Lors de sa prise de fonction, le nouveau patron de la fédération, Walid Sadi, avait évoqué « une situation financière catastrophique ». 14 cadres, dont 3 anciens présidents, font désormais l’objet d’une enquête.
Le 3 juillet 1984, à Paris, disparaissait le général Raoul Salan. De 1917 à 1960, de la Grande Guerre à l’Indochine en passant par le Levant en 1921, la Seconde Guerre mondiale et l’Algérie, l’officier fut acteur de tous les conflits qui ont façonné le visage de la France contemporaine.
Trente-et-un candidats ont l’intention de briguer la magistrature suprême, le 7 septembre, mais un nom manque encore à la liste : celui du président sortant, pourtant indiscutable favori. Qui a jusqu’au 18 juillet pour officialiser sa candidature.
Bénéfice en hausse de 39 % sur un an, chiffre d’affaires en progression de 6 % : la compagnie aérienne affiche la meilleure performance financière de ses 27 ans d’histoire.
Le candidat Biram Dah Abeid, donné deuxième de l’élection, dénonce une « mascarade électorale ». L’internet reste coupé dans le pays depuis le 1er juillet.
Pas une semaine sans que le mouvement indépendantiste soutenu par l’Algérie ne publie un communiqué de victoire sur les fronts militaire et diplomatique. Et pourtant, sur le terrain comme à l’ONU, il ne se passe rien, ou presque.
Depuis mai 2023, la hausse des exportations marocaines, tirées par l’aéronautique et l’automobile, se poursuit et permet de réduire légèrement le déficit commercial du royaume.
Rétabli à son poste après avoir été un temps suspendu, mais bousculé par son sous-secrétaire, Mohamed Aoun exige du chef du gouvernement qu’il réaffirme son autorité ou, à défaut, le limoge.
Alors que des témoins font état d’échauffourées à Nouakchott au lendemain de l’annonce de la réélection du président Ghazouani, l’accès à internet a été restreint. Un scénario qui rappelle celui de l’élection de 2019.
Depuis le remplacement des conseils municipaux élus par des fonctionnaires, en mars 2023, la situation s’est dégradée dans les villes tunisiennes. Un problème que le président attribue avant tout à la corruption.
Entre islamophobie et dénonciation d’un « grand remplacement », le Rassemblement national – comme le Front national avant lui – a toujours accusé la communauté d’origine maghrébine vivant en France de tous les maux. Une population dont la présence remonte pourtant à plusieurs siècles.
Parmi les critiques des détracteurs de la marocanité du Sahara, on entend souvent l’idée d’un mépris pour les populations locales et leur culture, mais également, de plus en plus, le récit selon lequel les candidats à la migration qui transitent dans la région y seraient particulièrement maltraités. Les faits contredisent pourtant ces affirmations.
Deux journalistes ont été incarcérés à Alger après la diffusion d’une vidéo critique à l’égard d’un membre du gouvernement. A Bejaia, la police a empêché sans motif la présentation d’un livre édité par Koukou, une maison d’édition qui fait déjà l’objet de harcèlements et d’intimidations.
Voyage au cœur d’une région que le règne de Mohammed VI – depuis 1999 et son arrivée sur le trône – a définitivement ancré dans la modernité… et la marocanité.
À la tête du groupe Dislog, en pleine expansion en Europe, l’ancien ministre marocain évoque ses ambitions et les caractéristiques du système insufflé par Mohammed VI au cours des vingt-cinq dernières années.
L’affirmation la plus répandue de ceux qui contestent la marocanité des provinces du Sud est celle qui fait des Sahraouis des citoyens de seconde zone. Le problème est qu’elle est très largement inexacte.
Parallèlement à la diplomatie officielle, la politique étrangère du Maroc prend des formes de « soft power » avec le sport et la culture. Le Festival Gnaoua d’Essauira, fondé et dirigé par Neila Tazi, femme d’affaires influente et présidente de la commission des Affaires étrangères à la Deuxième chambre du Parlement, en est le parfait exemple.
De nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud. Plus de quarante Palestiniens ont été tués au cours des 24 dernières heures.
Le président sortant détient 56,12 % des voix après le dépouillement de 100
% des bulletins, devant le militant des droits humains Biram Dah Abeid, deuxième avec 22,10 % des voix.
En 2017, l’un des hommes de main de Ridouan Taghi, devenu le cerveau de la Mocro Maffia, décide de témoigner contre lui devant la police. Un retournement de situation extraordinaire, qui sème le chaos aux Pays-Bas et conduit, en 2019, au plus grand procès de l’histoire du pays.
Le palais a annoncé ce 29 juin le décès de la mère du roi. Souffrante depuis près de deux ans, elle vivait en France, mais était revenue au Maroc ces dernières semaines.
Quasiment inconnu lorsqu’il est entré dans la course, le député Massoud Pezeshkian a réalisé la performance d’obtenir 42,5 % des suffrages le 28 juin, devançant l’ancien négociateur du dossier nucléaire, crédité de 38,6 % au premier tour.
Après le cannabis, la seconde génération de la Mocro Maffia se lance à l’assaut du business de la cocaïne. Parmi les nombreux clans qui se font et se défont, ceux que dirigent Gwynette Martha et Samir Bouyakhrichan, dont la lutte à mort permettra l’émergence d’une nouvelle génération, incarnée par Ridouan Taghi.
Le patron des services de renseignement marocains était à Paris du 26 au 28 juin. Si les rencontres ont porté, notamment, sur la collaboration sécuritaire entre les deux pays à quelques jours de l’ouverture des Jeux olympiques, elles témoignent aussi du net réchauffement des relations entre Rabat et Paris.
Les Iraniens votent aujourd’hui pour désigner le successeur du président Ebrahim Raïssi, décédé au mois de mai dans un accident d’hélicoptère. Si le camp conservateur est favori, certains espèrent voir le réformateur Massoud Pezeshkian se hisser au second tour.
1,9 million d’électeurs sont appelés, ce 29 juin, à décider d’accorder ou non un second mandat au chef de l’État sortant. Un scrutin particulièrement suivi par les partenaires du pays, dont la stabilité rassure.
Tarik Hamane, le nouveau directeur général, déploie sa stratégie de transformation de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE). Coulisses.