Lakhdar Brahimi, ancien ministre des Affaires étrangères et proche du président Bouteflika, a livré mercredi à la télévision nationale son ressenti sur la situation actuelle en Algérie. S’il a salué les réformes annoncées par le chef de l’État, il a démenti avoir été nommé président de la conférence nationale.
Le groupe des Eaux minérales d’Oulmès a connu une année difficile en 2018 à la suite du mouvement de boycott dont la marque phare Sidi Ali a été la victime. L’ensemble des agrégats financiers sont en baisse.
Deux jours après le report des élections et le renoncement d’Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat, son nouveau vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a détaillé dans une interview à la radio nationale les étapes du « plan de travail » souhaité par la présidence.
Alors qu’une nouvelle marche des professeurs contractuels s’est tenue mardi 12 mars à Rabat, le secrétaire général de la Fédération nationale des enseignants (FNE), Abderrazak Drissi, expose à Jeune Afrique les revendications d’un mouvement qui dure depuis plusieurs semaines.
Le gouvernement des Émirats arabes unis a « regretté » la décision de l’Union européenne de l’inscrire sur une liste de pays peu coopératifs en matière de fiscalité, affirmant au contraire œuvrer progressivement pour se conformer aux exigences de l’UE.
Une nouvelle conférence des donateurs s’est ouverte mardi 12 mars à Bruxelles, avec l’objectif de mobiliser près de 8 milliards d’euros pour aider les réfugiés syriens. Les fonds promis ne devront pas servir à soutenir le régime du Bachar al-Assad dans sa reconquête, ont averti les Européens.
Suite à l’annonce du report des élections et du renoncement d’Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat, les réactions diplomatiques se poursuivent. Après les déclarations du président français Emmanuel Macron – qui n’ont pas été du goût de nombreux Algériens – , les États-Unis ont affirmé qu’ils « soutenaient les efforts pour tracer une nouvelle voie ».
Plusieurs mois après l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, l’Arabie saoudite continue de voir son étoile pâlir au sein des institutions internationales. Malgré de nombreuses réticences, plusieurs événements récents montrent un durcissement de ton face à Riyad.
De l’alliance Al Qotb à Tahya Tounes, en passant par Al Joumhouri, l’actuel chef du gouvernement Youssef Chahed et le coordinateur du nouveau parti Selim Azzabi semblent avoir mêlé leurs carrières politiques.
Nommé en 2016, Youssef Chahed, le chef du gouvernement tunisien, se maintient à son poste contre vents et marées. Et se prépare à briguer la magistrature suprême en novembre.
Entre expression diplomatique de soulagement et témoignage populaire de méfiance, le coup de théâtre algérien du 11 mars déclenche, dans tous les camps, des ajustements de stratégies.
Pour Lotfi Ben Sassi, conseiller économique et proche collaborateur du chef du gouvernement tunisien, « un programme de rigueur s’imposait pour arrêter l’hémorragie budgétaire » au moment de la nomination de Youssef Chahed, en 2016.
Alors que la Tunisie est secouée par la mort de 12 nouveaux-nés, en fin de semaine dernière dans une maternité de Tunis, de nombreux médecins ont profité de l’occasion pour tirer la sonnette d’alarme sur l’état du secteur public en matière de santé. Leurs témoignages sur les réseaux sociaux bouleversent la toile.
Le ministère français des Affaires étrangères a reconnu, le 6 mars, la bonne sécurité d’une grande partie du Sahara mauritanien en faisant passer la zone de la couleur orange, « déconseillé sauf raison impérative », à la couleur jaune, « vigilance renforcée ».
Aussitôt annoncées, les mesures prises lundi soir par le président Bouteflika – report de l’élection présidentielle, renoncement à un cinquième mandat, nomination d’un nouveau gouvernement – ont été spontanément dénoncées par l’opposition et applaudies par les partis de l’Alliance présidentielle.
L’agence de notation a tiré la sonnette d’alarme sur la viabilité des banques marocaines en raison de la qualité de leurs actifs et de l’insuffisance de leurs fonds propres. Une « vulnérabilité » que la Banque centrale du royaume rejette en bloc.
Le diplomate Lakhdar Brahimi présidera la conférence chargée de faire des propositions sur l’avenir politique de l’Algérie, après la décision du président Abdelaziz Bouteflika de ne pas briguer un cinquième mandat, a déclaré mardi une source gouvernementale.
Alors que des manifestations populaires massives contre le président Abdelaziz Bouteflika secouent l’Algérie depuis le 22 février, plusieurs membres importants du Forum des chefs d’entreprise (FCE), le patronat algérien, ont déclaré « adhérer complètement » au mouvement.
Avec 30 magasins répartis entre le Sénégal et la Mauritanie, l’activité africaine d’Auchan reste très minoritaire au sein du groupe. Mais s’avère particulièrement rentable, alors que le groupe affiche des chiffres en baisse partout ailleurs.
Le président iranien Hassan Rohani a plaidé lundi à Bagdad pour le renforcement des relations avec l’Irak, pays pétrolier sur lequel le grand allié américain fait pression pour restreindre sa coopération commerciale et politique avec Téhéran.
Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a présenté lundi 11 mars sa démission au président Abdelaziz Bouteflika, qui a nommé dans la foulée le ministre de l’Intérieur Noureddine Bedoui pour le remplacer.
Dans un message adressé lundi à la nation, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé qu’il reportait l’élection présidentielle du 18 avril et qu’il ne serait pas candidat à un cinquième mandat.
Les analystes de CDG Capital viennent de publier un rapport détaillant les opportunités qui s’offrent aux trois groupes marocains ayant des implantations en dehors des frontières du royaume, BMCE Bank of Africa, BCP et Attijariwafa Bank, mais aussi les défis qui les attendent.
En Algérie, nous avons importé le concept de démocratie sans le mode d’emploi. De la base au sommet, nous ne souffrons pas d’être contredits. Or, la mise en œuvre de la démocratie suppose une culture de la contradiction.
Douze nourrissons sont morts d’une infection nosocomiale au centre de néonatologie de l’hôpital de la Rabta (Tunis), entre le jeudi 7 et le samedi 9 mars. Un drame qui a engendré la démission du ministre de la Santé et suscité une vive émotion en Tunisie.
Un collectif de militants marocains a rebaptisé dimanche une quinzaine de rues du centre de Rabat avec des plaques dédiées à des femmes « célèbres mais invisibles ».
Diplômé de l’Iscae et d’un IAE français, ce Tunisien cumule trente-cinq ans de carrière au sein de la banque marocaine. Ex-DG adjoint du groupe pendant huit ans et ancien membre de son comité exécutif, il prend les rênes de la filiale tunisienne d’Attijariwafa Bank, et remplace Hicham Seffa, nommé DG de la filiale égyptienne.
L’assaut décisif contre l’ultime poche du groupe État islamique (EI) en Syrie a repris, le délai donné à l’organisation pour la « reddition » de ses combattants ayant expiré, ont annoncé dimanche les forces antijihadistes soutenues par une coalition internationale emmenée par Washington.
Alors que la mobilisation contre un cinquième mandat du président algérien Abdelaziz Bouteflika se poursuit, les voisins et partenaires du plus grand pays d’Afrique suivent très attentivement l’évolution de la situation, redoutant une déstabilisation qui aurait pour eux des conséquences sécuritaire, migratoire ou encore énergétique.