Élue lundi 28 octobre à la tête du conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, l’ex-journaliste Fatima El Hassani succède à Ilyas El Omari, son ancien mentor et chef de son parti, le PAM. Un lourd héritage qu’aucune autre formation politique n’a voulu assumer.
L’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), nouvelle instance chargée de superviser le processus électoral en Algérie, a jusqu’à samedi 2 novembre à minuit pour annoncer quelles candidatures – parmi les 22 déposées – seront finalement retenues pour le scrutin présidentiel du 12 décembre. Indiscrétions.
Si la conjoncture mondiale freine la reprise dans les économies du Maghreb et du Moyen-Orient, selon les prévisions du FMI publiées le 28 octobre, des raisons plus locales comme les déficits, les dettes et la mauvaise gouvernance y contribuent aussi.
L’ancien Premier ministre d’Abdelaziz Bouteflika a déposé samedi son dossier de candidature à la présidentielle, prévue le 12 décembre et massivement rejetée par la rue.
Le patron de presse a vu sa peine alourdie en appel par la justice marocaine, qui l’a finalement condamné à 15 ans de prison pour violences sexuelles. L’accusé dénonce un « procès politique ».
Le Parti du progrès et du socialisme (PPS), membre de tous les gouvernements depuis plus de vingt ans, a quitté l’équipe de Saadeddine El Othmani à la faveur du remaniement ministériel de début octobre. Comment peut-il se positionner pour continuer à exister ? Analyse.
Pour empêcher la production de la National Oil Corporation (NOC) de flancher, le gouvernement de Fayez al-Sarraj met la main à la poche, et l’addition va rapidement se chiffrer en milliards de dollars.
Une vaste arnaque, dont le préjudice se chiffrerait à plusieurs dizaines de milliers d’euros, a provoqué l’effondrement du marché immobilier en 2018, et même fragilisé les banques. Le coupable ? Un saint homme, marabout très respecté et proche du pouvoir, murmure-t-on.
Depuis leur réouverture en décembre 2017, les circuits dans l’Adrar attirent de plus en plus de voyageurs, séduits par la beauté du désert et des cités anciennes.
L’étude récemment publiée par l’Institut Montaigne selon laquelle près du quart des musulmans de France considèrent que la charia est plus importante que les lois de la République ne m’a pas étonnée, moi qui viens de vivre les législatives tunisiennes à Paris avec une majorité de bulletins en faveur du parti islamiste Ennahdha.
Construite en 1915 à l’époque coloniale, la prison d’El-Harrach a accueilli dans ses murs plusieurs personnalités, et notamment des figures de la révolution algérienne.
En dépit des difficultés du secteur minier, les indicateurs s’améliorent, notamment grâce à des ajustements budgétaires et à la croissance du PIB non extractif. Mais beaucoup reste à faire en matière de climat des affaires.
Influenceuse connue pour ses tutoriels beauté sur YouTube et Instagram, Shirine Boutella est actuellement à l’affiche du film « Papicha » de Mounia Meddour, sorti en France le 9 octobre 2019.
Si la classe politique pointe du doigt des problèmes de gouvernance et de distribution, pour de nombreux analystes, le Maroc est confronté à un problème plus vaste, coincé entre le réchauffement climatique et des industries gourmandes en eau.
Dans le camp de Mbera, des dizaines de milliers de réfugiés maliens vivent dépossédés de tout. Les populations locales, les autorités et les organisations internationales soulagent en partie leurs peines, mais l’incertitude demeure quant à leur hypothétique retour au pays.
Ma position est d’accorder un préjugé favorable au nouveau président Kaïs Saïed, qui reste encore largement une « énigme », et, d’ici à six mois, de le juger sur ses actes. L’on connaît en revanche l’état de la Tunisie et la nature de la Constitution dont il hérite. Et là, l’analyse la plus optimiste conduit à un pronostic très réservé.
La romancière franco-marocaine Saphia Azzeddine répond à sa manière aux questions de Jeune Afrique, alors que la société française se déchire une fois de plus autour de la question du « voile ».
Après avoir prêté serment, le nouveau président tunisien Kaïs Saïed a prononcé mercredi 23 octobre son premier discours devant le Parlement. Une allocution aux accents tantôt solennels et fermes, tantôt rassembleurs.
À 41 ans, la réalisatrice franco-algérienne signe son premier long-métrage. Projeté en mai au Festival de Cannes et sorti le 9 octobre en France, « Papicha » a déjà été repéré par l’Académie des oscars.
Présenter un candidat, ne pas le faire mais soutenir quand même le processus électoral, ou bien boycotter le scrutin ? Le choix taraude responsables et partis politiques algériens, à quelques jours de la date limite pour le dépôt des candidatures à l’élection présidentielle du 12 décembre.
Abdellatif Jouahri, le gouverneur de Bank Al-Maghrib n’entend pas céder au FMI, qui souhaite voir le Maroc accélérer sa libéralisation du régime de change pour le dirham. Le royaume attendra encore avant d’engager une nouvelle étape de cette réforme.
Dans les rangs de l’Union pour la République (UPR), le parti du président Mohamed Ould Ghazouani, certains critiquent la faible présence de proches de Mohamed Ould Abdelaziz dans l’équipe gouvernementale, allant même jusqu’à soupçonner le nouveau chef de l’État de vouloir lancer son propre mouvement.
Sonatrach, la compagnie nationale algérienne, accélère l’évaluation de ses productions d’hydrocarbures de roche-mère. Mais elle devra jongler entre rentabilité et écologie.
Le leader marocain des télécommunications maintient sa croissance au Maroc comme sur le reste du continent. Mais si le parc d’abonnés fond en Mauritanie et au Mali, il s’élargit à vue d’œil en revanche au Niger et en Centrafrique.