Meilleure gestion des finances publiques, économie plus résiliente, climat des affaires amélioré : de retour du Maroc, une mission du FMI livre des observations positives et encourageantes concernant la politique économique du royaume.
Alors que les pays du Maghreb ont été tournés pendant des décennies vers le Nord, la route transsaharienne, qui reliera Alger à Lagos devrait renforcer l’intégration sahélo-saharienne.
Le général Gaïd Salah a mis en garde mercredi contre des « tentatives de la part de certaines parties étrangères » de « déstabiliser le pays ». Si aucun pays n’est explicitement mentionné dans son discours, plusieurs spécialistes expliquent à Jeune Afrique pourquoi le chef d’état-major de l’armée pointerait la France.
L’application de l’article 102 de la Constitution se poursuit. Après sa désignation à la tête de l’État pour assurer l’intérim du président Bouteflika, Abdelkader Bensalah a annoncé la tenue d’une élection présidentielle le 4 juillet, respectant le délai de trois mois prévu par la loi fondamentale. Une décision considérée par une partie de la classe politique comme contraire à la volonté de la rue.
En Tunisie comme au Maroc, les routes du vin sont le nouveau filon des offices du tourisme. Une bonne manière d’attirer une clientèle étrangère comme locale, mais aussi de mettre en valeur l’arrière-pays.
Surfant sur une demande intérieure exigeante et sur la mode des « vins du monde », les producteurs d’Afrique du Nord misent aujourd’hui sur la qualité pour s’imposer sur les marchés nationaux et internationaux.
L’Irak a proposé aux pays membres de la coalition internationale antijihadistes de juger leurs ressortissants soupçonnés d’avoir rejoint le groupe État islamique (EI), en échange d’au moins deux milliards de dollars.
Le congrès électif de Nidaa Tounes, qui s’est tenu ce week-end, aurait dû annoncer ses résultats mardi 9 avril, mais le parti joue les prolongations pour désigner son bureau exécutif. Alors que les organisateurs rappellent que le règlement leur laisse quinze jours pour ce faire, Jeune Afrique décrypte les différentes tendances qui s’affrontent.
Le président algérien par intérim Abdelkader Bensalah a signé un décret fixant au 4 juillet l’élection présidentielle. Plus tôt dans la journée, le chef de la puissante armée a mis en garde mercredi les manifestants contre la poursuite de leur mouvement de contestation du régime.
L’émissaire de l’ONU pour le Sahara occidental, Horst Kohler, et les membres du Conseil de sécurité ont espéré mercredi, lors d’une réunion à huis clos, que les parties au conflit demeureront engagées dans un processus de paix « constructif », selon des diplomates.
Après le décès du président et fondateur de l’emblématique groupe tunisien, le 4 avril, le conseil d’administration de Poulina s’est réuni ce 10 avril. Le but de cette réunion : entériner la nomination de Khaled Bouricha à la tête du groupe, même si l’information ne sera officialisée que via une publication du journal officiel.
L’Algérie tourne timidement la page d’Abdelaziz Bouteflika. Un peu plus d’une semaine après le départ de l’ancien président, le Parlement a désigné mardi le président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah à la tête de l’État, respectant à la lettre la Constitution. Pour autant, cette solution, aussi formelle soit-elle, ne risque pas de répondre aux objectifs de la révolte des Algériens.
Renouvelée année après année, la mission d’appui des Nations unies en Libye tente d’assurer une médiation impartiale, huit ans après le début de la guerre civile en 2011. Aujourd’hui, alors que les combats armés reprennent, elle doit faire face à de multiples ingérences étrangères et à l’urgence de construire un sentiment d’appartenance nationale.
L’ex-Premier ministre mauritanien a annoncé sa candidature à la présidentielle de juin. Face à Mohamed Ould Ghazouani, dauphin du président sortant, il estime avoir le profil idoine pour incarner l’alternance.
L’Algérie doit accomplir un effort herculéen pour transformer son économie, dépendante des exportations d’hydrocarbures, si elle veut faire face aux demandes urgentes de ses citoyens.
Reçu mardi à la Maison Blanche, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a été salué par son homologue américain Donald Trump pour le « très bon travail » qu’il effectue afin de se maintenir à la tête de l’Égypte après 2022, année de la fin de son deuxième mandat.
L’émissaire onusien pour la Libye Ghassan Salamé a annoncé le report sine die de la conférence nationale interlibyenne, dont l’objectif était d’aider le pays à sortir du chaos, en raison des combats menés près de Tripoli entre les forces du maréchal Khalifa Haftar et celles de Fayez al-Sarraj.
Le président par intérim algérien Abdelkader Bensalah s’est engagé, mardi dans un discours à la Nation retransmis à la télévision nationale, à organiser dans un délai de 90 jours « un scrutin présidentiel transparent et régulier ».
Désigné le 7 avril, ce membre fondateur du Forum des chefs d’entreprise dispose de quatre-vint-dix jours pour organiser l’élection du nouveau président du syndicat patronal algérien.
Le Rassemblement national démocratique (RND), deuxième parti du pays au Parlement et membre de l’alliance présidentielle, est en plein déchirement. Belkacem Mellah, l’un des opposants de longue date au secrétaire général et ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia, propose d’organiser un congrès extraordinaire pour désigner le successeur de ce dernier. Entretien.
Le chef de la DGSN, Abdellatif Hammouchi, a félicité ses éléments pour avoir assuré la sécurité lors de la visite du pape François au Maroc, les 30 et 31 mars derniers. Un déplacement au cours duquel le souverain pontife a notamment reçu un DVD offert par le roi Mohammed VI.
Le nouveau parti politique, lancé fin janvier par des proches de l’actuel chef de gouvernement Youssef Chahed, précisera sa composition à l’occasion d’une grand-messe prévue fin avril dans la capitale.
La situation reste tendue dans l’ouest libyen, après que les deux parties ont ignoré l’appel de l’ONU à une trêve humanitaire. Beshir Alzawawi, chercheur et spécialiste de la Libye basé au Royaume-Uni, analyse la différence entre la situation sur le terrain et la « propagande » du maréchal Haftar, dont l’alliance avec les salafistes makhdalistes interroge.
Les discussions entre le gouvernement et les principales centrales syndicales sont au point mort. Au cœur des tensions : le duel que se livrent Mohamed Yatim, ministre de l’Emploi, et Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’Union marocaine du travail (UMT).
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a fermement condamné lundi l’escalade de la violence autour de la capitale libyenne Tripoli et appelé à un arrêt immédiat des combats. L’Union européenne a également appelé le maréchal Khalifa Haftar à arrêter son offensive contre Tripoli.
Alors que l’Union européenne planche sur un projet de taxation de l’électricité produite en dehors de l’UE et hors du cadre de ses normes environnementales, l’Espagne vient de stopper ses importations d’électricité marocaine.
La visite du pape François a braqué les projecteurs du monde sur le royaume pendant quarante-huit heures. Temps fort : la signature d’un document sur Jérusalem.
Attendu et réclamé par les militants depuis 2014, Nidaa Tounes a démarré son congrès électif le 6 avril à Monastir. Si les travaux doivent se clôturer mardi, le président Béji Caïd Essebsi a toutefois créé la confusion sur sa possible candidature à la prochaine présidentielle et en demandant à Youssef Chahed de réintégrer le parti.
Les fondateurs de douze jeunes pousses tunisiennes ont reçu de la part du Premier ministre les premiers labels « Startup Act », qui leur permettront notamment de bénéficier d’avantages fiscaux et d’un fonds de garantie.