Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a rencontré samedi les responsables des partis au pouvoir, de la centrale syndicale et du patronat pour discuter des moyens de sortir de la crise après des troubles alimentés par des mesures d’austérité, mais aucune mesure concrète n’a été annoncée.
Le Maroc a annoncé samedi avoir lancé la troisième et dernière opération de rapatriement de ses ressortissants bloqués en Libye, qui concerne 338 personnes.
Tunis Food Company (TFC) a ouvert mardi son premier restaurant KFC à Tunis et prévoit de créer cinq autres points de vente dans la capitale d’ici la fin de l’année 2018.
À l’appel du collectif « Fech Nestanew », ils étaient plus d’un millier ce vendredi à Tunis pour protester contre la vie chère en Tunisie. Une vague de protestation qui s’est étendue dans plusieurs grandes villes.
L’avis de l’avocat général demandant à la Cour de justice de l’Union européenne d’invalider l’accord de pêche entre le Maroc et l’UE a déclenché de nombreuses réactions. Bruxelles qualifie le Maroc de « partenaire stratégique », tandis que l’Espagne réfléchit à des pistes de sorties.
Dans sa fresque « L’Art de perdre », prix Goncourt des lycéens, Alice Zeniter raconte l’histoire d’une famille hantée par son passé. Et livre la version des vaincus algériens de la guerre d’indépendance.
La capitale économique du royaume dispose enfin de sa première brigade communale. Sa mission ? Veiller à la sécurité, la salubrité et le respect des règles de l’urbanisme et de l’espace public.
Des heurts ont eu lieu pour une troisième nuit consécutive entre forces de l’ordre et jeunes dans plusieurs villes de Tunisie, où plus de 600 personnes ont été arrêtées depuis lundi, a indiqué le ministère de l’Intérieur.
La vague protestataire qui secoue la Tunisie a vu l’émergence d’un nouveau mouvement citoyen : « Fech Nestanew ? » qui appelle la mobilisation populaire face à la hausse des prix. Zoom sur ce nouveau phénomène.
Soupçonné d’agressions pédophiles sur deux fillettes, un ressortissant français a été arrêté dans un atelier de couture à Fès. Des habitants ont manifesté mercredi pour exiger la peine maximale.
Trois jours après son arrestation à l’aéroport de Londres, Alexandre Djouhri a obtenu mercredi sa liberté sous caution. Intermédiaire financier à la réputation sulfureuse, il fait figure de personnage-clé dans l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.
Bombes artisanales, lance-roquettes, Kalachnikov ou encore plaques photovoltaïques… Les biens saisis par l’armée algérienne cette année prouvent que les maquis algériens sont encore bien équipés.
Devant les amendements proposés par la commission parlementaire des droits et des libertés, qui a retenu différentes requêtes associatives, le gouvernement a retiré mardi son projet polémique visant à moderniser la carte d’identité nationale.
Après son avis controversé sur l’accord agricole en 2016, la juridiction européenne doit se prononcer sur la légalité de l’accord de pêche. Nouveaux tracas pour la diplomatie marocaine ?
Ils demandent une réforme du service civil, avec une dispense du service militaire, à l’instar des autres Algériens. Le gouvernement s’engage à améliorer leurs conditions de travail.
Mardi, de nouveaux heurts ont eu lieu dans plusieurs villes de Tunisie. Le Premier ministre a appelé au calme et assuré que tout acte de vandalisme et de pillage serait sanctionné.
Son immunité ayant été levée, l’ancien ministre de l’Intérieur tunisien, déjà auditionné en novembre, pourra à nouveau être entendu par le juge d’instruction militaire dans le cadre de l’affaire Chafik Jarraya.
La nouvelle station de transfert d’énergie par pompage (STEP) de la région d’Agadir sera réalisée par un consortium mené par Vinci Construction. 840 personnes seront mobilisées pour ce chantier d’une durée de quarante-huit mois.
Sur les vingt sièges remis en jeu après les législatives de 2016, il n’en reste plus qu’un seul à pourvoir. Si le RNI de Aziz Akhannouch et l’USFP de Driss Lachgar ont réussi à se maintenir, la partie est loin d’être gagnée pour le MP de Mohand Laenser.
Alexandre Djouhri, intermédiaire présumé entre la France sarkozienne et la Libye de Kadhafi, a été arrêté ce dimanche à Londres. Rebondissement de moyenne envergure dans une affaire qui ressemble à un western de Sergio Leone : « le court, la brute et le truand » ?
Mouvement social, complot extérieur, contestation politique… Chacun y va de son analyse pour décrypter les manifestations qui ont secoué le pays. Explications, au-delà des fantasmes.
Depuis le 28 décembre dernier, une vague de protestation s’est répandue dans plusieurs dizaines de villes d’Iran. Pour Azadeh Kian*, sociologue franco-iranienne, il ne s’agit pas d’un début de révolution.
Les manifestations qui se multiplient contre l’augmentation des prix, suite à la loi de finances 2018, ont tourné à l’affrontement dans plusieurs villes du pays. Un homme a succombé à l’inhalation des gaz lacrymogènes à Tébourba. Un scénario qui rappelle les événements ayant conduit à la chute du régime de Ben Ali.
Un froid inhabituel enveloppe depuis quelques jours le royaume chérifien, où d’importantes chutes de neige ont été enregistrées dans les régions montagneuses. Un dispositif anti-froid a été mis en place dans les zones les plus affectées.
En Égypte, le premier tour de l’élection présidentielle se tiendra du 26 au 28 mars et un second tour aura lieu, si besoin, du 24 au 26 avril, a annoncé lundi l’Autorité nationale des élections.
L’homme d’affaires français Alexandre Djouhri a été interpellé dimanche à Londres. Intermédiaire financier à la réputation sulfureuse, il est au cœur de l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007.
Exilé depuis 2010, Mohamed Ould Bouamatou a assuré des postes à ses proches au sein de la Générale de banque de Mauritanie (GBM). Cette société est le fleuron du groupe Bouamatou SA (BSA) dont il est le fondateur.