Une édition enrichie de l’ouvrage référence de Sid Ahmed Semiane sur les événements d’octobre 1988 paraît à la fin du mois. En voici, en exclusivité, les bonnes feuilles.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Larbi Belkheir, chef de cabinet de la présidence, revient sur le contexte politique dans lequel se trouvait le pays, lors des émeutes d’octobre 1988.
Chef du commandement terrestre, le général-major Khaled Nezzar était chargé de maintenir l’ordre pendant l’état de siège, lors des révoltes d’octobre 1988. Extrait de son témoignage qui apparaît dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Lakehal Ayat, patron du renseignement (DGPS), affirme que le FLN n’était pas en mesure de s’opposer au chef de l’État, lors des révoltes d’octobre 1988 en Algérie.
Les députés algériens se réunissent mercredi 24 octobre pour élire un nouveau président de l’Assemblée populaire nationale bien que l’actuel, poussé depuis trois semaines à la démission par la majorité, refuse de quitter ses fonctions.
Un important forum international sur l’investissement s’est ouvert devant une assistance clairsemée, mardi 23 octobre à Riyad. Face au tollé mondial suscité par le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, les conséquences économiques sont déjà lourdes pour l’Arabie saoudite.
Rached Ghannouchi, le président du mouvement islamiste Ennahdha, et Hamma Hammami, le porte-parole du Front populaire, qui regroupe des partis d’extrême gauche, se rendent coup pour coup.
Les représentants de 41 pays se sont exprimés à propos du Sahara occidental lors de la dernière session de la 4e commission de l’ONU chargée des questions de décolonisation, qui s’est tenue à New York du 10 au 18 octobre.
Après avoir offert deux belles années (2016 et 2017) aux investisseurs, la Bourse de Casablanca montre des signes d’essoufflement et se dirige vers une clôture dans le rouge de l’exercice actuel.
Faouzi Benzarti, le sélectionneur de la Tunisie, a été limogé moins de trois mois après sa nomination, alors qu’il venait de qualifier les Aigles de Carthage pour la CAN 2019. Certaines de ses méthodes, mal acceptées par des joueurs, sont à l’origine de cette décision prise par la Fédération tunisienne de football (FTF).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé mardi 23 octobre que toutes les personnes impliquées dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, y compris les commanditaires, devaient être punies.
Vingt jours après le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, le ministre des Affaires étrangères tunisien a estimé que cette affaire ne devait « pas constituer une occasion pour déstabiliser le royaume ».
En dix ans, l’Office chérifien des phosphates s’est métamorphosé en géant des engrais. Face aux Chinois, aux Américains et aux Saoudiens, il vise aujourd’hui la place de numéro un mondial, sans oublier d’appuyer la stratégie du royaume partout où il le peut. De la recherche scientifique au développement du Sahara.
Entre 2018 et 2027, OCP devra réaliser un effort financier sans précédent pour mettre à exécution son plan de développement. Environ 100 milliards de dirhams (9,1 milliards d’euros) seront investis. Pour y parvenir, l’Office se tournera vers différents bailleurs et continuera de recourir aux emprunts obligataires dont les taux sont en baisse pour ne pas assécher sa trésorerie.
En 2007, OCP capture 47 % des parts de marché mondial du phosphate, mais n’a pas encore réussi son entrée dans le secteur de l’engrais, du fait de la faiblesse de ses moyens financiers, par excès de prudence et sans doute aussi par manque de compétences techniques.
Madrid a expulsé lundi 23 octobre vers le Maroc 55 des 208 migrants entrés la veille à Melilla en traversant la clôture entourant l’enclave espagnole, ont annoncé les autorités espagnoles. C’est la deuxième fois depuis l’été que Madrid mène une telle opération.
Du projet de loi de finances à la situation sociale, en passant par sa participation au gouvernement, le secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS) commente les principaux dossiers de l’actualité marocaine.
Selon l’entourage de Youssef Chahed, le chef du gouvernement tunisien se prépare à lancer son propre parti, qui devrait s’appeler Amal Tounes (« espoir de la Tunisie »). Chahed serait notamment épaulé par Selim Azzabi et Mehdi Ben Gharbia.
L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a annulé la grève générale qu’elle avait annoncée pour mercredi 24 octobre, après avoir notamment obtenu des augmentations de salaires dans le secteur public. Les conséquences pour le budget de l’État inquiètent les investisseurs.
À 39 ans, ce Marocain est désigné directeur général de la zone Maroc, Tunisie et Afrique de l’Ouest. Ingénieur diplômé de Télécom SudParis, il est également actuaire et titulaire d’un master de Sciences-Po. Passé par Capgemini Consulting, Oliver Wyman et Groupama, il a rejoint Axa Partners en 2016.
Le roi Abdallah II de Jordanie a annoncé dimanche que son pays avait notifié Israël de sa volonté de récupérer ces zones prêtées à l’État hébreu pour une période renouvelable de 25 ans, en vertu de l’accord de paix de 1994.
La Turquie va révéler « toute la vérité » sur le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, a promis dimanche son président Recep Tayyip Erdogan. De son côté, Ryad a assuré ignorer le « détail » des circonstances de sa mort, comme l’endroit où se trouve son corps.
Un migrant est mort dimanche matin dans l’enclave espagnole de Melilla après avoir traversé, avec environ 200 personnes, la clôture avec le Maroc, a annoncé la préfecture.
D’un côté, le Qatar. De l’autre, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, en pleine tourmente de l’affaire Khashoggi. Entre ces deux camps irréconciliables, la lutte d’influence fait rage. Champs de bataille : le Maghreb, l’Europe et les États-Unis. Enquête.
Le sélectionneur national Faouzi Benzarti a été limogé samedi après seulement trois mois sur le banc, a indiqué la Fédération tunisienne de football, une décision inattendue quelques jours après la qualification de la Tunisie pour la CAN 2019.
À contre-courant de la vague d’indignation suscitée en Occident par la mort, confirmée par Riyad samedi 20 octobre, du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, les pays arabes n’ont pas officiellement réagi. La plupart d’entre eux semblent ne pas vouloir prendre le risque de défier leur partenaire saoudien…
Erreur humaine ou responsabilité de l’Office national des chemins de fer (ONCF) ? La question est sur toutes les lèvres au Maroc, alors que l’enquête se poursuit sur les causes du déraillement du train circulant entre Rabat et Kénitra, qui a fait sept morts et 125 blessés, mardi 16 octobre.