Égypte, Maroc, Nigeria, Tunisie, Sénégal : l’Afrique connaît l’identité des cinq pays qui la représenteront en 2018, lors de la Coupe du monde en Russie. Un plateau largement renouvelé par rapport à 2014, mais qui se justifie largement.
Lors de son 10e congrès, en mai 2016, Ennahdha avait fait son aggiornamento en délaissant les activités de prédication pour se recentrer sur le volet strictement politique et se muer en parti civil.
Les échanges économiques entre les deux pays, la signature d’accords dans les domaines portuaire ou numérique, ou encore la future école des Arts et métiers à Zenata étaient au menu de ce deuxième jour de visite du Premier ministre français dans le Royaume chérifien.
L’accord scellé entre Nidaa Tounes, Ennahdha et l’UPL de Slim Riahi a réactivé les craintes concernant une alliance contre-nature sur la scène politique tunisienne. Les vieux démons du parti unique refont surface.
Poussé dans ses retranchements lors de l’université d’été du patronat, le chef de la diplomatie algérienne, Abdelkader Messahel, lâche ses coups… sur le Maroc. Et déclenche une nouvelle crise entre les deux voisins. Portrait-itinéraire d’un membre phare de l’entourage présidentiel.
Un remaniement ministériel en mai 2015 a déclenché la colère de Ramtane Lamamra, alors proche de Bouteflika. Aujourd’hui l’objet de sa colère de l’époque, Abdelkader Messahel, occupe son poste.
Les images viennent d’être rendues publiques par la chaîne américaine CNN. Après une enquête de longue haleine, celle-ci a pu prouver l’existence d’un marché aux esclaves subsahariens en Libye. Les commentaires de colère et de soutien affluent en masse sur les réseaux sociaux.
Sur la route pour l’Europe, des milliers de Sénégalais se retrouvent captifs du chaos libyen. Les autorités tentent de rapatrier les volontaires au retour. Une centaine d’entre eux sont arrivés mardi soir à l’aéroport Léopold-Sédar-Senghor.
La ministre française des Armées était à Dakar au Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. Mise en place de la force conjointe du G5 Sahel, évolution de l’opération Barkhane, lutte contre le terrorisme… Florence Parly répond aux questions de Jeune Afrique.
Après les revers subis par l’État islamique (EI) en Irak et en Syrie, des combattants étrangers du groupe terroriste pourraient être tentés de se rendre en Afrique du nord, alerte le ministre algérien des Affaires étrangères Abdelkader Messahel.
En cette fin d’année 2017, la ville ocre s’apprête à passer un hiver sans deux de ses événements phares. Ceux qui les organisent se veulent rassurants et promettent de revenir avec de nouvelles formules.
À bientôt 60 ans, la capitale ressemble toujours à une petite fille à laquelle il faut tenir la main. Des robes à ajuster, des pas à assurer, un langage à surveiller. Une tête hirsute.
Alors que la vie politique se cristallise autour de la présidentielle de 2019 et que l’opposition n’a pour l’heure ni programme, ni argent, ni candidat commun, l’une de ces figures de la majorité pourrait être bien placée pour l’emporter.
La plus importante réforme constitutionnelle adoptée par référendum, le 5 août, concerne la décentralisation et, plus particulièrement, la régionalisation. Le gouvernement travaille à la rédaction des projets de loi et décrets d’application qu’elle nécessite.
Boydiel Ould Houmeid, 64 ans, ancien syndicaliste, a gravi tous les échelons de l’administration, jusqu’aux portefeuilles ministériels parmi les plus stratégiques, sous la présidence de Maaouiya Ould Taya.
Après que les forces militaires ont essuyé de cuisantes défaites face aux jihadistes, des réformes ont été engagées, et des moyens mobilisés. Pour quels résultats ?
En décembre, les voyagistes vont reprendre leurs randonnées pédestres et chamelières entre les dunes, gueltas, canyons et oasis de l’Adrar. Et les premiers circuits affichent déjà complets !
Si elle est « fille de », Maro Hadya Diagana est avant tout une self-made-woman. Fondatrice de Consulting et formation en entreprise, elle vient d’ouvrir un centre d’affaires à Nouakchott.
Présentée comme une opération anticorruption, la purge sans précédent décidée par le roi et le prince héritier s’apparente à un véritable coup de force. Objectif : s’arroger tous les pouvoirs.
Parmi les princes et autres nababs interpellés dans la nuit du 4 au 5 novembre dernier, certains sont particulièrement connus sur le continent pour leurs activités économiques et leurs réseaux d’influence. Portraits.
Déjà conseil du sénateur Mohamed Ould Ghadda, le Français Jean-Pierre Mignard (Lysias Partners) s’est joint au collège d’avocats qui défend les autres sénateurs et les journalistes mauritaniens mis en examen pour corruption et placés sous contrôle judiciaire.
À cinq mois des élections municipales, Mohamed Tlili Mansri prend les rênes d’une instance qui a eu du mal à élire son dirigeant. C’est sans compter un paysage politique en pleine recomposition.
Le royaume ne veut pas entraîner ses amis africains dans un combat subalterne. La communauté internationale ne reconnaît pas la RASD. La politique de la chaise vide ne sert donc à rien.
Une photo montrant le roi du Maroc soutenant l’émir du Qatar a été largement partagée sur la toile, obligeant un conseiller royal à la démentir et Doha à ouvrir une enquête.
Affaibli par le très modeste taux de participation au référendum constitutionnel du 5 août, qui s’est pourtant soldé par une victoire du oui, le président Mohamed Ould Abdelaziz n’en demeure pas moins maître du jeu face à une opposition divisée.
Le Premier ministre français atterrira ce mercredi au Maroc pour acter une nouvelle relation avec le royaume. Une vingtaine d’accords devraient être signés.