Les forces de l’ordre ont violemment dispersé un rassemblement de médecins ce mercredi. Résultat : une vingtaine de blessés, dont un grave, ainsi que plusieurs arrestations, selon leur syndicat.
Désavoués par la population, les partis politiques tentent d’investir le terrain de la négociation. Mais les gueules noires ont désigné leurs propres représentants.
Ce n’est pas la première fois qu’un pays africain confie la présidence à un footballeur professionnel. Le premier président de l’Algérie, Ahmed Ben Bella, a évolué à l’Olympique de Marseille, tout comme George Weah, le nouveau président libérien.
Debout sur un trottoir du marché de Nouakchott, le cambiste Nejib Ould Sidi se frotte les mains: la demande de devises explose en Mauritanie depuis l’annonce de la mise en circulation de nouveaux billets de la monnaie nationale, l’ouguiya.
Un tribunal militaire israélien a inculpé dimanche une Palestinienne après une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux la montrant en train de frapper avec sa cousine deux soldats israéliens en Cisjordanie occupée.
L’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont introduit lundi une TVA pour diversifier leurs revenus, une première dans le Golfe où les habitants profitaient jusqu’à présent d’une absence de taxes et d’importantes subventions.
Classée les femmes les plus influentes du continent, Mama Tajmouati, PDG d’Ynna Holding a hérité de l’empire de son mari Miloud Chaabi, et continue a investir !
Avant même de quitter les amphithéâtres de Harvard, Basil El-Baz avait réussi à mettre en évidence ses talents d’entrepreneur en transformant son projet de fin d’études en success-story industrielle.
Des représentants de l’exécutif se sont réunis samedi à Jérada, ancienne ville minière du nord-est du Maroc secouée par des manifestations après la mort de deux frères dans une mine de charbon clandestine, a rapporté l’agence officielle MAP.
Un tribunal du Caire a condamné samedi à trois ans de prison l’ancien président islamiste Mohamed Morsi et 19 autres personnes, dont d’anciens députés et deux journalistes, pour « outrage à la magistrature », a indiqué un avocat.
La sélection émiratie de handball a déclaré forfait vendredi pour deux matches amicaux et écourté son stage en Tunisie, a indiqué la Fédération tunisienne, qui avait désigné des femmes pour arbitrer ces rencontres dans un contexte de tension entre les deux pays.
Le gouvernement marocain s’apprête à adopter une loi instaurant des frais d’inscription dans l’enseignement supérieur public, ont rapporté vendredi des médias.
En annonçant ce jeudi sa démission de la présidence de l’Union patriotique libre, l’homme d’affaires controversé boucle une année 2017 houleuse et laisse la formation face à un avenir incertain.
L’ancienne ville minière entame ce vendredi son septième jour de protestation. Les syndicats entrent en jeu. Mais aucun membre du gouvernement n’a encore mis les pieds dans cette ville déshéritée.
Dans son dernier ouvrage, paru fin novembre à Londres, le professeur et ancien ministre mauritanien présente le mouvement terroriste comme une organisation moderne qui se nourrit de la violence contemporaine.
Avec une note de 43 sur 100, le royaume figure parmi les meilleurs pays d’Afrique en matière d’accès au savoir, selon un récent classement. Du chemin reste pourtant à faire pour égaler les pays en haut du classement mondial.
Pour freiner la baisse des réserves de change, le gouvernement algérien a serré les boulons du secteur automobile, restreignant à dix le nombre d’opérateurs autorisés à exercer l’activité de montage. Mais la viabilité de son modèle pose problème, selon le directeur du cabinet Compétences Finances.
La semaine dernière, le comité religieux du Parlement égyptien a annoncé la préparation d’un projet de loi visant à criminaliser et à interdire l’athéisme. Une proposition qui porte atteinte à une communauté déjà réprimée.
Alger répond à une exigence historique du mouvement amazigh. Pourtant, sur le terrain, l’annonce soulève plus de méfiance qu’autre chose chez de nombreux berbéristes.
Les discussions avec la délégation turque, ces 26 et 27 décembre, ont largement tourné autour des échanges entre les deux pays. La Tunisie a décidé de rétablir des droits de douane sur certains produits importés de Turquie.
Les Mauritaniens vont devoir s’adapter à un changement de leur étalon monétaire : le 1er janvier 2018, une ouguiya « améliorée » comportant un zéro de moins sera mise en circulation avec de nouveaux billets et de nouvelles pièces. Une réforme qui n’est pas censée changer quoi que ce soit à la valeur de la monnaie.
Six jours après la décision de suspendre les vols émiratis aux ressortissantes tunisiennes, la tension est toujours vive entre les deux pays. Si le langage diplomatique demeure aseptisé, les actions de la société civile et des partis politiques, elles, ne faiblissent pas.
Après « Paris, on t’aime aussi ! », Léo Bigiaoui revient avec un nouveau court-métrage, « Je suis une blessure », sorti ce mercredi. Lui qui avait déclaré « Paris, c’est aussi Barbès, La Chapelle et le métro », nous emmène à nouveau dans le Paris sous-terrain, cette fois-ci pour exposer la psychose de la décennie.
Depuis cinq jours, les habitants manifestent dans les rues, suite à la mort de deux mineurs. Un drame qui n’a fait que révéler la grogne qui couvait dans cette région pauvre et en retard sur le développement. Récit des événements.
Que reste-t-il du vent de contestation populaire qui s’est levé en 2011 dans les pays arabes, du Maroc au Yémen ? Alors que les rêves de changement ont été balayés par des crises politiques profondes et par l’hydre jihadiste, l’heure est à la « reprise en main » contre-révolutionnaire.
Si pour l’ancien ambassadeur, il est difficile de tirer des conclusions générales des Printemps arabes, tant les situations sont diverses, les ressorts des révolutions n’ont pas disparu et déboucheront, à terme, sur plus de démocratie et d’État de droit.
Sept ans après la révolution, un sondage d’opinion révèle qu’une grande majorité de Tunisiens considère que la situation du pays est pire, voire bien pire, que sous Ben Ali. Mais ils sont 15 à 25 % à rester positifs dans leur analyse.
Dans tous les pays du monde arabe, les lignes sont en train de bouger en faveur des femmes. Mais les éducateurs, les États et surtout les imams doivent accompagner ce vent de changement.