Depuis l’ouverture des hostilités ce week-end par le ministre des Sports Rachid Talbi Alami, les représentants des deux poids lourds de la majorité gouvernementale, le PJD et le RNI, ont enchaîné l’envoi de piques à distance.
Face à l’évolution des besoins des collectivités locales et de leur mode de gestion, le marocain FEC, spécialisé dans l’octroi de crédits aux communes, est en pleine mutation.
Tables chics, échoppes d’artistes, boutiques branchées… Après une décennie de travaux de rénovation, le cœur historique de Tunis est devenu furieusement tendance.
Pour la première fois, Donald Trump s’est prononcé, mercredi 26 septembre, en faveur d’une solution à deux États pour mettre fin au conflit israélo-palestinien. Le président américain a aussi promis de présenter un plan de paix « équilibré » d’ici quatre mois.
Crise entre l’Iran et les États-Unis, conflit israélo-palestinien, élections en Libye… Les 25 et 26 septembre, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies a été l’occasion pour les dirigeants de la planète de faire valoir leurs positions sur les grands dossiers de la zone.
Les graves difficultés que traverse l’instance chargée d’organiser les élections peuvent-elles provoquer le report des scrutins législatif et présidentiel prévus en 2019 ? L’hypothèse n’est pas exclue.
Créé par la puissante famille copte des Sawiris dans une petite cité balnéaire égyptienne, le festival du film d’El Gouna pose des jalons pour exister sur le long terme.
À quelques jours du congrès qui devait renouveler la tête du Mouvement populaire, l’un des cinq grands partis marocains, l’actuel secrétaire général a annoncé, à la surprise générale, qu’il briguera finalement un neuvième mandat.
Le gouvernement d’union nationale libyen (GNA), reconnu par la communauté internationale, a annoncé le 26 septembre la signature d’un nouvel accord de cessez-le-feu entre milices rivales dans la banlieue sud de la capitale Tripoli.
Rivaux au profil très proche, Youssef Chahed, l’actuel chef du gouvernement, et Mehdi Jomâa, fondateur du parti Al Badil Ettounsi, chassent sur les terres de Nidaa Tounes, moins d’un an avant les élections législatives et présidentielle.
Ennahdha ne semble pas prêt à accepter la séparation annoncée par Béji Caïd Essebsi (BCE), lundi 24 septembre. Le parti islamiste a réaffirmé dès le lendemain de l’intervention du président de la République son soutien au « processus de consensus ».
La Marine royale marocaine a ouvert le feu mardi 25 septembre sur une embarcation de migrants en Méditerranée qui refusait de répondre à ses sommations, faisant un mort et trois blessés, dont un dans un état critique.
Bariza Khiari, ex-vice-présidente du Sénat français et membre de la direction collégiale de La République en marche (LREM), explique ce qui, selon elle, différencie Emmanuel Macron de ses prédécesseurs dans les relations franco-algériennes.
En Tunisie, les opérations contre la corruption se multiplient. Mais peuvent-elles pour autant marquer un tournant dans la lutte contre ce fléau ? Éléments de réponse avec Chawki Tabib, président de l’Instance nationale chargée de ce secteur.
Une personne sur neuf est affectée par l’insécurité alimentaire chronique dans le monde. En Afrique du Nord, les évolutions sont contrastées. La situation s’améliore au Maroc et en Algérie, se stabilise en Tunisie, mais se dégrade en Égypte.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) diagnostique les causes sous-jacentes aux vagues de contestation qu’a traversé le royaume au cours des derniers mois.
Le président Béji Caïd Essebsi a évoqué dans un entretien diffusé en direct le 24 septembre certains dossiers politiques qui agitent la Tunisie. Retour en cinq points.
Lors d’un entretien diffusé lundi à la télévision, le chef de l’État tunisien a assuré que les élections auraient lieu en décembre 2019. Il a également profité de son intervention pour annoncer la fin de l’alliance avec le parti d’inspiration islamiste Ennahdha.
Deux mois après sa dernière sortie médiatique, le président Béji Caïd Essebsi est attendu le 24 septembre sur la chaîne Elhiwar Ettounsi. Un choix de communication stratégique qui lui permet de marquer fortement le début de la rentrée politique.
Premier président français né après la guerre d’indépendance, Emmanuel Macron souhaite établir des relations définitivement apaisées entre les deux pays. Pourra-t-il y parvenir ?
Mohammed Harbi, sans doute le plus respecté des historiens algériens, répond sans détour sur la reconnaissance par Emmanuel Macron de la responsabilité de l’État français dans la mort sous la torture du mathématicien Maurice Audin, en 1957.
Tous les restes algériens conservés au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, dont Alger demande la restitution, ne seraient pas seulement ceux de résistants.
Des pluies diluviennes se sont abattues sur le Cap Bon, dans le nord-est de la Tunisie. Les inondations ont détruit des routes en plus de causé quatre morts.
Notre hebdomadaire n’est plus distribué en Algérie depuis cinq mois à la suite d’une décision unilatérale du gouvernement. Simple mesure temporaire destinée à faire des économies en devises ou réelle censure de notre ligne éditoriale ?
Si la société s’est emparée du débat sur le retour du service militaire obligatoire, la classe politique, elle, hésite, oscillant entre promotion du patriotisme et interrogations pragmatiques.
Adulé dans son pays natal malgré trois inculpations pour viol en France, le chanteur Saad Lamjarred focalise, après « l’affaire Khadija », le débat sur les violences envers les femmes au Maroc.
En quête de soutien international, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a été reçu le vendredi 21 septembre par le président français Emmanuel Macron.
Les autorités irakiennes n’ont pas été les seules a désapprouver les chants pro-Saddam Hussein, scandés pendant la rencontre du dimanche 9 septembre entre l’USM Alger et une équipe de leur pays. Une commission de discipline de l’Union des associations arabes de football (UAFA) a décidé de condamner la formation algéroise à une amende de 150 000 dollars.
Une semaine après la victoire du parti au pouvoir au second tour des élections législatives, régionales et locales en Mauritanie, le professeur de droit Lô Gourmo Abdoul affirme qu’une modification constitutionnelle permettant au président Aziz de briguer un troisième mandat est impossible, sauf coup d’État juridique.