Le roi du Maroc a appelé mardi 6 novembre l’Algérie à un dialogue « direct et franc » en proposant la création d’un « mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation » pour « dépasser les différends » entre les deux voisins.
Entre 3 et 5 milliards d’euros. C’est le montant qui a disparu des comptes belges appartenant à la Libyan Investment Authority, selon une enquête de la RTBF. La justice du royaume vient de se saisir de l’affaire.
Petites escarmouches sans conséquences entre membres du même gouvernement ou guerre à coups tirés ? Lundi 5 novembre, en déplacement à Oran où il a fait les éloges du bilan du président Bouteflika, le ministre de la Justice a critiqué avec virulence son Premier ministre.
La présidence tunisienne a annoncé le 6 novembre la prolongation de l’état d’urgence jusqu’au 6 décembre, en vigueur dans le pays depuis désormais trois ans, à la suite d’une série d’attaques jihadistes débutée en 2015.
L’Algérie, le Maroc puis la Tunisie se sont relayés à Nouakchott ces derniers jours, avec pour objectif de renforcer leurs liens avec leur voisin méridional. Échanges commerciaux, diplomatie, relations bilatérales… retour sur les motivations de chacun.
Un sommet international sur la Libye s’ouvre le 12 novembre à Palerme, dans le sud de l’Italie. Les principaux acteurs libyens et étrangers s’assiéront à la même table pour chercher un compromis difficile à la crise qui secoue le pays depuis sept ans. La présence de la France reste encore incertaine.
Le statut des Subsahariens – travailleurs, étudiants ou réfugiés – obéit à une politique migratoire lacunaire en Algérie. Une porte ouverte à certaines dérives.
Le remaniement ministériel présenté lundi 5 novembre par le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, ne met pas fin à la crise politique mais précise les nouvelles alliances.
Médiateur incontournable, l’Egypte est plus que jamais à la manoeuvre avec Israéliens et Palestiniens pour négocier une trêve dans les violences qui secouent Gaza depuis des mois, tout en demeurant d’une discrétion absolue.
Au pouvoir depuis juillet 2009, réélu en 2014, le président mauritanien s’est engagé à ne pas modifier la Constitution pour s’ouvrir le droit à briguer un troisième mandat en 2019. Cet ancien général accorde très peu sa confiance, si ce n’est à son tout premier cercle, qu’il sollicite quotidiennement.
Attendu depuis plus de six mois, le remaniement ministériel voulu par le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a été annoncé lundi 5 novembre après une journée de tergiversations et de conjectures.
Les cinq généraux-major qui avaient été placés sous mandats de dépôt le 14 octobre dernier notamment pour « corruption », « biens mal acquis » ont été remis en liberté lundi 5 novembre.
Le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, s’est entretenu avec le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, lundi à Alger, où il effectue une visite d’une journée.
Pour le diplomate espagnol, actuel directeur de l’Académie diplomatique des Émirats arabes unis, le prince héritier saoudien conserve du pouvoir et espère rebondir après le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, le 2 octobre au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul.
10 000. C’est le nombre de diplômés du secteur informatique, formés en Tunisie, qui ont quitté le pays au cours de ces trois dernières années pour aller en Europe, le plus souvent en France ou en Allemagne. Une réelle fuite des cerveaux ?
Donald Trump a informé le Congrès américain qu’à partir du 1er janvier 2019, il mettra fin « à l’admissibilité de la Mauritanie aux avantages en matière de préférence commerciale, en vertu de la loi sur la croissance et les perspectives économiques en Afrique (Agoa), en raison des pratiques de travail forcé ».
Les sanctions américaines contre les secteurs pétrolier et financier iraniens, entrées en vigueur lundi 5 novembre, sont jugées « illégales et injustes » par Téhéran, qui estime qu’elles vont « à l’encontre du droit international ».
À l’occasion de la foire d’art contemporain Also Known as Africa, l’artiste d’origine algérienne Dalila Dalléas Bouzar prépare plusieurs grands formats et une performance.
Les membres de l’ONU procèdent lundi à Genève à l’examen de la situation des droits de l’homme en Arabie saoudite, en pleine tempête autour du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.
Dix-neuf jihadistes présumés liés à l’attentat anticoptes qui a fait sept morts vendredi 2 novembre à Minya, dans le centre de l’Egypte, ont été tués lors d’un échange de « tirs » avec la police, a annoncé dimanche 4 novembre le ministère de l’Intérieur.
Les 29èmes Journées cinématographiques de Carthage (JCC), qui se veulent une vitrine du film engagé d’Afrique et du monde arabe, ont débuté dans la soirée du samedi 3 novembre sous une haute surveillance, six jours après un attentat suicide au cœur de Tunis.
Après les États-Unis et le Guatemala, le Brésil pourrait être le troisième pays à reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, comme l’a confirmé le nouveau président, Jair Bolsonaro.
Abdou Semmar et Merouane Boudiab, deux journalistes algériens accusés de diffamation et d’atteinte à la vie privée seront jugés le 8 novembre à Alger. Selon Me Abdelghani Badi, leur avocat, ils risquent jusqu’à cinq ans de prison.
L’immigration clandestine vers l’Europe était au coeur de la rencontre vendredi à Tunis du chef du gouvernement italien Giuseppe Conte avec son homologue tunisien Youssef Chahed, qui a annoncé que plus de 9.000 personnes avaient tenté de quitter illégalement les côtes tunisiennes depuis janvier.
Avant les révélations de la presse turque sur l’affaire Jamal Khashoggi, le prince héritier Mohamed Ben Salman (MBS) incarnait l’ouverture à la modernité du régime saoudien.
Mohammed VI veut favoriser l’émergence d’une classe moyenne agricole, facteur d’équilibre socio-économique dans le monde rural. Mais des obstacles demeurent.
Si, dans le royaume chérifien, les élus du peuple sont plutôt bien lotis, il n’en va pas de même en Tunisie et en Algérie, où les parlementaires se plaignent de conditions de travail qui ne leur permettraient pas d’exercer leur fonction de manière optimale. Enquête.
Avant la finale aller de la Ligue des champions africaine le 2 novembre face à l’Espérance Tunis, l’entraîneur français Patrice Carteron revient pour Jeune Afrique sur la pression qui entoure le grand club cairote, mais également sur ses expériences africaines, avec le TP Mazembe ou au Mali, marquées par des résultats significatifs.