Partis dimanche 14 octobre du lycée de Beni Zmenzer, une petite commune au sud de Tizi-Ouzou, les appels au boycott des cours d’arabe se multiplient chez les lycéens de Kabylie. Un mouvement de ras-le-bol déclenché par plusieurs déclarations publiques hostiles à la langue amazigh.
Le leader de la protestation rifaine de 2017 n’a finalement pas remporté le prestigieux prix, décerné au réalisateur ukrainien Oleg Sentsov. Mais pour ses proches, sa place de finaliste est déjà une reconnaissance de « l’injustice » qu’il subit.
Quand aura lieu le Next Economy Summit d’Alger ? Annoncé pour les 3 et 4 décembre, ce sommet international sur le thème de l’économie de l’après-pétrole devrait être reporté en raison de retards dans ses préparatifs.
Pour sa première loi de finances, Mohamed Benchaâboun a prévu de céder des participations de l’État dans plusieurs sociétés… sans pour autant avancer le nom des établissements concernés.
Début novembre, la députée tunisienne Khawla Ben Aïcha déposera une proposition de loi visant à mettre un terme aux tests anaux que la police peut faire subir à des prévenus.
Régulièrement victime d’actes de vandalisme, la statue d’Ain El Fouara, représentant une femme aux seins nus, peut compter sur la surveillance de certains habitants de Sétif, bien décidés à ne pas voir ce « patrimoine collectif », sacré pour certains, réduit en poussière.
La joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur (24 ans) a atteint la finale au tournoi de Moscou, samedi 20 octobre. Pointant au 62e rang mondial, elle affiche son ambition et se réjouit de la place qu’occupe désormais son sport en Tunisie.
L’assassinat de Jamal Khashoggi est la grande affaire du moment. Elle n’est pas encore élucidée, et très peu de gens en connaissent les tenants et les aboutissants. Pourtant, les médias du monde entier relatent à l’envi le peu qu’ils en savent.
Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed Ben Salman a qualifié mercredi de « crime haineux » le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi au consulat en Turquie, affirmant que Ryad coopérait avec Ankara et que « la justice prévaudra ».
Adlène Meddi, journaliste algérien, signe un roman crépusculaire sur la dérive d’une génération, mêlant la violence d’un genre littéraire et celle de la guerre civile.
En l’absence de l’ensemble des représentants de l’opposition, les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont élu, mercredi 24 octobre en fin de matinée, le remplaçant du président Saïd Bouhadja, destitué après plusieurs semaines d’imbroglio politique.
Absent de la scène politique pendant huit mois, celui qui a cumulé à la fois la présidence de l’Union patriotique libre (UPL) et celle du prestigieux Club africain (CA), a dû démissionner de ces deux postes suite à des démêlés avec la justice. Acquitté dans plusieurs affaires, il fait son retour sur la scène politique.
Deux semaines après avoir démissionné de son poste de sélectionneur de la Libye, l’Algérien Adel Amrouche (50 ans) a été nommé, lundi 22 octobre, entraîneur du prestigieux Mouloudia club d’Alger (MCA), où il succède à Bernard Casoni.
Avec l’ouverture du ciel marocain, la compagnie à bas coût émiratie concurrence Royal Air Maroc sur les liaisons vers l’Europe. Et conquiert le marché intérieur.
Le conducteur du train dont le déraillement a fait sept morts et 125 blessés, mardi 16 octobre entre Rabat et Kénitra, a été inculpé mardi 23 octobre pour « homicide et blessures involontaires », a annoncé le parquet, mettant en cause un excès de vitesse.
Une édition enrichie de l’ouvrage référence de Sid Ahmed Semiane sur les événements d’octobre 1988 paraît à la fin du mois. En voici, en exclusivité, les bonnes feuilles.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Larbi Belkheir, chef de cabinet de la présidence, revient sur le contexte politique dans lequel se trouvait le pays, lors des émeutes d’octobre 1988.
Chef du commandement terrestre, le général-major Khaled Nezzar était chargé de maintenir l’ordre pendant l’état de siège, lors des révoltes d’octobre 1988. Extrait de son témoignage qui apparaît dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Lakehal Ayat, patron du renseignement (DGPS), affirme que le FLN n’était pas en mesure de s’opposer au chef de l’État, lors des révoltes d’octobre 1988 en Algérie.
Les députés algériens se réunissent mercredi 24 octobre pour élire un nouveau président de l’Assemblée populaire nationale bien que l’actuel, poussé depuis trois semaines à la démission par la majorité, refuse de quitter ses fonctions.
Un important forum international sur l’investissement s’est ouvert devant une assistance clairsemée, mardi 23 octobre à Riyad. Face au tollé mondial suscité par le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, les conséquences économiques sont déjà lourdes pour l’Arabie saoudite.
Rached Ghannouchi, le président du mouvement islamiste Ennahdha, et Hamma Hammami, le porte-parole du Front populaire, qui regroupe des partis d’extrême gauche, se rendent coup pour coup.
Les représentants de 41 pays se sont exprimés à propos du Sahara occidental lors de la dernière session de la 4e commission de l’ONU chargée des questions de décolonisation, qui s’est tenue à New York du 10 au 18 octobre.
Après avoir offert deux belles années (2016 et 2017) aux investisseurs, la Bourse de Casablanca montre des signes d’essoufflement et se dirige vers une clôture dans le rouge de l’exercice actuel.
Faouzi Benzarti, le sélectionneur de la Tunisie, a été limogé moins de trois mois après sa nomination, alors qu’il venait de qualifier les Aigles de Carthage pour la CAN 2019. Certaines de ses méthodes, mal acceptées par des joueurs, sont à l’origine de cette décision prise par la Fédération tunisienne de football (FTF).
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé mardi 23 octobre que toutes les personnes impliquées dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, y compris les commanditaires, devaient être punies.
Vingt jours après le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, le ministre des Affaires étrangères tunisien a estimé que cette affaire ne devait « pas constituer une occasion pour déstabiliser le royaume ».
En dix ans, l’Office chérifien des phosphates s’est métamorphosé en géant des engrais. Face aux Chinois, aux Américains et aux Saoudiens, il vise aujourd’hui la place de numéro un mondial, sans oublier d’appuyer la stratégie du royaume partout où il le peut. De la recherche scientifique au développement du Sahara.