L’ex-Premier ministre mauritanien a annoncé sa candidature à la présidentielle de juin. Face à Mohamed Ould Ghazouani, dauphin du président sortant, il estime avoir le profil idoine pour incarner l’alternance.
L’Algérie doit accomplir un effort herculéen pour transformer son économie, dépendante des exportations d’hydrocarbures, si elle veut faire face aux demandes urgentes de ses citoyens.
Reçu mardi à la Maison Blanche, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a été salué par son homologue américain Donald Trump pour le « très bon travail » qu’il effectue afin de se maintenir à la tête de l’Égypte après 2022, année de la fin de son deuxième mandat.
L’émissaire onusien pour la Libye Ghassan Salamé a annoncé le report sine die de la conférence nationale interlibyenne, dont l’objectif était d’aider le pays à sortir du chaos, en raison des combats menés près de Tripoli entre les forces du maréchal Khalifa Haftar et celles de Fayez al-Sarraj.
Le président par intérim algérien Abdelkader Bensalah s’est engagé, mardi dans un discours à la Nation retransmis à la télévision nationale, à organiser dans un délai de 90 jours « un scrutin présidentiel transparent et régulier ».
Désigné le 7 avril, ce membre fondateur du Forum des chefs d’entreprise dispose de quatre-vint-dix jours pour organiser l’élection du nouveau président du syndicat patronal algérien.
Le Rassemblement national démocratique (RND), deuxième parti du pays au Parlement et membre de l’alliance présidentielle, est en plein déchirement. Belkacem Mellah, l’un des opposants de longue date au secrétaire général et ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia, propose d’organiser un congrès extraordinaire pour désigner le successeur de ce dernier. Entretien.
Le chef de la DGSN, Abdellatif Hammouchi, a félicité ses éléments pour avoir assuré la sécurité lors de la visite du pape François au Maroc, les 30 et 31 mars derniers. Un déplacement au cours duquel le souverain pontife a notamment reçu un DVD offert par le roi Mohammed VI.
Le nouveau parti politique, lancé fin janvier par des proches de l’actuel chef de gouvernement Youssef Chahed, précisera sa composition à l’occasion d’une grand-messe prévue fin avril dans la capitale.
La situation reste tendue dans l’ouest libyen, après que les deux parties ont ignoré l’appel de l’ONU à une trêve humanitaire. Beshir Alzawawi, chercheur et spécialiste de la Libye basé au Royaume-Uni, analyse la différence entre la situation sur le terrain et la « propagande » du maréchal Haftar, dont l’alliance avec les salafistes makhdalistes interroge.
Les discussions entre le gouvernement et les principales centrales syndicales sont au point mort. Au cœur des tensions : le duel que se livrent Mohamed Yatim, ministre de l’Emploi, et Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’Union marocaine du travail (UMT).
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a fermement condamné lundi l’escalade de la violence autour de la capitale libyenne Tripoli et appelé à un arrêt immédiat des combats. L’Union européenne a également appelé le maréchal Khalifa Haftar à arrêter son offensive contre Tripoli.
Alors que l’Union européenne planche sur un projet de taxation de l’électricité produite en dehors de l’UE et hors du cadre de ses normes environnementales, l’Espagne vient de stopper ses importations d’électricité marocaine.
La visite du pape François a braqué les projecteurs du monde sur le royaume pendant quarante-huit heures. Temps fort : la signature d’un document sur Jérusalem.
Attendu et réclamé par les militants depuis 2014, Nidaa Tounes a démarré son congrès électif le 6 avril à Monastir. Si les travaux doivent se clôturer mardi, le président Béji Caïd Essebsi a toutefois créé la confusion sur sa possible candidature à la prochaine présidentielle et en demandant à Youssef Chahed de réintégrer le parti.
Les fondateurs de douze jeunes pousses tunisiennes ont reçu de la part du Premier ministre les premiers labels « Startup Act », qui leur permettront notamment de bénéficier d’avantages fiscaux et d’un fonds de garantie.
Les élections législatives anticipées en Israël auront lieu mardi 9 avril, après une violente campagne bousculée par le blocus de la bande de Gaza et les affaires de corruption du Premier ministre Benyamin Netanyahou.
Adhésion à la Cedeao, attractivité du marché marocain, ratification de la Zlec… L’ex-ministre des Affaires étrangères analyse les grands défis qui attendent son pays et le continent.
L’armée du maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’est libyen, a affirmé dimanche avoir mené un premier raid aérien en banlieue même de Tripoli, ses rivaux du gouvernement d’union (GNA) annonçant pour leur part une « contre-offensive » généralisée dans « toutes les villes » du pays.
De violents combats opposent dimanche 7 avril près de Tripoli en Libye les forces du maréchal Khalifa Haftar, qui veut conquérir la capitale, à ses rivaux du Gouvernement d’union nationale (GNA), les belligérants ignorant l’appel de l’ONU à une « trêve humanitaire ».
Le chef du Gouvernement d’union nationale (GNA) libyen Fayez al-Sarraj a mis en garde samedi contre la perspective d’une « guerre sans gagnant » en Libye, où les forces de son rival, le maréchal Khalifa Haftar, poursuivent leur offensive sur la capitale Tripoli.
D’une diplomatie de combat à un certain repli sur soi, d’un exemple de lutte pour l’indépendance à l’obsession de la reconnaissance du Sahara occidental, l’Algérie s’est peu à peu « désafricanisée ». Si le risque de propagation révolutionnaire est faible, le pays n’en inquiète pas moins le reste du continent.
Un chef de parti politique mauritanien, Mohamed Ould Maouloud, a déclaré samedi sa candidature à l’élection présidentielle de juin, devenant la troisième personnalité d’une opposition divisée à briguer la magistrature suprême face au candidat du pouvoir.
Le Parlement algérien se réunira mardi matin pour nommer le président par intérim, a annoncé samedi soir le Conseil de la nation. La Constitution prévoit que cette responsabilité incombe au président de cette chambre haute, Abdelkader Bensalah, mais ce dernier est contesté par les manifestants ainsi que plusieurs partis politiques.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a estimé samedi lors du congrès électif de Nidaa Tounes qu’il fallait « ouvrir la porte aux jeunes » en vue de l’élection présidentielle du 17 novembre. Il a également demandé à son parti de « réintégrer » dans ses rangs le chef du gouvernement Youssef Chahed.
L’émissaire de l’ONU pour la Libye, Ghassan Salamé, a déclaré samedi que la conférence nationale prévue en avril en Libye serait maintenue, malgré l’assaut lancé par le maréchal Khalifa Haftar pour s’emparer de la capitale Tripoli.
Doha, la capitale qatarie, accueillera les 14 et 15 avril la Conférence internationale sur les mécanismes de lutte contre l’impunité et le terrorisme. Un agenda qui n’a rien d’anodin.
Les troupes de l’Armée nationale libyenne (ANL) du maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’est libyen, ont lancé mercredi soir une offensive pour prendre la capitale Tripoli. Une nouvelle escalade de violence qui inquiète les voisins tunisien et algérien, sur qui se répercutent depuis 2011 les soubresauts de la crise libyenne.
Dix-neuf ans après sa disparition, le 6 avril 2000, le président Habib Bourguiba (1957-1987) est un symbole récupéré par de nombreux responsables politiques tunisiens. Un paradoxe à l’heure de l’apprentissage démocratique, mais aussi l’expression d’un vide idéologique et de l’absence criante d’hommes d’État.