Des affrontements ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche à Suez, en Egypte, entre la police et des manifestants qui ont bravé pour la deuxième journée consécutive l’interdiction de protester contre le pouvoir et exigé le départ du président Abdel Fattah al-Sissi.
L’ancien ministre du Tourisme en Algérie, l’islamiste Abdelkader Bengrina, a annoncé samedi qu’il se présenterait à la présidentielle du 12 décembre pour laquelle il est le premier candidat.
Le président tunisien déchu Zine El Abidine Ben Ali, décédé jeudi, a été enterré samedi dans la ville sainte musulmane de Médine dans l’ouest de l’Arabie saoudite, ont rapporté des témoins.
Des milliers de personnes ont manifesté à Alger pour le 31e vendredi consécutif de mobilisation malgré un important déploiement des forces de l’ordre et quelques jours après l’annonce d’une présidentielle en décembre, un scrutin rejeté par le mouvement de contestation.
La compagnie pétrolière britannique Chariot Oil & Gas Limited annonce un potentiel gazier de 2 000 milliards (deux billions) de pieds cubes pour la licence offshore Lixus, au nord du Maroc.
Fondée en 2011, la société s’est fait remarquer en accompagnant le dernier investissement de la famille Tazi. En 2020, elle veut lancer un fonds dévolu à l’entrepreneuriat féminin.
Pour mettre en musique les orientations du roi, Saadeddine El Othmani doit composer une équipe plus resserrée, tout en ménageant ses alliés au Parlement. Une équation à plusieurs inconnues, pour le chef du gouvernement comme pour les états-majors des partis.
Elle ne faisait pas partie du clan Bouteflika. Pourtant, la leader trotskiste est elle aussi poursuivie par la justice et détenue depuis plusieurs mois. Décryptage.
L’ancien président tunisien, vient de s’éteindre à l’âge de 83 ans alors qu’il se trouvait en exil forcé après avoir été chassé du pouvoir par le mouvement populaire de 2011. Retour sur le parcours de cet ancien protégé de Bourguiba, qui a pris le pouvoir à la faveur d’un « coup d’État médical » pour ne plus le lâcher pendant 23 ans.
Les réactions au décès en Arabie saoudite de Zine El Abidine Ben Ali, l’ex-chef de l’État tunisien chassé du pouvoir par la révolution de 2011, sont contrastées, entre les regrets des anciens opposants que les poursuites engagées contre l’ancien président n’aient pas été menées à leur terme, et les nostalgiques de son régime qui saluent la disparition d’un homme d’État.
En 1997, près la mise à niveau de l’économie, le président Ben Ali, qui fêtait alors le dixième anniversaire de son accession au pouvoir, affirmait vouloir favoriser l’affermissement de la démocratie.
En août 1994, Jeune Afrique avait publié une l’intégralité d’un entretien qu’avait accordé Zine el-Abidine Ben Ali, décédé ce jeudi 19 septembre, au quotidien britannique Financial Times.
Pour son premier voyage officiel en Occident, du 12 au 15 septembre 1988, le président tunisien a voulu imposer son image de marque : celle d’un homme tranquille, réaliste et sans complkexes. Examen de passage difficile. Mais, semble-t-il, réussi. Relisez ici l’article publié à l’époque par Jeune Afrique.
Au lendemain des élections législatives anticipées en Israël, l’écrivain et psychanalyste juif porte un regard sans concession sur la politique de Tel-Aviv, dont la critique est pour lui un impératif éthique.
La date du scrutin présidentiel a été officiellement fixée au 12 décembre par le chef de l’État par intérim Abdelkader Bensalah. Si la rue et l’opposition estiment que les conditions ne sont pas réunies, certains responsables et courants politiques semblent se résoudre à ce nouveau calendrier.
Le général Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée, a annoncé avoir ordonné à la gendarmerie d’empêcher l’accès de la capitale algérienne aux manifestants en provenance d’autres régions du pays.
Le 8 septembre, le roi d’Arabie saoudite et « MBS », son héritier, ont confié à ce prince habile et expérimenté le portefeuille de l’Énergie, marquant ainsi leur volonté de reprendre en main ce secteur stratégique.
Le représentant légal de Nidaa Tounes, fils du défunt président Béji Caïd Essebsi, se trouve depuis quelques semaines entre l’Allemagne et la France et refuse de rentrer en Tunisie, où il craint d’être arrêté.
Arrivé troisième avec 12,9 % des suffrages, Abdelfattah Mourou a reconnu mardi sa défaite au premier tour de l’élection présidentielle, et salué les vainqueurs Kaïs Saïed et Nabil Karoui. Pour les cadres de son parti, Ennahdha, c’est désormais l’heure du bilan.
Dans un pays où l’avortement est criminalisé, des milliers de femmes y ont recours dans l’illégalité chaque année. Pour satisfaire aux exigences d’une société qui s’approprie leur corps et leur destin, elles mettent leur vie en danger, dans l’inquiétude et la souffrance.
Diabolisés par les partis et les leaders d’opinion, les instituts de sondage n’en ont pas moins annoncé, deux jours avant la proclamation officielle des résultats par l’Instance électorale, le bon ordre d’arrivée des candidats lors du premier tour de l’élection présidentielle.
Alors que la Confédération africaine de football (CAF) vient d’attribuer la Ligue des Champions 2018-2019 à l’Espérance Tunis, le WAC Casablanca a décidé de faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS). Énième rebondissement d’un feuilleton qui semble ne pas avoir de fin.
L’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) a proclamé mardi les résultats officiels du premier tour de l’élection présidentielle, confirmant les sondages qui donnaient les candidats Kaïs Saïed et Nabil Karoui qualifiés pour la seconde manche.
La 30e manifestation estudiantine hebdomadaire s’est tenue mardi 17 septembre à Alger et dans d’autres villes du pays. Malgré quelques arrestations et l’annonce de la tenue de l’élection présidentielle mi-décembre, la mobilisation ne faiblit pas. Explications.
Si les résultats définitifs ne sont pas encore connus, le second tour du scrutin présidentiel devrait opposer Kaïs Saïed à Nabil Karoui. Un véritable coup de théâtre sur la scène politique tunisienne, tant il marque l’échec de la gouvernance menée par l’exécutif sortant.
Alors que les rebelles yéménites houthis ont revendiqué l’attaque qui a frappé samedi des installations pétrolières en Arabie saoudite, les États-Unis ont expressément pointé du doigt l’Iran. Des questions demeurent notamment quant à l’origine de l’opération et les moyens employés.