Mi-février, le campus universitaire de l’Université Mohammed-VI-Polytechnique (UM6P) Benguerir accueillait la 4e édition de la Semaine de la science. Pour Jeune Afrique, son président Hicham El Habti fait le bilan de cette manifestation qui réunit, au Maroc, des chercheurs du monde entier.
Alors que la stratégie punitive de Paris à l’égard des régimes militaires putschistes montre ses limites, Alger paie aussi des erreurs stratégiques. De quoi faire les affaires du Maroc, qui revendique son opportunisme.
Le soutien inconditionnel d’Emmanuel Macron à la guerre menée à Gaza par le Premier ministre israélien et son gouvernement d’extrême droite implique un tribut de plus en plus lourd à payer pour l’Hexagone, sur le plan de la politique intérieure comme à l’international.
Recadrage de la presse sportive, convocation des patrons des chaînes de télévision, création de deux « commissions de veille »… Le ministre algérien de la Communication multiplie les décisions autoritaires. Une façon pour ce fidèle du président d’imposer son image de collaborateur incontournable.
Ces derniers mois, de nombreux Palestiniens ont critiqué le président de l’Autorité palestinienne pour son « impuissance » face aux raids israéliens dans la bande de Gaza.
Sans présenter de plan précis, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré qu’il « y [avait] de la place » pour que les civils « aillent au nord de Rafah », alors que près de 1,5 million de personnes sont réfugiées dans la ville, dans le sud de la bande de Gaza.
Inaugurée en 2020 en l’absence du président Tebboune, alors atteint du Covid-19, la Grande mosquée d’Alger est la troisième plus vaste au monde et la plus monumentale d’Afrique.
Des centaines de personnes, poussées par la faim, fuient le nord de la bande de Gaza assiégée ce dimanche 25 février, alors que le cabinet de guerre israélien a donné son aval à la poursuite des discussions sur une trêve avec le Hamas palestinien selon des médias locaux.
Publié le 6 février dernier par l’organisation islamiste, « Le Document politique » semble être l’ébauche d’un programme électoral. Est-ce le signe d’une rupture avec la position classique de ce puissant acteur de la société marocaine ? Réponse d’Omar Iharchane, membre du Cercle politique de la Jamaâ.
L’ancien chef de l’État Moncef Marzouki, critique virulent de l’actuel président, Kaïs Saïed, a été condamné par contumace à huit ans de prison ferme pour tentative de « provoquer le désordre » dans le pays.
Fondée par cheikh Abdessalam Yassine, la très populaire association islamiste est à la croisée des chemins. Son nouveau « Document politique », présenté le 6 février dernier, va dans le sens d’une prochaine institutionnalisation, voire d’une participation au jeu électoral.
Dans ce documentaire bouleversant, la réalisatrice brosse le portrait de sa mère, l’actrice palestinienne Hiam Abbass, et de toute une lignée de femmes, dont les histoires ont été tues.
Le youtubeur Mohamed Reda Taoujni a été reconnu coupable d’« outrage à un fonctionnaire public » et de « diffamation ». On lui reprochait de s’être interrogé, dans ses vidéos, sur les éventuels liens entre un ministre et le scandale du « Pablo Escobar du Sahara ».
Au lendemain du voyage du chef du gouvernement espagnol à Rabat, les réactions parfois agacées se multiplient. Alors qu’en Espagne, les députés du Parti populaire espagnol demandent des comptes, la réaffirmation du soutien au plan d’autonomie marocain sur le Sahara a rallumé les tensions avec Alger.
Propriété du magnat et chef du gouvernement marocain, le magazine français a connu de fortes pertes. Et l’arrivée de Mohamed Lioeddine à la direction ne semble pas avoir permis de redresser la barre.
En Tunisie, la société d’ingénierie traverse une forte période de turbulences après l’arrestation de son fondateur Mohamed Frikha. Les investisseurs craignent l’arrêt de ses ambitieux projets spatiaux et technologiques.
Déradicalisation, démantèlement de l’Unrwa et gestion par des fonctionnaires civils : les objectifs du Premier ministre israélien sont en contradiction totale avec les déclarations de la communauté internationale.
Entre Rabat et Alger, les tensions persistent. Pour créer un climat de confiance et poser les bases d’une entente durable, historiens, chercheurs et intellectuels des deux pays doivent s’impliquer.
Durant toute la semaine du 18 février, États et organisations internationales se sont succédé devant la Cour internationale de justice pour discuter des effets juridiques de « l’occupation par Israël des territoires palestiniens ». Que peut-on attendre de cette grande première ?
Rien ne va plus entre la maire de Rabat et les conseillers communaux – y compris ceux de son propre parti, le RNI –, qui appellent désormais à sa démission. Le 20 février, le dépôt d’une demande de convocation d’une session extraordinaire du Conseil de la ville a donné lieu à une nouvelle échauffourée devant le bureau de la première édile.
Les médiateurs internationaux continuent de travailler sur une trêve pour la libération des otages, tandis que l’aide humanitaire reste bloquée à la frontière fermée de Rafah.
Le mandat de Wadie Jary, président de la FTF incarcéré depuis le 26 octobre dernier, va prendre fin le 9 mars prochain. Son successeur devra rapidement nommer un nouveau sélectionneur pour l’équipe nationale.
Abdelouaheb Fersaoui, Karim Tabbou, Mohamed Tadjadit, Abdelkrim Zeghileche, Brahim Laalami… En 2019, ils faisaient partie de ces anonymes dont les noms ont émergé avec le mouvement du Hirak. Un engagement qui leur a coûté cher, mais qu’aucun d’entre eux ne regrette aujourd’hui.
Disparu des écrans radars depuis l’attaque du 7 octobre dernier, le chef du Hamas à Gaza reste introuvable. Son sort, qui demeure un mystère, fait l’objet de toutes les spéculations et de nombreuses fake news.
Issu d’un quartier populaire de la région de Bruxelles, un temps SDF dans les rues de Pattaya, celui qui a battu tous les records de boxe thaï s’est fait tout seul. Il entame aujourd’hui une carrière en MMA et est courtisé par les plus grandes organisations.
De l’entretien avec son homologue, Aziz Akhannouch, à l’audience royale accordée par Mohammed VI, les détails de la visite officielle du président du gouvernement espagnol à Rabat en compagnie de son ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares.
Alors que les bombardements israéliens sur Gaza continuent, le conseiller du président américain Joe Biden pour le Moyen-Orient est attendu en Israël après une étape en Égypte où se tiennent de nouveaux pourparlers en vue d’une trêve.
Le géant marocain des télécommunications renoue avec la croissance, aussi bien au Maroc qu’en Afrique subsaharienne. 2024 prend le même chemin en dépit de l’affaire qui l’oppose à l’opérateur royal Wana.