’un procès pour corruption d’anciens hauts responsables politiques et hommes d’affaires algériens. Celui-ci a finalement préféré garder le silence.
Membre du conseil de la Choura d’Ennahdha et ex-conseiller politique de Rached Ghannouchi, Lotfi Zitoun admet que des « désaccords » existent au sein du parti islamiste, mais que ce dernier n’en est pas pour autant « au stade des dissensions ». Entretien.
Les gardes-côtes mauritaniens ont intercepté vendredi une embarcation transportant 192 migrants gambiens en route pour l’Espagne, 48 heures après le naufrage d’une pirogue ayant fait 63 morts au large de la Mauritanie.
Deux jours avant la fin de la campagne et six jours avant l’élection présidentielle du 12 décembre, les cinq candidats au scrutin ont participé à un débat télévisé inédit, alors même que d’importantes manifestations traversaient les grandes villes du pays.
Les deux jours d’ouverture du premier grand procès de la corruption des années Bouteflika, faisant comparaître devant le tribunal d’Alger pas moins de deux ex-Premiers ministres, ministres et autre hommes d’affaires, ont mis en lumière les jeux de pouvoir sous le règne de l’ancien raïs, malgré quelques absences notables.
Le géant pétrolier saoudien Aramco est parvenu à lever 25,6 milliards de dollar pour ce qui va devenir la plus grosse introduction en Bourse de l’histoire.
Mohamed Arkab a déclaré que la cession des actifs d’Anadarko à Total était incompatible avec la législation algérienne. Il a annoncé par la même occasion que Sonatrach pourrait faire usage de son droit de préemption sur les actifs en question.
Asile des opposants au temps de la dictature, l’ex-puissance coloniale reste un partenaire stratégique mais a cessé de faire rêver. Pour des raisons pas toujours rationnelles.
Plusieurs des faveurs de Donald Trump à l’égard d’Israël semblent s’inscrire dans une folie messianique qui voudrait que le président américain soit le nouveau Cyrus, futur Messie censé instaurer la paix universelle.
Depuis les années 1960, le royaume est une destination santé mondiale. D’abord pour la chirurgie esthétique, ensuite pour d’autres spécialités. Et attire aussi la patientèle africaine, notamment depuis une dizaine d’années.
À l’approche de la présidentielle du 12 décembre, l’exécutif comme le Hirak rivalisent de véhémence dans le « french bashing » pour servir leurs desseins politiques.
Chargé de former le nouveau gouvernement tunisien, sur proposition du parti Ennahdha, Habib Jemli multiplie les entretiens avec l’ensemble de la classe politique. Et se pose en rassembleur.
Jugée partiellement responsable d’une sorte de prédation économique et du maintien d’une certaines prédominance culturelle dans la société marocaine, la France revient régulièrement sous le feu des critiques.
Les propos du ministre algérien de l’Intérieur, Salah Eddine Dahmoune, qui a qualifié les opposants à la présidentielle du 12 décembre de « traîtres, mercenaires, homosexuels » suscitent un tollé sur les réseaux sociaux.
Cadre de vie agréable, suivi individualisé rassurant, prix abordables… Les centres gériatriques en Tunisie attirent les retraités venus de l’autre côté de la Méditerranée.
Candidat malheureux à l’élection présidentielle de septembre 2019, Lotfi Mraihi explique pourquoi il refuse de participer au futur exécutif et revient sur les chantiers qu’il estime prioritaires pour la Tunisie.
Même si la campagne électorale n’est toujours pas lancée, les intentions pour briguer le poste de président et de vice-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc sont nombreuses.
Après un premier report lundi, le procès pour corruption présumée des deux ex-Premiers ministres, de plusieurs ministres et hommes d’affaires a repris mercredi 4 décembre. Une procédure judiciaire lourde de symboles, à quelques jours de l’élection présidentielle qui doit donner un successeur à Abdelaziz Bouteflika.
Le chef du gouvernement marocain se rendra accompagné d’une importante délégation à Paris mi-décembre, à l’occasion de la Rencontre annuelle de haut niveau France-Maroc.
Le ministre algérien de l’Intérieur, Salah Eddine Dahmoune, s’en est pris violemment mardi aux opposants à la présidentielle contestée du 12 décembre en Algérie, qu’il a traités de « traîtres, mercenaires, homosexuels » inféodés aux « colonialistes ».
Depuis le mois d’avril, la parution de sondages électoraux annonçant une recomposition totale du paysage politique a relégué au second plan les autres urgences, notamment économiques.
Qu’a fait l’Europe depuis le début du mouvement populaire en Algérie : rien. Si ce n’est s’accorder, jeudi 28 novembre, sur une résolution à contre-temps et contre-productive, votée par son parlement, quelques jours avant l’élection présidentielle prévue le 12 décembre.
Première fortune du royaume et inamovible ministre de l’Agriculture, il a transformé le Rassemblement national des indépendants, qu’il préside depuis trois ans, en machine de guerre en vue des élections de 2021. Enquête sur une stratégie menée au pas de charge sous l’impulsion d’un homme pressé.