La FIFA favorise-t-elle la candidature américaine, au préjudice du Maroc, pour l’organisation de la Coupe du monde en 2026 ? C’est ce que pense la Fédération royale marocaine de football (FRMF). Un avis partagé par une grande partie des acteurs du football marocain.
Formé en management et finance à l’université Paris Dauphine, ce marocain de 38 ans a commencé sa carrière dans la banque et l’assurance avant d’intégrer en 2009 Palmeraie Développement, où il a pris la direction du pôle immobilier en 2017. Il occupe désormais le même poste au sein du groupe Saham.
Champion déclaré de la stratégie du consensus, le président du parti islamiste, Rached Ghannouchi, appelle, à l’approche des élections locales du 6 mai, à une gestion commune des municipalités et à la tenue d’un dialogue national socio-économique.
Panique dans les centres de santé et les pharmacies : plusieurs médicaments sont indisponibles auprès de la Pharmacie centrale. Accumulant les dettes, cette dernière serait incapable de payer ses fournisseurs. Entre 60 et 100 produits manqueraient à l’appel.
Quatre ministres ont été remplacés ce mercredi, voyant notamment l’arrivée de Mahdjoub Bedda au ministère des Relations avec le Parlement. Ceux de l’Éducation et de la Santé ont été maintenus malgré la détérioration du climat social.
Dans un film généreux et très politique, le réalisateur tunisien Walid Mattar rapproche les classes populaires tunisiennes et françaises. Et dénonce un système économique absurde.
Le numéro 2 de la diplomatie sahraouie est mort mardi dans une clinique en Espagne, des suites d’une longue maladie. Il a accompagné toutes les négociations onusiennes depuis l’accord de cessez-le-feu de 1991.
Dans un courrier, la Fédération royale marocaine de football (FRMF) dénonce un changement tardif de certains critères de sélection qui pourraient désavantager le Maroc face à son concurrent composé par le trio États-Unis – Canada – Mexique. La tension monte.
Restant néanmoins en alerte, les autorités américaines ont suspendu le 26 mars leur enquête sur les activités ouest-africaines de la compagnie minière canadienne Kinross, soupçonnée de corruption.
Face aux propositions du gouvernement algérien jugées « insuffisantes », les sections locales du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) ont décidé de poursuivre la grève et le boycott des examens. En cause : le maintien du caractère obligatoire du service civil.
Arrivé ce mardi en Algérie, le président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy examine avec son homologue, Ahmed Ouyahia, la question du gaz, dont presque la moitié de la consommation espagnole vient d’Algérie, et également l’épineux dossier sur la migration clandestine.
« Un texte de rupture », « une concertation inédite »… Le Startup Act, voté ce lundi à l’Assemblée à une très large majorité, suscite de nombreux espoirs chez les acteurs du numérique, notamment pour les avantages financiers qu’il octroie.
Interpellées dimanche par les autorités marocaines, les Nations unies ont contesté lundi des affirmations du royaume selon lesquelles le Front Polisario a mené des incursions dans une zone tampon du Sahara occidental, où l’ONU est chargée de surveiller le cessez-le-feu.
Réduction drastique des subsides de l’État, inflation, chômage, répression, démographie galopante… Tous les facteurs de l’explosion de 2011 sont encore là. Et vont s’aggravant.
L’économiste libanais, auteur de « Monde arabe : les racines du mal » (« L’Orient des livres », Actes Sud, 2017), Bachir el-Khoury livre son analyse sur les printemps arabes et l’évolution des pays concernés depuis 2011.
Le gouvernement de Benyamin Netanyahou a annulé lundi un projet controversé d’expulsion de migrants africains et signé un accord avec l’ONU pour la réinstallation d’une partie d’entre eux dans des pays occidentaux.
Le royaume a appelé l’instance onusienne à intervenir pour mettre fin à ce qu’il qualifie de « provocations ». Faute de quoi, le Maroc « assumera ses responsabilités », a affirmé le ministre marocain des Affaires étrangères.
Abdel Fattah al-Sissi a été réélu pour un second mandat de quatre ans avec 97,08% des voix validées, dans une élection où son seul adversaire était aussi l’un de ses partisans.
Un projet de loi pour réglementer le financement collaboratif sera discuté ce lundi au Parlement. Retour sur un texte qui va modifier en profondeur les règles, sur ses visées et ses conséquences pour l’économie numérique, l’investissement et la liberté des associations.
En annonçant qu’il ne briguerait pas sa succession en 2019, le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz a pris de court la majorité comme l’opposition. Et ouvert le jeu politique.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé dimanche Benjamin Netanyahou d’être « un terroriste » après que le Premier ministre israélien a rejeté les « leçons de morale » de la Turquie à propos des affrontements meurtriers qui ont eu lieu vendredi entre Gaza et Israël.
Représentante de la BAD au Maroc depuis novembre 2017, Leila Farah Mokaddem présente à Jeune Afrique sa vision, ses ambitions et ses priorités pour son mandat.
Un nouveau rapport d’expertise sur l’assassinat des moines de Tibhirine a été remis à la justice française en février. Il n’apporte pas la vérité tant attendue, mais donne au moins des pistes de compréhension. Décryptage.
Encore peu connue du grand public, l’appellation « champion national » est de plus en plus présente dans le secteur économique au Maroc. La journaliste et analyste Selma Mhaoud décrypte dans un livre ce nouveau colbertisme marocain, entre volonté de libéralisation et concentration du capital, diplomatie économique et industrialisation.
Sa nomination à la tête de l’ex-parti unique devait être provisoire, en attendant de trouver la personne idoine. Un an et demi après, ce cacique parmi les caciques est toujours là et bien là. Portrait du doyen de la classe politique et patron de la première formation du pays.
Si le secrétaire général du FLN, Ould Abbès, menace Baha Tliba et Abdelouahab Benzaïm d’une éventuelle sanction du parti, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, il a lui-même vécu une situation similaire en 1994.
Les experts qui ont analysé les échantillons des crânes des sept moines français du monastère de Tibhirine, assassinés en 1996 en Algérie, ne disposent pas d’élément nouveau sur « la cause directe » de leur mort. Mais ils confortent pour la première fois de manière scientifique certaines hypothèses, notamment que les religieux auraient été tués bien avant l’annonce de leur décès.
Le groupe armé tchadien Conseil de commandement militaire pour le salut de la République (CCMSR) a affirmé avoir été la cible de frappes de l’aviation de Khalifa Haftar et soutient que ces attaques sont le signe d’une coopération étroite entre le président tchadien Idriss Déby Itno et le maréchal libyen.
À cette question insolemment conflictuelle, la réponse est invariable, que l’on soit Algérien ou Tunisien, Berbère de Fez ou Arabe de Casablanca : « Dans la cuisine de ma mère ! ».